Home / Lamborghini  / 

Essai Lamborghini Huracan Evo: inoubliable

Essai Lamborghini Huracan Evo

LDVI utilise des informations provenant de capteurs inertiels pour piloter la suspension magnéto-rhéologique, mais aussi la répartition du couple entre les trains roulants par le biais du différentiel central piloté, ou encore les roues arrière directrices. LDVI vectorise également le couple, mais ceci est opéré par le biais des freins, pas par les différentiels avant ou arrière.

Essai Lamborghini Huracan Evo

Sur les routes qui serpentent dans les collines du Chianti, ce sont donc les initiatives et réactions de LDVI qui vont influencer les réactions de la Huracan Evo. Le passage en mode Sport redonne de la voix au V10, et surtout du mordant au train avant. La différence à l’inscription en virage est saisissante, conférant à l’Evo l’agilité attendue d’une GT à moteur central arrière et centre de gravité bas.

La distribution du couple change complètement l’équilibre de la voiture. Le train arrière devient plus réactif aux mouvements du pied droit, adoptant un comportement très typé propulsion, mais avec une motricité sans faille. La gestion des roues directrices, et peut-être des freins pour vectoriser le couple, reste naturelle, sans maniérismes.

Essai Lamborghini Huracan Evo

Abonnez-vous !

Les derniers articles dans votre boîte email 1 à 2x par mois.