Range Rover Evoque : Contact
Les motorisations disponibles au lancement comprennent 2 versions d’un diesel de 2.2l développant 150 ch ou 190 ch, et un moteur essence de 2.0l de 240 ch. Il est possible de spécifier une transmission avant uniquement ou aux quatre roues. Boite manuelle et automatique sont également au programme. Notre modèle de test – Evoque SD4 « Pure » – dispose d’une boite manuelle 6 rapports accouplée au moteur diesel de 190 ch et 5 portes.
L’intérieur est chaleureux et fonctionnel. Le tableau de bord est dominé par un grand écran LCD tactile permettant le contrôle des fonctions de navigation, radio, lecteur MP3 et de la configuration des différents paramètres de la voiture. Un second LCD situé entre le tachymètre et le compte-tour indique les paramètres essentiels de fonctionnement. J’apprécie le choix des matériaux dans notre voiture de test dont le tableau de bord n’est pas recouvert de cuir mais d’un tissu « technique » avec coutures en surpiqûres d’apparence bien plus classe que du plastique moulé. Je déplore toutefois sur la casquette des compteurs un défaut de coupe de ce tissu qui provoque quelques boursouflures, espérons qu’il ne s’agit que d’un défaut de jeunesse sur cet exemplaire de début de production.
Les sièges standard de notre voiture s’avèrent confortables, ils sont recouverts d’un cuir structuré de bonne facture. La place à l’arrière ne souffre aucune critique, elle est même surprenante pour une voiture aussi courte. 2 ou 3 adultes peuvent y prendre place sans le moindre souci d’espace pour les jambes ou de garde au toit. Par contre, à la concession, j’essaie d’entrer à l’arrière de la version coupé, après avoir ajusté le siège à ma taille, l’exercice demande un peu de souplesse, il est fort dommage que Land Rover n’ait pas prévu l’avance automatique du siège en inclinant son dossier. Le coffre reste volumineux et offre la possibilité d’être étendu. Sa surface est parfaitement plane, mais son seuil de chargement est assez haut.