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Essai Renault Megane 4 RS Trophy: taillée pour la piste ?

Essai Renault Megane 4 RS Trophy

En utilisation citadine, les manœuvres sont aisées et les diverses aides sont là pour combler la visibilité réduite vers l’arrière, mais meilleure que sur la 3ème génération. Le moteur est vraiment creux avant le spool-up du turbo et sous le régime de couple maximum de 3’200 t/min. Cela impose de de rouler un rapport en-dessous et de maintenir un régime inhabituellement élevé pour les groupes turbocompressés contemporains. Et la consommation s’en ressent, nous y reviendrons.

Essai Renault Megane 4 RS Trophy

Si ce n’est la magnifique couleur jaune “Sirius” qui attire tous les regards, cette Megane 4 RS Trophy est assez passe-partout et docile, pour autant qu’on n’ait pas trop de démangeaisons au niveau du pied droit. C’est l’entrée d’autoroute de Chexbres, direction Valais, qui me fera très rapidement prendre conscience que la Trophy n’est pas proposée pour rigoler.

Essai Renault Megane 4 RS Trophy antibrouillards

Virage à 270 degrés se refermant, voie d’entrée en montée et insertion dans le trafic aux alentours de 16h30 un vendredi, autant avoir de la cavalerie sous le capot pour que tout se passe comme nous l’avons décidé. Le virage passe sans forcer et le bloc M5Pt prend les tours à une vitesse hallucinante, sans pour autant mettre à mal l’adhérence. Si l’accélération n’a pas le côté brutal d’une Peugeot 308 GTi ou d’une Hyundai i30N, elle se traduit rapidement par des vitesses répréhensibles sur le compteur.

Essai Renault Megane 4 RS Trophy

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