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VW Polo 1.2 TSI DSG : essai longue durée

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7 mois et près de 10’000 km au volant de la VW Polo 1.2 TSI cinquième génération (type 6R).

C’est le 15 octobre 2010 que m’est livré mon nouveau daily driver, une Volkswagen Polo 1.2 TSI DSG Highline pour les amateurs de désignations à rallonge. L’attente n’a été que de deux mois et demi seulement. Une chance car la citadine de Wolfsburg rencontre un franc succès (troisième des ventes suisses par modèle en 2010 avec 6061 exemplaires !) et sans l’aubaine d’une allocation dénichée auprès d’un concessionnaire prévenant, rouler à son volant nécessite près de sept mois de patience.

Cette situation m’a toutefois contraint de signer le bon de commande à l’aveugle faute de pouvoir disposer d’un modèle d’essai dans cette motorisation. Décision a donc été prise sur le papier, après avoir longuement étudié l’offre pléthorique de citadines, et sur la base d’un cahier des charges comprenant quatre points essentiels pour mon utilisation :

– Quatre portes et à l’arrière deux places suffisamment confortable pour deux adultes de taille normale ;
– Une longueur inférieure à 4 mètres, ce qui réduit considérablement le choix puisque la plupart des citadines prennent inexorablement de l’embonpoint à l’instar des dernières Renault Clio et Peugeot 207 qui dépassent désormais 4 mètres ;
– Une consommation contenue aux environs de 5,5 litres aux cent kilomètres ;
– Une finition suffisamment valorisante histoire de ne pas trop regretter l’Audi A2 que ma nouvelle citadine doit remplacer.

C’est donc dans un sentiment mêlé d’inquiétude et de fierté que je quitte la concession au volant de mon nouvel engin. Le tour du propriétaire m’a déjà rassuré pour ce qui est de la finition. A quelques détails près car certains plastiques et l’assemblage n’atteignent pas le niveau de qualité Audi, mais il faut bien que les marques du groupe Volkswagen se différencient. Ainsi les entourages de vitre ne sont pas parfaitement ajustés et l’un des gicleurs du pare brise se promène en toute liberté aspergeant les passants. Sous le capot, le mauvais positionnement d’une conduite de climatisation génère d’importantes vibrations lors des accélérations, un problème réglé après une journée d’immobilisation. A noter que tous les modèles livrés cette semaine-là étaient victimes du même mal. Frustrant s’agissant d’une voiture neuve mais l’essentiel est une prise en charge rapide de la part de VW, ce qui a été le cas.

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