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Essai Range Rover Sport SVR: délicieuse décadence

Essai Range Rover Sport SVR

La position de conduite et le gabarit n’incitent guère à aller arsouiller sur petites routes sinueuses, mais le SVR se comporte de manière très respectable en conduite rapide. A sa sortie en 2014, Range Rover était allé chercher un record de 8’14” sur la Nordschleife, record depuis battu par l’Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio (7’51”7) puis par les Mercedes GLC 63S (7’49”4) mais qui illustre les qualités dynamiques très respectables du SVR face à des gabarits beaucoup plus bas et légers.

Essai Range Rover Sport SVR

Les accélérations et relances ne sont pas particulièrement impressionnantes en regard des chiffres annoncés, en partie du fait du déploiement très progressif du couple, un trait propre aux moteurs à compresseur volumétrique. Il y a cependant largement de quoi rouler à très bon rythme, et la bande sonore qui accompagne les montées en régime compense qualitativement ce qui pourrait paraître un rien décevant sur le plan quantitatif.

Essai Range Rover Sport SVR intérieur Pimento

Le mariage (ou divorce diront certain(e)s) du Velocity Blue et de l’intérieur bicolore Ebony/Pimento paraîtra osé à beaucoup, mais les autres teintes du cuir Windsor – par ailleurs de très belle qualité – offrent des alternatives pour concocter une combinaison moins originale. La finition en carbone brillant est le seul choix réellement attrayant, les alternatives en aluminium brossé ou en sempiternel piano black n’ayant guère d’attrait. La qualité perçue est en ligne avec le tarif.

Essai Range Rover Sport SVR compteurs

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