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Essai Lamborghini Urus: corrida dans le Chianti

Essai Lamborghini Urus

La boite automatique est un niveau en-dessous dans ces conditions. En mode manuel, on ne perçoit pas toujours si les actions sur les palettes ont bien été exécutées. L’ensemble  moteur-boîte exécute trop discrètement les changements de rapports, surtout lors des rétrogradages. Aucun à-coup ou prise de régime pour confirmer que l’action demandée a été bien effectuée.

Essai Lamborghini Urus

La direction fait bien remonter bien les aspérités des routes parfois bien bosselées de Toscane. Le freinage est à son affaire. Le ressenti à la pédale pourrait être un peu plus ferme, mais globalement il ne faiblit pas à ralentir cette voiture après de longs tronçons en roulant fort. La taille des pinces de frein avant est assez impressionnante et contraste avec celles montées à l’arrière. La différence entre les deux est presque comique.

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Sur près de 800 km, en grande partie sur des routes principales à bonne allure, notre consommation moyenne s’est établie à 18.95 l/100km. Sur le dernier trajet de retour, en bonne partie sur autoroute, nous avons consommé 13.63 l/100km. Il n’y a pas de miracle, une voiture lourde et performante se paie à la pompe. Le réservoir de 85 litres permet tout de même une autonomie décente.

Essai Lamborghini Urus

Reste à parler du prix. En Suisse, un Urus démarre à CHF 237’500.- (€212’416.-) soit à peu près au même niveau que le haut de gamme chez Porsche, la Cayenne Turbo S E-Hybrid Coupé. Il y a ensuite la possibilité de personnaliser son Urus avec de nombreuses pièces en carbone comme notre exemplaire d’essai, particulièrement bien fourni.

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