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Essai Suzuki Swift Sport: l’ADN Swift

Essai Suzuki Swift Sport jante

L’épaisseur des biellettes accrue, des joints en Téflon et un seul bloc pour le moyeu et le roulement permettent une augmentation de 15% de la rigidité en carrossage. Le niveau de fermeté est plus élevé, sans pour autant avoir touché au tarage des amortisseurs avant. Et pour l’arrière, c’est également une rigidité accrue qui a été recherchée, ainsi qu’une résistance au roulis augmentée, permettant à cet essieu de garder la trajectoire, en espérant tout de même qu’il soit vivant et joueur.

Essai Suzuki Swift Sport turbocompresseur

La vraie révolution est cependant à aller chercher sous le capot. De l’ancien 1.3L atmo des Swift GTi en passant par le 1.6L atmo des versions “Sport” précédentes, c’est maintenant un bloc 1.4L turbocompressé BOOSTERJET (type K14C) à injection directe qui propulse cette Swift. Il développe 140 ch à 5’500 t/min et, surtout, 230 Nm de 2’500 à 3’500 t/min. Le couple est donc disponible bien plus bas que les anciennes motorisations atmosphériques mais le régime de puissance maximum à 5’500 t/min laisse quelques doutes sur son appétit à prendre des tours.

Essai Suzuki Swift Sport intérieur

L’intérieur présente de belles touches sportives avec des rappels rouges vifs mais l’ensemble des matériaux sont relativement bas de gamme. Sièges semi-baquets à l’avant pas forcément radicaux mais offrant un bon maintien et des instruments relativement bien placés, il est temps de tourner la clé. Aucun bruit charismatique ne se dégage de ce nouveau bloc turbocompressé et c’est un peu dommage, en comparaison direct à sa plus proche concurrente de chez Abarth.

Essai Suzuki Swift Sport

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