Essai Mercedes AMG GT 4 portes 63S: la plus value

Essai AMG GT 4 portes 63S

Le col est naturellement encore sous des mètres de neige, et les lacets de la route qui y mène sont donc encore déserts. Le terrain est nettement plus sélectif pour une grande berline et l’AMG GT4 accepte plutôt bien d’être cravachée d’épingle en épingle. Mode Race enclenché et ESP relâché, la voiture est mobile et réactive sans être scabreuse. La monte hivernale demande un minimum de réserve pour éviter de faire un méchoui de Michelin Pilot Alpin 5 surprenants de tenue vu la température clémente. Le freinage, par contre, résiste bien aux sollicitations répétées.

Essai AMG GT 4 portes 63S

Avec toutes les précautions applicables à une comparaison à distance, l’AMG GT4 n’a pas la maestria presque épuisante de la BMW M5, ni dans les accélérations, ni dans la progressivité de ses réactions à la limite, mais elle tire remarquablement son épingle du jeu. Elle ne tombe pas dans l’approximation, ne se désunit pas et reste intéressante à piloter. Avec des virages serrés négociés sur le deuxième ou parfois premier rapport, je m’attendais à une motricité plus délicate mais le couple passe très bien au sol.

Essai AMG GT 4 portes 63S

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