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Essai Lamborghini Urus: corrida dans le Chianti

La transmission aux quatre roues est assurée par une boite automatique à 8 vitesses. Un différentiel central Torsen répartit le couple entre les train avant et arrière. Cette répartition peut varier du standard 40/60 avant-arrière à 70% sur l’avant ou 87% sur l’arrière. Le train arrière dispose d’un différentiel piloté avec possibilité de varier la transmission du couple sur la roues intérieure et extérieure (torque vectoring).

Enfin, les roues arrière sont directrices. L’angle de braquage varie de +/- 3 degrés. L’effet est une réduction virtuelle de l’empattement de 60 cm à basse vitesse pour privilégier l’agilité, et une augmentation de 60 cm à haute vitesse pour une meilleure stabilité.

Essai Lamborghini Urus

Des suspensions pilotées ainsi que, pour la première fois sur une Lamborghini, des barres anti-roulis actives permettent de garder l’assiette de cette voiture sous contrôle. Le comportement de la voiture est ajustable à l’aide du « Tamburo », un levier sur à gauche de la console centrale qui permet de choisir l’un des modes suivants : Strada, Sport, Corsa, Sabbia, Terra ou Neve. Trois modes pour la route et trois modes pour le tout terrain, sable, terre ou neige. A droite de la console centrale, un autre levier permet de sélectionner le mode EGO ajustant une combinaison des paramètres de transmission, direction et amortissement.

Essai Lamborghini Urus

L’Urus impose plus par sa taille que par un dessin agressif comme les gènes de la marque pourraient le laisser supposer. L’ADN Lamborghini est bien présent, notamment une surface de vitres en proportion très faible qui démarque ce SUV de ses concurrents. La ligne de toit plongeant vers l’arrière ainsi que la vitre du hayon arrière très inclinée soulignent le caractère sportif et la couleur jaune lui convient à merveille à mes yeux.

Essai Lamborghini Urus

L’intérieur m’est apparu de très bonne facture. Notre voiture de test dispose des options « carbone » qui, avec le cuir et les surpiqûres jaune, donnent un aspect très typé sport. Le dessin des buses d’aération tout comme les graphiques des affichages sont dans à l’avenant. Lamborghini a soigné les détails pour que l’atmosphère soit cohérente avec son image. L’équipement est moderne et complet. On trouve deux écrans sur la console centrale ainsi qu’un troisième écran derrière le volant. Sans oublier le Head up Display, qui affiche lui aussi une fonte identique à celle de l’instrumentation.

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