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Essai Lotus Evora S: the Lotus Notes

Derrière les baquets Recaro, un espace de rangement bienvenu pour des bagages, l’absence de coffre à l’avant limitant la capacité à un compartiment assez exigu dans le bouclier arrière, maintenu tiède par le V6. Selon Lotus, 4 Evora sur 5 se vendent en configuration 2+2 (+5700 CHF), plus pour préserver la valeur de revente que pour l’utilité réelle des places arrières.

Essai Lotus Evora S: espace arrière Essai Lotus Evora S: contacteurs Essai Lotus Evora S: console centrale

La grande Lotus est bien plus belle en réalité qu’en photographie. Ses lignes ne m’avaient jamais convaincu auparavant, mon regard s’accrochant sur le bouclier avant, la découpe des bas de caisse et la ligne du toit croisant avec celle du capot moteur. L’ensemble me semblait aussi disgracieux en photo qu’il m’est apparu fluide et élégant en vivant quelques jours avec l’Evora. Une belle voiture, valorisante, comme en témoignent les commentaires élogieux entendus sur son passage.

Essai Lotus Evora S

Sur autoroute, la voiture se pose en GT décente. Le bruit de roulement provenant des pneus est assez présent mais les bruits d’air bien filtrés. La sonorité de l’échappement devient un peu fatigante à la longue et l’habitabilité restreinte conjuguée à la visibilité panoramique réduite n’en font pas un endroit de prédilection pour enquiller 6 heures d’autoroute d’affilée.

Essai Lotus Evora S: compteurs

Avec une liste de doléances aussi longue, L’Evora S devait impérativement se racheter dans ce qui devrait être sa discipline de prédilection – la conduite sportive – ce qu’elle fit en démontrant des qualités dynamiques réjouissantes. Direction Moudon et l’entame d’une des belles routes polissonnes que le Gros-de-Vaud recèle, alternant épingles, dénivelés et grandes courbes en serpentant jusqu’à Yverdon.

Essai Lotus Evora S

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