VW Golf VI R
- ze_shark
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Re: Golf VI R20
Message par ze_shark » 18 avr. 2012 09:51
N'oubliez pas que l'AIO est un polish doublé d'une cire. J'imagine qu'il est donc un peu abrasif. J'imagine que pour un traitement post lavage, une cire serait un meilleur choix.
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Re: Golf VI R20
Message par Rnd94030 » 04 juin 2012 17:48
Et voilà, cela fait quelques temps que le cap des 20000km est passé. Pour vous rafraichir la mémoire, j’ai acquis cette Golf R en juillet 2011, neuve, en Allemagne et plutôt bien optionnée : DSG, cuir, toit ouvrant, GPS etc.
En une année, elle a tout vécu : de l’asphalte brûlant de la Nordschleife aux neiges soutenues sur les routes du Mollendruz en passant par les pluies torrentielles sur autoroute à vitesse soutenue. Je vous propose donc un passage en revue de cette année dans un ordre chronologique.
C’est en été 2011 que je trouve la bête sur internet, direction l’Allemagne pour en faire acquisition et, après quelques délais d’homologation, je commence à faire connaissance avec ma nouvelle voiture. Je vous invite à lire ce post pour mes impressions à chaud sur le véhicule.
Je re-découvre le grip des voitures équipées du quattro, et croyez-moi, après la Civic Type R (de 2009) la différence est notable. L’euphorie du début.
L’événement marquant de l’automne 2011 pour la Golf est sans doute ses premiers tours de roues sur la Nordschleife. Je vous invite à lire ce post pour un feedback de mon premier passage sur cette piste historique.
Afin d’arriver bien chaussé à Nürburg, je monte donc des pneus Bridgestone RE050 sur des jantes Dezent (plutôt cheap) de 17’’ afin de ne pas signer l’arrêt de mort de mes pneus de route. Les pneus m’ont coûtés environ 150.- (Reifendirekt) pièce et l’achat des jantes a, pour sa part, contribué à mon appauvrissement à hauteur de 670.-. Le coffre de la Golf n’a pas rechigné à embarquer les 4 roues « circuit », tout le matériel de montagne (cric etc) et des bagages pour 2 personnes pour 1 nuit.
L’automne a également été l’occasion pour moi de (re-)découvrir que le noir est une couleur extrêmement salissante. C’est un secret pour personne, j’en suis conscient, mais ce « Deep Black Perleffekt » est vraiment un calvaire à garder propre. J’en suis arrivé à regretter de ne pas m’être penché sur un modèle « Rising blue metallic ». Evidemment que le rendu de ce noir, ainsi que sa profondeur au soleil, sont vraiment excellents, malgré cela, ce choix de couleur reste un choix dont je ne suis pas 100% satisfait.
J’attends les premières chutes de neige de l’hiver 2011 avec une certaine impatience : après 2 ans avec une traction à raz du sol, je me réjouissais de redécouvrir les sensations d’une voiture un peu plus haute (et équipée 4motion) dans les routes bien enneigées. Après une attente relativement longue en pleine, je me décide à provoquer la rencontre entre la R et la neige en me rendant au Col du Mollendruz. Autant le dire, j’ai été servi : route non-déneigée, chutes de neige soutenues et un joli -7 degrés. Je vous invite à lire ce post qui décrit en détails mon ressenti sur cette première rencontre hivernale.
Comme vous avez pu le lire, je suis totalement satisfait du comportement de l’auto sur route enneigée. J’ai, au fil de l’hiver, également dû jouer le rôle de déblayeur: petite route menant au chalet d’un ami avec bien 15cm de neige fraîche non déblayée, j’ai attaqué la neige très gentiment, le pare-choc faisant office de lame, je m’en suis sorti sans soucis (et sans dégât….). Bref, le comportement du véhicule sur neige est excellent.
Durant cette saison, je me suis également rendu à Bourg-St-Pierre afin de tester, à l’occasion du cours TCS « neige et glace » les réactions « à la limite » de la Golf sur neige. Et là, on se heurte rapidement au premier obstacle : l’ESP qui faisait un excellent travail en roulant normalement sur route de montagne enneigée se transforme ici en gadget castrateur. Je le « désactive », les guillemets ayant tout leur sens : lors de la désactivation de l’ESP sur cette voiture, il reste en « veille » et, si trop grosse glissade se fait sentir, revient sur le devant de la scène et vous remet sur le droit chemin. Je mets ici le doigt sur le deuxième point noir de cette voiture : à ce niveau de prix et ce niveau de « sportivité » (tout en restant relatif) revendiqué, c’est à mon sens une pure aberration de ne pas pouvoir désactiver à 100% l’ESP. Vous noterez que, d’après plusieurs sources, les modèles de Golf R MY2012 ont dorénavant un ESP 100% déconnectable, et que cette fonction n’est pas installable sur les R pré-2012. Exquis.
En ce qui concerne le budget, pas de grosse dépense car les pneus hiver montés sur des jantes VW de 17’’ étaient vendus avec l’auto.
Après la saison froide, le printemps 2012 a été l’occasion de me rendre au circuit de Bresse afin de pouvoir réellement ouvrir en grand comme un goret, chose pas possible pour un débutant sur la NS.
Toujours chaussée des pneus Brigestone en 17’’, la Golf m’a fait une excellente démonstration de sa surcharge pondérale qui a un impact terrible sur le comportement du véhicule sur un circuit comme Bresse : le train avant est extrêmement lourd et l’arrière très peu joueur sur sec (il l’est suffisamment sur neige). C’est donc le festival bressan du sous virage et du rippage de pneu en ordre. La Golf R n’est clairement pas dans son élément sur ce genre de petits circuits : trop tortueux pour elle.
D’un point de vue plus général, j’ai apprécié le bruit de l’échappement: il sait se faire discret quand il faut et relativement présent lors des attaques. L’intérieur n’a, pour sa part, subi aucun vieillissement prématuré et je n’ai pas senti de couinement ou autre signe annonciateur de problèmes de finition. J’en profite pour rappeler que le fait d’avoir une voiture allemande n’effraye en rien les garages locaux qui m’ont toujours bien accueillis que ce soit pour le service ou les quelques travaux de finitions. Je ne m’étend pas sur les histoire (qui tiennent plus de la légende urbaine que d’autre chose) selon lesquelles la finition diffère selon le pays d’origine du véhicule : j’ai pu comparé avec une autre Golf R quasi identique et suisse. Je n’ai trouvé aucune différence. A quand la fin de l’idiot détail « CH Fahrzeug » sur les annonces ?
Il est temps de faire le bilan financier de cette année en Golf R. La consommation réelle de la Golf, non compris une sortie à Bresse et une à la NS, se monte à, tenez-vous bien : 11.5L. C’est une moyenne sur 22000km dont 40% ont été effectués sur autoroute, 45% sur route cantonale de campagne et 15% en ville. Mon style de conduite ne devrait pas être la cause de cette gloutonnerie: plutôt souple car mon trajet journalier (env 15km) ne me permet pas de faire monter la température de l’huile à 90 degrés. Evidemment quelques expéditions plus sport dans nos beaux cols (disons 300km/mois), tout en restant largement dans les limitations de vitesse mais en accélérant sérieusement à chaque occasion, n’ont pas aidé à maintenant la consommation à un niveau acceptable. Ces 11.5L/100km est à mes yeux vraiment élevé : on parle ici d’une voiture de taille normale, équipée d’un 4 cylindres… Décevant.
En ce qui concerne les gommes : les pneus d’été sur 18’’ ont parcouru 12’500km, leur profil restant est de 4mm. A noter que les pneus ont étés permutés ce printemps pour une usure équilibrée entre avant et arrière.
Les pneus piste qui ont servi pour Bresse (2x) et la Nordschleife affichent 6.5mm de profil.
Les pneus hiver, quant à eux, se sont usés plus à l’avant qu’à l’arrière : 8.5mm restants à l’avant et 7mm à l’arrière. Tout cela en 8’500km.
Bilan plutôt standard par rapport à ce que j’ai pu observer sur mon ex-TT et ma Civic. Votre avis ?
Au niveau de l’entretien courant, 1.5L d’huile (25.-/L) ont été utilisés pour des appoints entre-services et le service des 20’000km m’a coûté 350.- (point de service gratuit pour les Allemandes). L’assurance tutoie les 2200.- annuels pour une casco complète (avec ass. parking et faible franchise), les plaques se négocient à plus de 800.- par année sur Vaud.
Je ne vais pas vous résumer les points forts et faibles de l’auto, je soulignerai en conclusion sa capacité étonnante à passer de mangeuse d’asphalte de la Nordschleife à franchisseuse de route enneigée tout en sachant vous gratifier de tout le confort nécessaire sur autoroute. Ce véhicule est extrêmement polyvalent, sa finition est de très bonne facture mais cela se paye autant à l’achat qu’à l’entretien. Cette polyvalence est magnifiée à travers l’option DCC qui agit sur l’amortissement et la direction, un must have sur cette auto. Si on m’obligeait à en changer ? Une RS3. C’est dire à quel point la plateforme me plaît.
J’espère que vous avez eu du plaisir à lire ce feedback, prochain épisode à 40’000km
Dada.
En une année, elle a tout vécu : de l’asphalte brûlant de la Nordschleife aux neiges soutenues sur les routes du Mollendruz en passant par les pluies torrentielles sur autoroute à vitesse soutenue. Je vous propose donc un passage en revue de cette année dans un ordre chronologique.
C’est en été 2011 que je trouve la bête sur internet, direction l’Allemagne pour en faire acquisition et, après quelques délais d’homologation, je commence à faire connaissance avec ma nouvelle voiture. Je vous invite à lire ce post pour mes impressions à chaud sur le véhicule.
Je re-découvre le grip des voitures équipées du quattro, et croyez-moi, après la Civic Type R (de 2009) la différence est notable. L’euphorie du début.
L’événement marquant de l’automne 2011 pour la Golf est sans doute ses premiers tours de roues sur la Nordschleife. Je vous invite à lire ce post pour un feedback de mon premier passage sur cette piste historique.
Afin d’arriver bien chaussé à Nürburg, je monte donc des pneus Bridgestone RE050 sur des jantes Dezent (plutôt cheap) de 17’’ afin de ne pas signer l’arrêt de mort de mes pneus de route. Les pneus m’ont coûtés environ 150.- (Reifendirekt) pièce et l’achat des jantes a, pour sa part, contribué à mon appauvrissement à hauteur de 670.-. Le coffre de la Golf n’a pas rechigné à embarquer les 4 roues « circuit », tout le matériel de montagne (cric etc) et des bagages pour 2 personnes pour 1 nuit.
L’automne a également été l’occasion pour moi de (re-)découvrir que le noir est une couleur extrêmement salissante. C’est un secret pour personne, j’en suis conscient, mais ce « Deep Black Perleffekt » est vraiment un calvaire à garder propre. J’en suis arrivé à regretter de ne pas m’être penché sur un modèle « Rising blue metallic ». Evidemment que le rendu de ce noir, ainsi que sa profondeur au soleil, sont vraiment excellents, malgré cela, ce choix de couleur reste un choix dont je ne suis pas 100% satisfait.
J’attends les premières chutes de neige de l’hiver 2011 avec une certaine impatience : après 2 ans avec une traction à raz du sol, je me réjouissais de redécouvrir les sensations d’une voiture un peu plus haute (et équipée 4motion) dans les routes bien enneigées. Après une attente relativement longue en pleine, je me décide à provoquer la rencontre entre la R et la neige en me rendant au Col du Mollendruz. Autant le dire, j’ai été servi : route non-déneigée, chutes de neige soutenues et un joli -7 degrés. Je vous invite à lire ce post qui décrit en détails mon ressenti sur cette première rencontre hivernale.
Comme vous avez pu le lire, je suis totalement satisfait du comportement de l’auto sur route enneigée. J’ai, au fil de l’hiver, également dû jouer le rôle de déblayeur: petite route menant au chalet d’un ami avec bien 15cm de neige fraîche non déblayée, j’ai attaqué la neige très gentiment, le pare-choc faisant office de lame, je m’en suis sorti sans soucis (et sans dégât….). Bref, le comportement du véhicule sur neige est excellent.
Durant cette saison, je me suis également rendu à Bourg-St-Pierre afin de tester, à l’occasion du cours TCS « neige et glace » les réactions « à la limite » de la Golf sur neige. Et là, on se heurte rapidement au premier obstacle : l’ESP qui faisait un excellent travail en roulant normalement sur route de montagne enneigée se transforme ici en gadget castrateur. Je le « désactive », les guillemets ayant tout leur sens : lors de la désactivation de l’ESP sur cette voiture, il reste en « veille » et, si trop grosse glissade se fait sentir, revient sur le devant de la scène et vous remet sur le droit chemin. Je mets ici le doigt sur le deuxième point noir de cette voiture : à ce niveau de prix et ce niveau de « sportivité » (tout en restant relatif) revendiqué, c’est à mon sens une pure aberration de ne pas pouvoir désactiver à 100% l’ESP. Vous noterez que, d’après plusieurs sources, les modèles de Golf R MY2012 ont dorénavant un ESP 100% déconnectable, et que cette fonction n’est pas installable sur les R pré-2012. Exquis.
En ce qui concerne le budget, pas de grosse dépense car les pneus hiver montés sur des jantes VW de 17’’ étaient vendus avec l’auto.
Après la saison froide, le printemps 2012 a été l’occasion de me rendre au circuit de Bresse afin de pouvoir réellement ouvrir en grand comme un goret, chose pas possible pour un débutant sur la NS.
Toujours chaussée des pneus Brigestone en 17’’, la Golf m’a fait une excellente démonstration de sa surcharge pondérale qui a un impact terrible sur le comportement du véhicule sur un circuit comme Bresse : le train avant est extrêmement lourd et l’arrière très peu joueur sur sec (il l’est suffisamment sur neige). C’est donc le festival bressan du sous virage et du rippage de pneu en ordre. La Golf R n’est clairement pas dans son élément sur ce genre de petits circuits : trop tortueux pour elle.
D’un point de vue plus général, j’ai apprécié le bruit de l’échappement: il sait se faire discret quand il faut et relativement présent lors des attaques. L’intérieur n’a, pour sa part, subi aucun vieillissement prématuré et je n’ai pas senti de couinement ou autre signe annonciateur de problèmes de finition. J’en profite pour rappeler que le fait d’avoir une voiture allemande n’effraye en rien les garages locaux qui m’ont toujours bien accueillis que ce soit pour le service ou les quelques travaux de finitions. Je ne m’étend pas sur les histoire (qui tiennent plus de la légende urbaine que d’autre chose) selon lesquelles la finition diffère selon le pays d’origine du véhicule : j’ai pu comparé avec une autre Golf R quasi identique et suisse. Je n’ai trouvé aucune différence. A quand la fin de l’idiot détail « CH Fahrzeug » sur les annonces ?
Il est temps de faire le bilan financier de cette année en Golf R. La consommation réelle de la Golf, non compris une sortie à Bresse et une à la NS, se monte à, tenez-vous bien : 11.5L. C’est une moyenne sur 22000km dont 40% ont été effectués sur autoroute, 45% sur route cantonale de campagne et 15% en ville. Mon style de conduite ne devrait pas être la cause de cette gloutonnerie: plutôt souple car mon trajet journalier (env 15km) ne me permet pas de faire monter la température de l’huile à 90 degrés. Evidemment quelques expéditions plus sport dans nos beaux cols (disons 300km/mois), tout en restant largement dans les limitations de vitesse mais en accélérant sérieusement à chaque occasion, n’ont pas aidé à maintenant la consommation à un niveau acceptable. Ces 11.5L/100km est à mes yeux vraiment élevé : on parle ici d’une voiture de taille normale, équipée d’un 4 cylindres… Décevant.
En ce qui concerne les gommes : les pneus d’été sur 18’’ ont parcouru 12’500km, leur profil restant est de 4mm. A noter que les pneus ont étés permutés ce printemps pour une usure équilibrée entre avant et arrière.
Les pneus piste qui ont servi pour Bresse (2x) et la Nordschleife affichent 6.5mm de profil.
Les pneus hiver, quant à eux, se sont usés plus à l’avant qu’à l’arrière : 8.5mm restants à l’avant et 7mm à l’arrière. Tout cela en 8’500km.
Bilan plutôt standard par rapport à ce que j’ai pu observer sur mon ex-TT et ma Civic. Votre avis ?
Au niveau de l’entretien courant, 1.5L d’huile (25.-/L) ont été utilisés pour des appoints entre-services et le service des 20’000km m’a coûté 350.- (point de service gratuit pour les Allemandes). L’assurance tutoie les 2200.- annuels pour une casco complète (avec ass. parking et faible franchise), les plaques se négocient à plus de 800.- par année sur Vaud.
Je ne vais pas vous résumer les points forts et faibles de l’auto, je soulignerai en conclusion sa capacité étonnante à passer de mangeuse d’asphalte de la Nordschleife à franchisseuse de route enneigée tout en sachant vous gratifier de tout le confort nécessaire sur autoroute. Ce véhicule est extrêmement polyvalent, sa finition est de très bonne facture mais cela se paye autant à l’achat qu’à l’entretien. Cette polyvalence est magnifiée à travers l’option DCC qui agit sur l’amortissement et la direction, un must have sur cette auto. Si on m’obligeait à en changer ? Une RS3. C’est dire à quel point la plateforme me plaît.
J’espère que vous avez eu du plaisir à lire ce feedback, prochain épisode à 40’000km
Dada.
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Re: Golf VI R20
Message par Philippe47 » 04 juin 2012 18:21
Super compte-rend, objectif et intéressant.
Pour la conso, après avoir eu une Evo 8, c'est clair qu'on est loin de la valeur constructeur mais avec 270 CV, 4 roues motrices et boîte auto je trouve que 11.5 l/100 km n'a rien d'étonnant.
Pour la conso, après avoir eu une Evo 8, c'est clair qu'on est loin de la valeur constructeur mais avec 270 CV, 4 roues motrices et boîte auto je trouve que 11.5 l/100 km n'a rien d'étonnant.
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Re: Golf VI R20
Message par blake_ch » 06 juin 2012 19:16
Super compte rendu, c'est chouette de donner tous les détails comme les coûts et l'entretien!
Pour ma part, j'arrive à 17000km et conso moyenne de 10L en faisant 90% d'autoroute. Je viens de la faire chausser pour l'été avec de belles jantes toutes neuves, dès qu'il fait beau je lui fais les à-fond et petite séance photo.
Comme Dada, c'est une horreur ce noir! Surtout dans des périodes comme ce printemps et encore maintenant, où les jours beau-pluie s'alternent trop vite. Comme lui aussi, j'apprécie la polyvalence de cette voiture ( bien que n'ayant pas encore fait de circuit! ) autant agréable pour avaler les kilomètres pour aller au boulot que pour s'amuser. J'ai aussi un faible pour la note de l'échappement que je trouve très douce/veloutée. Pas prévu de changer d'exhaust!
Pour ma part, j'arrive à 17000km et conso moyenne de 10L en faisant 90% d'autoroute. Je viens de la faire chausser pour l'été avec de belles jantes toutes neuves, dès qu'il fait beau je lui fais les à-fond et petite séance photo.
Comme Dada, c'est une horreur ce noir! Surtout dans des périodes comme ce printemps et encore maintenant, où les jours beau-pluie s'alternent trop vite. Comme lui aussi, j'apprécie la polyvalence de cette voiture ( bien que n'ayant pas encore fait de circuit! ) autant agréable pour avaler les kilomètres pour aller au boulot que pour s'amuser. J'ai aussi un faible pour la note de l'échappement que je trouve très douce/veloutée. Pas prévu de changer d'exhaust!
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Re: Golf VI R20
Message par MC-SIN » 09 juin 2012 12:09
@Dada: Sympa ton compte rendu! Le consommation "m'étonne" un peu tout de même... Soit elle consomme vraiment pas mal, soit tu as vraiment le pied lourd
@blake_ch: J'aime bien tes nouvelles jantes, elles sont de très bon goût! (contrairement à ce que l'on voit souvent sur les Golf [GTI])
@blake_ch: J'aime bien tes nouvelles jantes, elles sont de très bon goût! (contrairement à ce que l'on voit souvent sur les Golf [GTI])
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Re: Golf VI R20
Message par Huntox » 09 juin 2012 18:55
Belle gueule avec ces nouvelles jantes ! félicitations !
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Re: Golf VI R20
Message par blake_ch » 11 juin 2012 17:19
Merci! J'avais éliminé BBS à début de mes choix, mais je suis content d'avoir fait marche arrière!
Pour le coup, j'ai pu tester le passage aux pneus d'étés (vu que j'ai roulé en pneus d'hiver jusqu'à présent) et le changement est flagrant : meilleure adhérence, distance de freinage plus courte, ... le plaisir qui était toujours intact vient de bondir!
Pour le coup, j'ai pu tester le passage aux pneus d'étés (vu que j'ai roulé en pneus d'hiver jusqu'à présent) et le changement est flagrant : meilleure adhérence, distance de freinage plus courte, ... le plaisir qui était toujours intact vient de bondir!
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