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Essai Toyota C-HR 1.2L AWD

Essai Toyota C-HR

Le 1.2L 116ch se révèle décidément trop mince et Toyota a déjà réagi avec une version amenant un gain appréciable de 14 ch et 20 Nm pour arriver à 130 ch et 205 Nm contre un surcoût de 1000 CHF seulement. De quoi combler un peu cette lacune mais, sans pouvoir me prononcer circonstanciuellement, peut-être encore trop juste. La version hybride m’est apparue plus réactive et agréable dans ses relances, impression confirmée par son temps annoncé 0.9s plus rapide sur le 0-100 km/h. N’ayant pas eu l’occasion de tester l’ensemble sur les mêmes boucles qu’avec notre C-HR d’essai, je resterai sur cette première impression qui me ferait choisir clairement l’hybride pour son meilleur agrément de conduite.

Essai Toyota C-HR

La topographie accidentée de notre beau pays abrite une clientèle fervente de la sécurité et de la quiétude amenés par une transmission intégrale et, selon la force de vente du réseau Toyota, le 1.2L AWD s’impose largement dans les ventes, sauf en milieu urbain, où la clientèle est plus sensible à l’hybride et trouve une transmission intégrale superflue. Les deux configurations sont offertes à des prix équivalents, donc l’aspect financier ne rentre pas en ligne de compte.

Un look totalement innovant et et le cachet d’un crossover coupé, c’est bien ce qu’apporte ce C-HR. Les clients sensibles aux performances ainsi qu’aux aspects pratiques de ce type de véhicule seront plus difficiles à convaincre. Les tarifs pratiqués ne sont pas particulièrement attrayants non plus. La finition “Premium” est très complète mais chère. Ce modèle pourra par contre compter sur le capital “sympathie” dont bénéficie Toyota dans notre pays, avec sa bonne réputation de fiabilité.

Essai Toyota C-HR phare arrière

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