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Essai MINI Clubman John Cooper Works

Essai MINI Clubman JCW

Le caractère volontaire du moteur reste présent, mais le brio à plus haut régime n’est pas éblouissant. Il commence à manquer de souffle au-dessus de 5000 t/min et, particularité peu commune, ne butte pas contre un rupteur coupant l’allumage. Il plafonne à son régime maxi. La bonne nouvelle est que les vitesses atteintes en tirant sur les rapports intermédiaires restent raisonnables. On peut avoir la satisfaction de taper dans le moteur se concentrer ensuite sur l’exploitation de l’excellent châssis sans verser dans des excès trop répréhensibles.

Essai MINI Clubman John Cooper Works

La sonorité assez ronde se teinte des harmoniques plus rageuses d’un 4 cylindres en ligne, et le côté le plus réussi est sans doute la répartition acoustique entre l’avant et l’arrière, comme si le bruit d’admission était idéalement balancé par les marmites arrières. Mode sport activé, la sonorité s’affirme un peu plus, l’échappement ponctue les montées de rapport d’un “poc” démonstratif, et quelques pétarades ponctuent ça et là les phases de retenues.

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Des Bridgestone Potenza S001 en 225/35R19, un centre de gravité bas et des suspensions bien tarées concourent à des prises d’appui franches et l’absence de toute inertie lors des changements de direction. La motricité irréprochable permet de sortir en force des épingles plus serrées, mais la surconduite sera naturellement punie d’un sous-virage progressif. Le comportement est en ce sens nettement moins typé propulsion qu’une BMW M135i xDrive.

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