La performance est solide, avec un chiffre d’affaire en augmentation de 10.1% à 3.766 milliards d’euros, et un résultat opérationnel qui augmente de 11.2% à 917 millions d’euros. L’augmentation des revenus de la F1 compense la diminution (et bientôt disparition) des ventes de moteurs à Maserati.

La marge opérationnelle était légèrement plus faible au quatrième trimestre que lors des trimestres précédents, mais compensée par un bond des prix moyens de vente, sans doute en partie du fait des premières livraisons de SP1 et SP2.

Ferrari revoit ses prévisions 2020 à la hausse avec désormais un chiffre d’affaires projeté au-dessus de 4.1 milliards d’euros, et une marge opérationnelle de 24%, soit 0.95 à 1 milliard d’euros de bénéfices avant impôts.

Les points marquants de 2020 seront les lancements commerciaux de la SF90 Stradale au deuxième semestre, la première Ferrari hybride plug-in, ainsi que des cabriolets 812 GTS et F8 Spider et du nouveau coupé Roma au quatrième trimestre. Louis Camilleri a également annoncé deux nouveaux modèles supplémentaires pour 2020. Ferrari investit dans ses infrastructures, ses ressources humaines, mais également dans son empreinte environnementale. Ferrari parle désormais de neutralité carbone, mais sans échéancier.

Sur le marché suisse, Ferrari a réalisé une excellente année 2019 avec une progression de 10% des immatriculations:

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