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Essai Volvo XC40 T5 R-Design: essai de l’année?

Essai Volvo XC40 T5 instruments compteurs

Le système gérant de manière autonome la direction et la vitesse, vous n’êtes dérangé que lors de l’arrêt complet du véhicule qui nécessite une légère pression sur les gaz pour redémarrer. A basse vitesse, le système met en confiance et à aucun moment je n’ai eu besoin de reprendre le contrôle à la dernière seconde. La consultation de son smartphone, bien qu’interdite, nous sommes d’accord, est réellement possible. Dans un avenir proche et avec des “si”, il pourrait être possible de transformer son temps de trajet en temps libre et Volvo semble sur la bonne voie avec sa technologie embarquée.

Essai Volvo XC40 intérieur sièges arrière

Mais il y’a tout de même un terrain qui m’apparaît moins propice à ce XC40 T5, soit le réseau secondaire. Si l’amortissement, le tangage ainsi que le roulis sont toujours bien maîtrisés, les longues accélérations sont décevantes. Peu importe le style de conduite adopté, l’embonpoint de notre suédoise est pénalisant. Ayant commencé mon essai par ce type de route et ce soucis d’accélération m’ayant rapidement sauté aux yeux, j’ai véritablement contrôlé qu’il s’agissait du bloc T5 et ses 247 ch présents sous le capot. Si l’accélération ne doit pas être comparée à une sportive, il est tout de même à relever que la mise en vitesse est tellement linéaire et lente que je n’imagine pas viable d’opter pour une des motorisations moins performantes.

Essai Volvo XC40 intérieur sièges avant

Le manque d’allonge relatif du 4 cylindres turbo couplé à des rapports supérieurs relativement longs et conjugué au poids élevé diluent les sensations et les rendent trompeuses. Le XC40 T5 ne devrait pas avoir à rougir des 6.5 secondes revendiquées sur le 0-100 km/h, mais son couple maxi est juste en ligne avec une concurrence nettement plus légère dans le cas d’un Q3 pourtant vieillissant.

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