Home / Aston Martin  / 

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante: performance brutale

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante

Le train avant est incisif et inspire confiance pour attaquer de gros appuis. Le rapport de direction est très bien jugé, permettant de piloter la DBS avec précision avec des mouvements contenus des avants-bras. Le train arrière retient par contre beaucoup plus l’attention. Comme sur la DB11, les amortisseurs arrière réagissent avec une détente excessive qui peut délester le train à la suite de compressions.

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante

Une propulsion de 900 Nm impose naturellement un certain respect, mais en l’occurrence, il s’agit plus de retenue. Le train arrière n’a pas autant tendance à se figer que sur la Vantage et est en ce sens moins perturbateur, mais le trait reste bien présent. Que ce caractère soit cultivé par les ingénieurs châssis d’Aston Martin ou une résultante d’autres contraintes et compromis, il reste sujet à réserve et ne sera pas forcément du goût de tous.

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante

Sur cet essai routier dans les alpes suisses, je n’ai jamais éprouvé le besoin de passer la suspension en mode Sport ou Sport+, trop rigides malgré la qualité des revêtements des routes helvétiques. Le roulis en mode Normal est plus visible sur les photos que perceptible au volant. Ma configuration de prédilection sur ce terrain sélectif est donc moteur Sport+, ESP Track, suspension Normal.

Essai Aston Martin DBS Superleggera Volante

Abonnez-vous !

Les derniers articles dans votre boîte email 1 à 2x par mois.