Le business de la Pomme
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ToTheEnd
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C'est sorti il y a quelques jours et j'ai trouvé assez drôle cet échange d'e-mail entre un CEO qui est à la tête d'une boîte qui pèse USD 230mrd, tyrannise 35k et un geek de base qui ne jure que par freedom is the way... le tout un samedi soir à 2h00 du mat.
Worth reading...
http://gawker.com/5539717/steve-jobs-of ... e=true&s=i
T (oups... sorry...)
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http://gawker.com/5539717/steve-jobs-of ... e=true&s=i
T (oups... sorry...)
Dernière édition par ToTheEnd le 17 mai 2010 22:02, édité 1 fois.
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Nagata-San
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- Véhicules : Oui svp.
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Pour T, qui aime tant Dell ! 
L'information tient de l'anecdote, mais de l'anecdote révélatrice de la place qu'occupe désormais la firme de Cupertino : Apple pèse aujourd'hui 8 fois le poids de Dell en bourse. Avec une action clôturant à 242,32 $ (+ 1,84 % / + 4,56 $), Apple a en effet une capitalisation boursière de 220,5 milliards de dollars, soit plus de 8 fois celle de Dell (26,14 milliards de dollars).
C'est l'occasion de rappeler la phrase malheureuse de Michael Dell, qui invitait en 1997 Apple « à mettre la clef sous la porte et rendre l'argent aux actionnaires ». On se souvient moins de la réponse de Steve Jobs, qui prévenait avec sa verve habituelle que Dell « était dans ses phares », et qu'il irait « à sa poursuite ».
La machine Apple s'est mise en marche progressivement : Apple a passé Dell en capitalisation boursière le 13 janvier 2006 (72,13 milliards pour Apple, 71,97 milliards pour Dell). Puis les choses se sont accélérées : Apple pesait deux fois plus fin juillet 2007 (127 milliards contre 63,65 milliards), 5 fois plus mi-février 2009 (88,37 milliards contre 17,52 milliards), 7 fois le 26 janvier dernier (180 milliards contre 27,03 milliards).
Apple a de plus l'avantage de ne pas avoir de dettes, et a en réserve de cash près de deux fois la capitalisation de Dell (41,7 milliards).
Source MacG: http://www.macgeneration.com/news/voir/ ... -fois-dell
L'information tient de l'anecdote, mais de l'anecdote révélatrice de la place qu'occupe désormais la firme de Cupertino : Apple pèse aujourd'hui 8 fois le poids de Dell en bourse. Avec une action clôturant à 242,32 $ (+ 1,84 % / + 4,56 $), Apple a en effet une capitalisation boursière de 220,5 milliards de dollars, soit plus de 8 fois celle de Dell (26,14 milliards de dollars).
C'est l'occasion de rappeler la phrase malheureuse de Michael Dell, qui invitait en 1997 Apple « à mettre la clef sous la porte et rendre l'argent aux actionnaires ». On se souvient moins de la réponse de Steve Jobs, qui prévenait avec sa verve habituelle que Dell « était dans ses phares », et qu'il irait « à sa poursuite ».
La machine Apple s'est mise en marche progressivement : Apple a passé Dell en capitalisation boursière le 13 janvier 2006 (72,13 milliards pour Apple, 71,97 milliards pour Dell). Puis les choses se sont accélérées : Apple pesait deux fois plus fin juillet 2007 (127 milliards contre 63,65 milliards), 5 fois plus mi-février 2009 (88,37 milliards contre 17,52 milliards), 7 fois le 26 janvier dernier (180 milliards contre 27,03 milliards).
Apple a de plus l'avantage de ne pas avoir de dettes, et a en réserve de cash près de deux fois la capitalisation de Dell (41,7 milliards).
Source MacG: http://www.macgeneration.com/news/voir/ ... -fois-dell
Dernière édition par Nagata-San le 24 mai 2010 16:33, édité 1 fois.
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ze_shark
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- Véhicules : S60 355 550 Taycan CT4S "Nevica Edition" 04/25
- Localisation : Star Alliance & Starwood Inc
- Contact :
What a difference 10 years makes.
Dell tout puissant, Dell dominant par son modèle opérationnel "génial", pas de retailers pour entamer les profits, pas de retail outlets coûteuses, contact direct avec le client, le futur, le rouleau compresseur, 6 jours de DSI grâce au B/CTO. Bien sûr, il y avait plein de "mais" à l'époque, mais le consensus était que rien ne pourrait arrêter l'ascension de Dell. Le stock le plus performant sur le S&P500 en 1999-2000. HP était alors au début d'une transition bordélique, Fiorina venait d'en prendre la tête, la joyeuse aventure de la fusion avec CPQ allait commencer.
Un exemple de plus que ce que l'inébranlable d'aujourd'hui peut-être le loser de demain. Les pommiers ne sont pas éternels.
Dell tout puissant, Dell dominant par son modèle opérationnel "génial", pas de retailers pour entamer les profits, pas de retail outlets coûteuses, contact direct avec le client, le futur, le rouleau compresseur, 6 jours de DSI grâce au B/CTO. Bien sûr, il y avait plein de "mais" à l'époque, mais le consensus était que rien ne pourrait arrêter l'ascension de Dell. Le stock le plus performant sur le S&P500 en 1999-2000. HP était alors au début d'une transition bordélique, Fiorina venait d'en prendre la tête, la joyeuse aventure de la fusion avec CPQ allait commencer.
Un exemple de plus que ce que l'inébranlable d'aujourd'hui peut-être le loser de demain. Les pommiers ne sont pas éternels.
+10. J'en sais rien de ce qui va se passer mais je sens l'internet mobile prendre très vite la place de l'internet home based, avec un max de trucs qui tournent sous android.ze_shark a écrit :What a difference 10 years makes.
Dell tout puissant, Dell dominant par son modèle opérationnel "génial", pas de retailers pour entamer les profits, pas de retail outlets coûteuses, contact direct avec le client, le futur, le rouleau compresseur, 6 jours de DSI grâce au B/CTO. Bien sûr, il y avait plein de "mais" à l'époque, mais le consensus était que rien ne pourrait arrêter l'ascension de Dell. Le stock le plus performant sur le S&P500 en 1999-2000. HP était alors au début d'une transition bordélique, Fiorina venait d'en prendre la tête, la joyeuse aventure de la fusion avec CPQ allait commencer.
Un exemple de plus que ce que l'inébranlable d'aujourd'hui peut-être le loser de demain. Les pommiers ne sont pas éternels.
17.
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ToTheEnd
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Et voilà, aujourd'hui, la capitalisation boursière d'Apple a dépassé celle de Microsoft!
En 10 ans, le prix du titre a été multiplié par 10 alors que dans le même laps de temps, le titre du grand concurrent a perdu 18% de sa valeur.
Apple est aujourd'hui la seconde entreprise en terme de capitalisation boursière au S&P 500... derrière Exxon Mobil!
Quel parcours en 10 ans... rendez-vous en 2020 pour voir qui sont les winners/loosers.
T
En 10 ans, le prix du titre a été multiplié par 10 alors que dans le même laps de temps, le titre du grand concurrent a perdu 18% de sa valeur.
Apple est aujourd'hui la seconde entreprise en terme de capitalisation boursière au S&P 500... derrière Exxon Mobil!
Quel parcours en 10 ans... rendez-vous en 2020 pour voir qui sont les winners/loosers.
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ze_shark
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Apple vient de changer les conditions d'accès à l'iTunes store. Pour y accéder, l'utilisateur doit accepter qu'Apple puisse avoir un accès (présenté comme anonyme) en temps réel sur la localisation d'un iPhone ou iPad.
Avec l'iPhone 4 (ou l'OS4 je suppose), pas de real time location data, pas d'iTunes store. Tu partages, ou tu vas de faire voir ailleurs.
In addition, Apple is collecting "precise," "real-time geographic location" of its customers who use its new iOS software that runs on the new iPhone.
Apple's wording assures customers that location data is “collected anonymously in a form that does not personally identify you.” But it also doesn't give people a choice to opt out of location tracking. Users have to agree to the new terms and conditions before downloading new apps or any other data from the iTunes store.
Sources:
- NYT
- eConsultancy
On peut débattre des risques sur la sphère privée, réels ou perçus. Par contre, il me parait difficile de justifier le fait qu'un refus signifie automatiquement l'exclusion de l'iTunes store. Si un utilisateur ne souhaite pas la valeur ajoutée de services lié à sa géolocation, pourquoi ne pourrait-il pas continuer à acheter les applis et contenus qui satisfont par ailleurs ses besoins ?
Avec l'iPhone 4 (ou l'OS4 je suppose), pas de real time location data, pas d'iTunes store. Tu partages, ou tu vas de faire voir ailleurs.
In addition, Apple is collecting "precise," "real-time geographic location" of its customers who use its new iOS software that runs on the new iPhone.
Apple's wording assures customers that location data is “collected anonymously in a form that does not personally identify you.” But it also doesn't give people a choice to opt out of location tracking. Users have to agree to the new terms and conditions before downloading new apps or any other data from the iTunes store.
Sources:
- NYT
- eConsultancy
On peut débattre des risques sur la sphère privée, réels ou perçus. Par contre, il me parait difficile de justifier le fait qu'un refus signifie automatiquement l'exclusion de l'iTunes store. Si un utilisateur ne souhaite pas la valeur ajoutée de services lié à sa géolocation, pourquoi ne pourrait-il pas continuer à acheter les applis et contenus qui satisfont par ailleurs ses besoins ?
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