A l’intérieur, les changements sont plus importants. Le look tout alu a disparu, plus de cache-radio, les barres près du levier de vitesse sont remplacées par un dessin différent du tableau de bord. Par contre les diffuseurs d’air restent les mêmes.

Le volant reprend la jante aplatie de la RS4, sans les inserts décoratifs. Les sièges semblent nouveaux, un dessin similaire au Recaro déjà vu sur d’autres modèles de la marque, mais avec des bourrelets latéraux plus prononcés. La taille des vitres a grandi, la sensation claustrophobique de regarder par des meurtrières a disparu.

Le design du tableau de bord est plus réussi que l’ancien. Le volume du coffre prend aussi l’ascenseur, surtout après avoir rabattu les sièges arrières, qui restent trop exigus pour des adultes.

D’ailleurs, le service litiges et contencieux d’Audi Gmbh a dû s’inquiéter de la chose:

Côté technique, le châssis possède une combinaison inédite d’aluminium et d’acier, toute la base arrière est construite dans ce dernier métal, de manière à équilibrer la répartition du poids. Ce qui est remarquable, c’est la diminution de celui-ci (20kg pour la traction, 60kg pour la Quattro), malgré une augmentation de la taille de la voiture (+13.7cm en longueur, + 7.8cm en largeur).