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Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante: performance brutale

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante

Le réglage par défaut de l’ESP est extrêmement castrateur, donnant la sensation qu’il ne cherche même pas à freiner les ardeurs du V12. La combinaison d’une accélération latérale et d’une ouverture des gaz se traduit par une coupure brutale du couple, accompagnée du voyant jaune idoine clignotant impérieusement. Le mode Track est un peu plus permissif sans être scabreux et permet de ressortir en force des virages.

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Et quelle force ! Le déploiement des 900 Nm de couple est impressionnant, formidable, physique. A pleine charge, le système de suralimentation émet un chuintement qui couvre presque le brame du V12 en se réverbérant sur la roche. Cette poussée redoutable accompagnée d’un sifflement diabolique font des relances une expérience dantesque, prenante. Exprimé simplement, ça pousse très, très fort. On ose à peine en montrer quelques images pudiques …

Exploiter les pleines ressources du V12 5.2 métamorphose ce cabriolet au caractère affirmé en outil démoniaque, la communion avec les éléments magnifiant les sensations physiques et sonores. Les harmoniques sont une octave en-dessous du cri perçant d’un V12 Ferrari, mais restent saisissantes. Des performances pareilles aiguisent les sens à l’extrême et font des réactions des trains roulants un élément absolument primordial.

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