Cette philosophie est cultivée aujourd’hui par Akio Toyoda, président de Toyota Motor Corporation, et par TOYOTA GAZOO Racing qui visent les lauriers au plus haut niveau du sport international, à commencer par le WRC, le WEC ainsi que les 24 Heures du Mans.

4’574 mm de long pour 2’048 de large et 1’230 mm de haut, sans oublier un empattement de 2’470 mm, voici les dimensions du modèle présenté à Genève. En terme de design, châssis et autres technologies, nous avons affaire à une carrosserie spectaculaire dotée d’un grand aileron arrière comme les aiment les fans des marques nippones. Des matériaux composites robustes mais légers pour des éléments tels que les larges boucliers avant et arrière, le séparateur avant et le diffuseur arrière, les jupes latérales, les coques de rétroviseur et l’aileron. Le capot est percé d’écopes d’aération alors que le pare-brise et les vitres latérales sont en matière plastique.

Le châssis est suspendu par des suspensions avant et arrière surbaissées et les jantes de compétition BBS fixées par un écrou central et chaussées de pneus de course Michelin. Le système de freinage fait appel à des disques et des étriers Brembo Racing, et la ligne d’échappement est également conçue pour la course. Toujours dans l’esprit de la compétition, l’habitacle est équipé d’un tableau de bord course ainsi que d’un seul siège. Volant à palettes OMP et moyeu escamotable, monté sur une colonne de direction spéciale compétition, si ces ingrédients sont les prémices de la prochaine Supra, attention les “dégâts” qu’elle va faire sur routes ouverte. Les portes sont doublées de panneaux en fibre de carbone.