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Essai Audi TT 3.2 DSG

Essai Audi TT 3.2 DSG

Le mode par défaut est automatique, comme en témoigne le levier Tiptronic/Multitronic/Etceteratronic, et l’indicateur PRND au tableau de bord. Les rapports montent et descendent automatiquement, mais une simple pression sur les palettes situées derrière le volant (+ à droite, – à gauche, comme c’est – presque – devenu la règle) ou sur le levier de vitesse permet d’imposer ses décisions à tout instant. Le système retombe en mode automatique après 30 secondes d’inaction.

Autre détail agréable, la TT 3.2 DSG rampe au ralenti : lâchez la pédale de frein et la voiture avance (ou recule selon le mode engagé) tout doucement, permettant de manœuvrer aisément. C’est d’ailleurs le seul cas où j’ai pu déceler un très léger inconvénient, une faible vibration lorsqu’on retient la voiture avec les freins alors qu’elle avance au ralenti. Pas de quoi fouetter un chat, encore moins un choix !

Le seul gros défaut qu’on puisse trouver à la boîte DSG est de ne pas être disponible sur ses cousines A4 & A6. A noter que cette technologie est également utilisée sur la Bugatti Veyron et pressentie sur la Porsche 997 Turbo !

Essai Audi TT 3.2 DSG

Essai Audi TT 3.2 DSG

Notre TT 3.2 DSG d’essai, mise à disposition par le garage Arenaz, est une commande spéciale réalisée par Quattro Gmbh, la filiale sport et haute couture d’Audi, avec une couleur et une finition cuir spécifiques, très probablement un modèle unique. Même si la peinture bordeaux ne sera pas du goût de tous, la couleur se marie bien avec le cuir clair et donne une classe indéniable à l’ensemble.

Essai Audi TT 3.2 DSG
Essai Audi TT 3.2 DSGEssai Audi TT 3.2 DSG

A l’intérieur, finition classe Audi, soit le tout haut du panier avec les Porsche récentes. De belles pièces en alu brossé, comme les bouches d’aération, les piliers de console centrale ou la trappe de réservoir d’essence. Les fenêtres empiètent un peu la visibilité latérale, méfiance aux intersections, mais la position de conduite est confortable et plaisante, avec des sièges offrant un bon maintien. Les places arrières sont symboliques, impossible d’y loger les jambes d’un enfant, encore moins d’un adulte, si le siège conducteur est réglé pour mes 182cm. Les dossiers de ces strapontins sont rabattables et permettent d’augmenter la capacité de chargement, le volume initial de 220L étant plutôt chiche.

Le gros VR6 accompagne vos déplacements d’un feulement discret mais sympathique, bien plus raffiné que ses cousins à 4 cylindres. Onctueux, bien rempli, avec des montées en régime linéaires, amenant un plus significatif en agrément. Les performances sont d’un excellent niveau, ce malgré le fait que le TT3.2 DSG dépasse les 1500kg à vide.

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