Les performances du V8 biturbo sont légèrement en hausse, mais c’est surtout l’adaptation de la boîte à double embrayage à 8 rapports, dérivée de celle de la SF90, qui constitue la nouveauté principale. Est-ce que celle ci préfigure une future version hybride en permettant l’intégration d’un moteur électrique ? Ferrari n’en dit rien, mais l’hypothèse est plausible.

Le poids à sec revendiqué est inférieur de 73 kg à celui de la Portofino, ce qui aide à expliquer le bond spectaculaire en performances, surtout sur le 0-200 km/h.

Le style extérieur, sensé puiser son inspiration dans la Dolce Vita des années 50-60, est dans la continuité de la SF90, avec un avant pointu et des optiques horizontales qui ne suivent plus les arêtes de ailes. L’agencement intérieur est entièrement nouveau, avec une console centrale haute en pont qui délimite clairement les espaces pilote et passager.

Ferrari ne dévoile aucune autre information sur la Roma.

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