F1 2025
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Re: F1 2025
Message par your momo » 25 mai 2025 00:16
Tour magique, et pourtant ces F1 de 5m sont pas idéales pour aller vite sur ce tourniquet - bravo à Norris pour cet exploit !
your momo
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Re: F1 2025
Message par Corsugone » 25 mai 2025 13:01
Le Figaro.
Formule 1 : Oscar Piastri, l’irrésistible ascension d’un prodige
PORTRAIT - Discret en dehors des circuits et redoutable sur la piste, l’Australien de 24 ans a toutes les cartes en main pour décrocher le titre mondial cette année.
Et si 2025 marquait à la fois la fin de l’hégémonie de Max Verstappen – sacré champion sans discontinuer depuis quatre ans –, et l’avènement de celui qui pourrait être son plus redoutable rival lors des prochaines années, à savoir Oscar Piastri ? À 24 ans, l’Australien – aux origines italiennes remontant au début du XXe siècle lorsque son arrière-arrière-grand-père avait quitté la Toscane pour s’installer au bout du monde – se présente à Monaco dans un costume de leader du championnat (avec 13 longueurs d’avance sur son coéquipier chez McLaren Lando Norris) qui lui sied à ravir. D’autant plus que ce nouveau statut s’inscrit à la perfection dans une courbe de progression exponentielle depuis ses débuts en Formule 1 au volant d’une McLaren en 2023. Et non pas d’une Alpine, comme cela aurait pu être le cas…
Remarqué par la marque au losange après son sacre en Formula Renault Eurocup à 18 ans, Oscar Piastri avait en effet intégré le giron de l’écurie française début 2020 au sein de la Renault Sport Academy. Dans la foulée, il remporte le titre en Formule 3 devant le Français Théo Pourchaire , autre grand espoir de la discipline qui peine pour l’instant à trouver un baquet dans la reine des compétitions automobiles. Avant de confirmer en 2021 avec la couronne décrochée en Formule 2. Une ascension irrésistible, qui l’amène au rôle de pilote réserviste chez Alpine, avec qui il avait effectué ses premiers tours de roue à bord d’une Formule 1 en 2020 lors des tests de fin de saison réservés aux jeunes talents. Son avenir apparaît alors tout tracé.
À tel point qu’Alpine commet le péché de suffisance de croire leur relation acquise en annonçant, début août 2022, la promotion d’Oscar Piastri comme titulaire pour la saison prochaine, en lieu et place d’un Fernando Alonso venant tout juste d’officialiser son départ pour Aston Martin. Un empressement qui n’aurait pu être qu’un détail de l’histoire. Sauf qu’il allait changer le destin de l’Australien, conseillé en coulisses par son compatriote Mark Webber, l’ancien coéquipier de Sebastian Vettel du temps de chez Red Bull. Fort de ses plus de 200 départs en F1 assortis de 9 victoires, Webber n’est pas le perdreau de l’année, et il n’a pas besoin non plus d’être un grand devin pour sentir que le ramage de l’Alpine est très loin de valoir le plumage de son protégé. Ses connections au sein du paddock vont alors se charger d’en faire le phénix de la discipline en lui offrant une porte de sortie du côté de McLaren, où il avait commencé à courtiser Zak Brown.
«Un talent brillant et rare»
Un choix ô combien déterminant pour la suite de la carrière de l’Australien qui en profitait au passage pour démontrer un caractère pour le moins affirmé et déterminé. À l’image de sa déclaration de l’époque, tranchante comme la lame d’un rasoir : « Sans mon accord, Alpine a publié un communiqué pour dire que je piloterai pour eux la saison prochaine. C’est faux et je n’ai pas signé de contrat avec eux pour 2023. Je ne conduirai pas pour Alpine la saison prochaine. »
Pour certains – comme le patron de Mercedes , Toto Wolff, qui avait lâché à son endroit « croire au karma et à l’honnêteté » –, il s’agissait alors d’un acte d’ingratitude fort à l’égard d’une filière Renault qui lui avait permis de gravir les différents échelons jusqu’à son sommet, la Formule 1. Le tout empreint d’une forte dose de suffisance pour un pilote alors âgé de seulement 21 ans qui, malgré sa remarquable réussite dans les différentes formules de promotion, avait encore tout à prouver. Autant d’épines potentielles dans le pied qu’il allait devoir assumer lors d’une saison 2023 où, forcément, ses performances allaient être épiées, et pas simplement parce qu’il était le petit nouveau de la classe présenté comme un surdoué…
« Oscar est un talent brillant et rare », avait ainsi déclaré Otmar Szafnauer , le directeur exécutif d’Alpine, à son sujet avant de voir avec aigreur le petit prodige composer des symphonies sur la piste pour un autre orchestre que le sien. Son premier grand prix, disputé sur le circuit de Sakhir (Bahreïn), tournait (sans surprise) mal, entre une 18e place en qualifications et un abandon au bout de treize tours de course en raison d’un problème électronique sur sa monoplace. Mais l’Australien n’est pas pilote à douter et moins d’un mois plus tard, à domicile du côté de Melbourne, il inscrivait ses premiers points en terminant 8e.
«Un calme olympien»
Derrière, studieux, doté d’une capacité à apprendre vite et très bien, il poursuivait son apprentissage, terminant au pied du podium à Silverstone (Grande-Bretagne) avant de monter dessus pour la première fois le 24 septembre à Suzuka (Japon) en finissant au 3e rang. Décomplexé, il enchaînait à Doha avec une victoire lors de la course sprint et une 2e place lors du grand prix qui finissaient de convaincre les dirigeants de McLaren de le prolonger jusqu’en 2026. « C’est un pilote très talentueux et c’est un atout pour l’équipe, donc c’est génial de continuer ensemble sur le long terme», disait de lui Zak Brown, son patron, sous le charme de ce garçon au visage souvent impassible, ce qui pourrait en faire un redoutable joueur de poker s’il le souhaitait.
« Ce qui était déjà son point fort à l’époque, c’est qu’il est d’un calme olympien », jugeait ainsi dans les colonnes du quotidien Ouest-France Thibaut de Mérindol, son patron lors de son passage dans l’écurie R-ace en Formula Renault Eurocup. « C’est un animal à sang froid. Il est très intelligent, calculateur, discret et gère très bien ses émotions. J’ai pu le revoir il y a quelques mois, à l’occasion de la remise des prix FIA (en décembre 2024) et il n’a pas changé. Il est resté très simple. C’est le même Oscar Piastri que j’ai connu en 2019. Il ne fait pas de bruit, pas de vague, mais est redoutablement efficace, sans en donner l’air. »
Chez Oscar Piastri, la joie, tout comme la colère, sont des plats qui se mangent froids, sans laisser transparaître trop d’émotions. Il en va ainsi de sa réaction, loin d’être effusive, après la première victoire de sa carrière en F1, acquise il est vrai dans des conditions particulières à Budapest (Hongrie) le 21 juillet 2024 après que des consignes de course internes à son équipe aient intimé l’ordre à son coéquipier Lando Norris de le laisser passer à quatre tours de la fin. Ou plutôt de lui rendre sa place, qu’il avait perdue lors de son passage aux stands. Malgré un fort caractère, l’Australien se garde bien d’avoir un mot plus haut que l’autre. Par éducation peut-être, pour lui dont l’amour de la course est né de sa passion pour les voitures… télécommandées.
« Golden boy »
Initié aux bolides téléguidés par son père Chris - fondateur de HP Tuners, un logiciel de diagnostic automobile -, le natif de Melbourne ne tarde pas à briller dans la discipline en en devenant champion national à seulement 8 ans. À 10 ans, il découvre le karting. Rapidement, les compétitions australiennes deviennent trop petites pour lui et à l’âge de 15 ans, il s’envole pour l’Angleterre où son talent met néanmoins du temps à rayonner. Il lui faut en fait attendre son passage dans une monoplace, en Formula Renault Eurocup, pour faire étalage de tout son potentiel. Au point d’être aujourd’hui un candidat au titre suprême en Formule 1. Une consécration que certains, dans le paddock, espèrent pour mettre en valeur un pilote au caractère moins taciturne que celui de Max Verstappen, mais aussi moins bling-bling que celui d’un Lewis Hamilton.
D’un naturel très discret, Oscar Piastri est, jusqu’à présent, parvenu à préserver le secret entourant sa vie privée, qu’il n’expose pas sur ses réseaux sociaux. Une attitude qui faisait dire à l’ancien champion du monde Jacques Villeneuve, dans un entretien accordé à un site de paris sportifs : « Piastri est le chouchou. C’est le golden boy du moment. Si quelque chose devait arriver, je suis sûr qu’il ne serait pas pénalisé aussi facilement que Max Verstappen. Ce facteur va beaucoup l’aider dans la lutte pour le titre. » Un effet de mode qui n’en fait pas pour autant une personnalité lisse, comme l’avait démontré sa rupture avec Alpine. Fort de ses six victoires jusqu’à présent en F1, l’Australien a cependant encore quelques paliers à franchir. À commencer par celui consistant à s’imposer à Monaco ce week-end ?
Formule 1 : Oscar Piastri, l’irrésistible ascension d’un prodige
PORTRAIT - Discret en dehors des circuits et redoutable sur la piste, l’Australien de 24 ans a toutes les cartes en main pour décrocher le titre mondial cette année.
Et si 2025 marquait à la fois la fin de l’hégémonie de Max Verstappen – sacré champion sans discontinuer depuis quatre ans –, et l’avènement de celui qui pourrait être son plus redoutable rival lors des prochaines années, à savoir Oscar Piastri ? À 24 ans, l’Australien – aux origines italiennes remontant au début du XXe siècle lorsque son arrière-arrière-grand-père avait quitté la Toscane pour s’installer au bout du monde – se présente à Monaco dans un costume de leader du championnat (avec 13 longueurs d’avance sur son coéquipier chez McLaren Lando Norris) qui lui sied à ravir. D’autant plus que ce nouveau statut s’inscrit à la perfection dans une courbe de progression exponentielle depuis ses débuts en Formule 1 au volant d’une McLaren en 2023. Et non pas d’une Alpine, comme cela aurait pu être le cas…
Remarqué par la marque au losange après son sacre en Formula Renault Eurocup à 18 ans, Oscar Piastri avait en effet intégré le giron de l’écurie française début 2020 au sein de la Renault Sport Academy. Dans la foulée, il remporte le titre en Formule 3 devant le Français Théo Pourchaire , autre grand espoir de la discipline qui peine pour l’instant à trouver un baquet dans la reine des compétitions automobiles. Avant de confirmer en 2021 avec la couronne décrochée en Formule 2. Une ascension irrésistible, qui l’amène au rôle de pilote réserviste chez Alpine, avec qui il avait effectué ses premiers tours de roue à bord d’une Formule 1 en 2020 lors des tests de fin de saison réservés aux jeunes talents. Son avenir apparaît alors tout tracé.
À tel point qu’Alpine commet le péché de suffisance de croire leur relation acquise en annonçant, début août 2022, la promotion d’Oscar Piastri comme titulaire pour la saison prochaine, en lieu et place d’un Fernando Alonso venant tout juste d’officialiser son départ pour Aston Martin. Un empressement qui n’aurait pu être qu’un détail de l’histoire. Sauf qu’il allait changer le destin de l’Australien, conseillé en coulisses par son compatriote Mark Webber, l’ancien coéquipier de Sebastian Vettel du temps de chez Red Bull. Fort de ses plus de 200 départs en F1 assortis de 9 victoires, Webber n’est pas le perdreau de l’année, et il n’a pas besoin non plus d’être un grand devin pour sentir que le ramage de l’Alpine est très loin de valoir le plumage de son protégé. Ses connections au sein du paddock vont alors se charger d’en faire le phénix de la discipline en lui offrant une porte de sortie du côté de McLaren, où il avait commencé à courtiser Zak Brown.
«Un talent brillant et rare»
Un choix ô combien déterminant pour la suite de la carrière de l’Australien qui en profitait au passage pour démontrer un caractère pour le moins affirmé et déterminé. À l’image de sa déclaration de l’époque, tranchante comme la lame d’un rasoir : « Sans mon accord, Alpine a publié un communiqué pour dire que je piloterai pour eux la saison prochaine. C’est faux et je n’ai pas signé de contrat avec eux pour 2023. Je ne conduirai pas pour Alpine la saison prochaine. »
Pour certains – comme le patron de Mercedes , Toto Wolff, qui avait lâché à son endroit « croire au karma et à l’honnêteté » –, il s’agissait alors d’un acte d’ingratitude fort à l’égard d’une filière Renault qui lui avait permis de gravir les différents échelons jusqu’à son sommet, la Formule 1. Le tout empreint d’une forte dose de suffisance pour un pilote alors âgé de seulement 21 ans qui, malgré sa remarquable réussite dans les différentes formules de promotion, avait encore tout à prouver. Autant d’épines potentielles dans le pied qu’il allait devoir assumer lors d’une saison 2023 où, forcément, ses performances allaient être épiées, et pas simplement parce qu’il était le petit nouveau de la classe présenté comme un surdoué…
« Oscar est un talent brillant et rare », avait ainsi déclaré Otmar Szafnauer , le directeur exécutif d’Alpine, à son sujet avant de voir avec aigreur le petit prodige composer des symphonies sur la piste pour un autre orchestre que le sien. Son premier grand prix, disputé sur le circuit de Sakhir (Bahreïn), tournait (sans surprise) mal, entre une 18e place en qualifications et un abandon au bout de treize tours de course en raison d’un problème électronique sur sa monoplace. Mais l’Australien n’est pas pilote à douter et moins d’un mois plus tard, à domicile du côté de Melbourne, il inscrivait ses premiers points en terminant 8e.
«Un calme olympien»
Derrière, studieux, doté d’une capacité à apprendre vite et très bien, il poursuivait son apprentissage, terminant au pied du podium à Silverstone (Grande-Bretagne) avant de monter dessus pour la première fois le 24 septembre à Suzuka (Japon) en finissant au 3e rang. Décomplexé, il enchaînait à Doha avec une victoire lors de la course sprint et une 2e place lors du grand prix qui finissaient de convaincre les dirigeants de McLaren de le prolonger jusqu’en 2026. « C’est un pilote très talentueux et c’est un atout pour l’équipe, donc c’est génial de continuer ensemble sur le long terme», disait de lui Zak Brown, son patron, sous le charme de ce garçon au visage souvent impassible, ce qui pourrait en faire un redoutable joueur de poker s’il le souhaitait.
« Ce qui était déjà son point fort à l’époque, c’est qu’il est d’un calme olympien », jugeait ainsi dans les colonnes du quotidien Ouest-France Thibaut de Mérindol, son patron lors de son passage dans l’écurie R-ace en Formula Renault Eurocup. « C’est un animal à sang froid. Il est très intelligent, calculateur, discret et gère très bien ses émotions. J’ai pu le revoir il y a quelques mois, à l’occasion de la remise des prix FIA (en décembre 2024) et il n’a pas changé. Il est resté très simple. C’est le même Oscar Piastri que j’ai connu en 2019. Il ne fait pas de bruit, pas de vague, mais est redoutablement efficace, sans en donner l’air. »
Chez Oscar Piastri, la joie, tout comme la colère, sont des plats qui se mangent froids, sans laisser transparaître trop d’émotions. Il en va ainsi de sa réaction, loin d’être effusive, après la première victoire de sa carrière en F1, acquise il est vrai dans des conditions particulières à Budapest (Hongrie) le 21 juillet 2024 après que des consignes de course internes à son équipe aient intimé l’ordre à son coéquipier Lando Norris de le laisser passer à quatre tours de la fin. Ou plutôt de lui rendre sa place, qu’il avait perdue lors de son passage aux stands. Malgré un fort caractère, l’Australien se garde bien d’avoir un mot plus haut que l’autre. Par éducation peut-être, pour lui dont l’amour de la course est né de sa passion pour les voitures… télécommandées.
« Golden boy »
Initié aux bolides téléguidés par son père Chris - fondateur de HP Tuners, un logiciel de diagnostic automobile -, le natif de Melbourne ne tarde pas à briller dans la discipline en en devenant champion national à seulement 8 ans. À 10 ans, il découvre le karting. Rapidement, les compétitions australiennes deviennent trop petites pour lui et à l’âge de 15 ans, il s’envole pour l’Angleterre où son talent met néanmoins du temps à rayonner. Il lui faut en fait attendre son passage dans une monoplace, en Formula Renault Eurocup, pour faire étalage de tout son potentiel. Au point d’être aujourd’hui un candidat au titre suprême en Formule 1. Une consécration que certains, dans le paddock, espèrent pour mettre en valeur un pilote au caractère moins taciturne que celui de Max Verstappen, mais aussi moins bling-bling que celui d’un Lewis Hamilton.
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"I have a problem with Porsches. They're wonderful cars, but I know I could never live with one. I don't go around saying that Porsches are a pile of dung, but I do know that psychologically I couldn't handle owning one" Rowan Atkinson.
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Re: F1 2025
Message par bence » 25 mai 2025 16:12
Bon finalement cette histoire de deux arrêts, ça donne un peu de piment devant mais aussi de l’anti-sport biblique au milieu. Marquer des points á deux tours du vainqueur, mouais… Monaco, ça se passe le Samedi avec ces autos de 12m2. Ca reste toutefois une course á part que j’apprécie beaucoup.
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Re: F1 2025
Message par Corsugone » 25 mai 2025 17:22
Isack Hadjar (15) a maintenant plus de points que Yuki Tsunoda et Liam Lawson réunis (14).
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