Essai Aston Martin DB11 AMR: évolution subtile
Derrière le volant un écran LCD séparé en trois sections affiche en son centre un grand compte-tour analogique avec l’affichage digital de la vitesse en son centre. De chaque côté on trouve les indications de température et de voyage.
Au centre du tableau de bord un deuxième affichage sert aux fonctions du système d’infotainment. Les commandes de ces fonctions sont effectuées par les boutons de commande de provenance Mercedes.
La voiture dispose de deux réglages séparés pour les modes moteur et boites et pour le châssis. Deux boutons de chaque côté des branches du volant permettent de configurer séparément ces deux paramètres indépendamment. Les réglages possibles sont GT, S et S+ pour la mécanique et l’amortissement.
La prise en main de la voiture s’avère plus facile que je ne l’imaginais. Je commence mon parcours de test par de l’autoroute et je me retrouve tout à l’aise à son volant. La largeur de la voiture reste raisonnable et similaire à celle des berlines ou SUV de haut de gamme. La visibilité vers l’avant est un peu entravée par le haut du pare-brise abaissé, un peu comme dans une Lamborghini.