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Essai Range Rover Sport SVR: délicieuse décadence

Essai Range Rover Sport SVR

Mes derniers repères avec le Range Rover Sport remontent à notre essai du SDV6 HSE en 2014. La sensation d’être perché vertigineusement haut subsiste, et le réflexe de rentrer la tête dans les épaules aux portiques de parkings souterrains difficile à réprimer. A mon goût, le Range Rover Sport est trop haut pour être agréable d’accès: le mouvement pour atteindre le placet du siège est inconfortable pour le dos et le risque de se salir la jambe de pantalon sur le bas de caisse permanent.

Essai Range Rover Sport SVR

Par contre, dès les premiers mètres, les sensations dominantes sont diamétralement opposées au V6 turbodiesel. Simplement dit, le V8 Supercharged change tout à l’expérience de conduite et à la personnalité du Range Rover Sport.

Essai Range Rover Sport SVR

Le V8 de 5.0 litres s’ébroue de manière démonstrative, et l’ensemble moteur-boîte est d’une réactivité presque brusque. En substitut à l’inertie spongieuse qui afflige (presque) tous les turbodiesels, le SVR réagit promptement à toute impulsion du pied droit, ce qui le rend très agile en évolutions urbaines. Le tout s’accompagne du murmure sourd, velouté et diablement attachant du V8.

Essai Range Rover Sport SVR intérieur volant carbone

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