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Essai Toyota C-HR 1.2L AWD

Essai Toyota C-HR

Des ouvertures de portes étriquées et une hauteur sous plafond limitée, surtout aux places arrières, feront se sentir un adulte à l’étroit. Le seuil de chargement du coffre est haut et, le volume de 377 litres parait indigne d’un crossover de 4’360 mm de long. Toyota a clairement sacrifié l’habitabilité et les aspects pratiques du C-HR en faveur du style et d’une ambience intérieure plus engoncée. Les sièges avant, résolument sportifs et bénéficiant d’un confort et d’une tenue convaincants, vont d’ailleurs dans ce sens. Si vous cherchez un crossover familial, le C-HR n’est pas le meilleur candidat.

Essai Toyota C-HR 1.2L AWD

La position haute, typique d’un crossover, offre une vision dominante de la circulation. En évolution urbaine, l’ensemble est facile à manoeuvrer, bien aidé par une direction très facile et des dimensions se mettant facilement dans l’oeil. Toutefois, le module entourant le rétroviseur central empiète sur la visibilité vers l’avant, peu aidée par ailleurs par le pare-brise assez bas.

Essai Toyota C-HR 1.2L AWD

Si la boite Multidrive S est extrêmement agréable dans son utilisation, sa logique de fonctionnement est un peu désarmante: elle cherche toujours le régime optimal, celui-ci variant plus en fonction de la sollicitation de la pédale de gaz que de la vitesse. L’exécution des diverses consignes se fait dans un temps jugé acceptable. Dépourvue de rapports de transmission à proprement parler (le variateur continu en offre une infinité), l’impression est plutôt moelleuse.

Essai Toyota C-HR optiques phares

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