Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
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Tom63
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Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
Vous n'avez rien compris. C'est un engineer, c'est pour ça.
Thomas
“When you see the tree you're about to hit, it's called understeer. When you can only hear and feel it, it's oversteer”
Walter Rohrl
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Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
J'avoue avoir du mal à comprendre la vénération que Musk peut générer: oui, il a eu des bonnes idées et vu 2 ou 3 choses avant les autres, mais à un moment, il faut savoir ne pas être aveuglé et voir aussi ses giga fails: il est incapable de tenir un délai, il abuse sur les anticipations de ce dont la techno sera capable et en fait, il se comporte comme un enfant trop gâté. Oui, la MAJ OTA, c'est une avancée, mais ca ne va pas non plus permettre de faire de la magie.
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ze_shark
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Full Self bullshiting
Tesla va réintroduire koaaaa ? Des radars.
https://electrek.co/2022/12/06/tesla-ra ... -concerns/
https://www.motortrend.com/news/tesla-a ... a-returns/
Semble que le bullshit sur la supériorité intrinsèquement génialissime du pure vision stack n'a vécu que le temps de la pénurie des chips nécessaires à la disponibilité des radars. Maintenant il faut une nouvelle fable pour que les disciples du culte continuent à croire à l'évangile de St Elon.
La class action lawsuit sur le Full Self Driving force également Tesla à déclarer que le FSD est un but aspirationnel à long terme sans le moindre échéancier, et donc pas un produit frauduleux.
https://electrek.co/2022/12/07/tesla-se ... not-fraud/
Hmmm. C'est bizarre. J'ai comme le souvenir d'avoir entendu plein de promesses datées par un responsable de cette boite ...
https://electrek.co/2022/12/06/tesla-ra ... -concerns/
https://www.motortrend.com/news/tesla-a ... a-returns/
Semble que le bullshit sur la supériorité intrinsèquement génialissime du pure vision stack n'a vécu que le temps de la pénurie des chips nécessaires à la disponibilité des radars. Maintenant il faut une nouvelle fable pour que les disciples du culte continuent à croire à l'évangile de St Elon.
La class action lawsuit sur le Full Self Driving force également Tesla à déclarer que le FSD est un but aspirationnel à long terme sans le moindre échéancier, et donc pas un produit frauduleux.
https://electrek.co/2022/12/07/tesla-se ... not-fraud/
Hmmm. C'est bizarre. J'ai comme le souvenir d'avoir entendu plein de promesses datées par un responsable de cette boite ...
Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
Alors pour avoir une Model 3 de prêt en ce moment, j'ai l'occasion de pouvoir jouer avec son hardware et le point évident avec les caméras, c'est qu'en cette saison, elles se retrouvent assez régulièrement avec de la buée dessus. Le soft est assez malin pour le détecter, mais en attendant, s'il ne dispose pas d'autres capteurs pour faire de la redondance, techniquement il va être compliqué d'avoir les infos permettant de se faire une idée réaliste de l'environnement. Le FSD ne m'a jamais semblé à la portée de l'industrie automobile. En revanche, du L2 qui ressemble beaucoup à du L5 sans pour autant en être, ca, ca me semble atteignable et je pense même que ca a été atteint = une voiture qui sait potentiellement gérer à peu près toutes les situations, sans geo-fencing, mais avec besoin de surveillance d'un humain pour reprendre la main quand ca ne fait pas ce qu'on pense.
Je confirme aussi qu'étrangement, j'ai bien plus d'alertes de collision dans la Model 3 dont je dispose en ce moment que dans ma Model S de 2015, ce qui tend à faire penser qu'il y a eu de la régression dans ce domaine. Pourtant, je ne dispose que du hardware 1.0 pour l'autopilot.
Je confirme aussi qu'étrangement, j'ai bien plus d'alertes de collision dans la Model 3 dont je dispose en ce moment que dans ma Model S de 2015, ce qui tend à faire penser qu'il y a eu de la régression dans ce domaine. Pourtant, je ne dispose que du hardware 1.0 pour l'autopilot.
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Corsugone
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Le spectaculaire et inattendu krach de Tesla en Bourse
ANNE FEITZ
LES SURPRISES DE L'ANNEE. Le fabricant de voitures électriques a perdu près de 65 % de sa valeur en Bourse cette année, soit 700 milliards de dollars. Une chute liée aux frasques de son patron Elon Musk, en particulier depuis son rachat de Twitter, mais aussi à quelques doutes sur le modèle de l'entreprise.
Les vendeurs à découvert sur Tesla ont enfin le sourire. Après avoir lourdement déchanté au cours des années passées, ils ont gagné au moins 15 milliards de dollars cette année, selon la société d'analyse S3 partners. C'est que la capitalisation boursière de l'enfant chéri des marchés a perdu près de 65 % de sa valeur depuis le début de 2022. Soit la bagatelle de 700 milliards de dollars : davantage que la valeur de Toyota, Mercedes Benz, Volkswagen, Stellantis, General Motors et Ford réunis...
Plus d'un an après sonpic de novembre 2021, où il avait dépassé 380 dollars, le cours de Bourse du pionnier de la voiture électrique a littéralement fondu à 125 dollars ces jours-ci. Il lui aurait, certes, sans doute été difficile de se maintenir très longtemps au niveau stratosphérique et irrationnel atteint à l'époque. « Mais l'ampleur de la chute est tout de même surprenante ! » avoue Philippe Houchois, analyste financier chez Jefferies.
Après avoir longtemps stagné autour de 60 milliards de dollars, la capitalisation boursière de Tesla s'est envolée depuis le début de 2020 et a passé la barre des 1.000 milliards en octobre 2021. Elle vient de franchir à la baisse la barre des 400 milliards.
Excentricités
Les frasques de son patron, qui pourtant n'en est pas à ses premières excentricités, n'y sont pas pour rien. « Le cours de Bourse de Tesla n'a jamais vraiment reflété la valeur de l'entreprise, mais plutôt la cote de popularité d'Elon Musk », estime Bertrand Rakoto, consultant chez Ducker, à Detroit. « Or celle-ci est en train de s'effondrer depuis le rachat de Twitter fin octobre » .
Les premiers pas du milliardaire à la tête du réseau social ont été il est vrai pour le moins mouvementés. Licenciements expéditifs de la moitié du personnel, prises de position politiques controversées, jusqu'à la suppression des comptes Twitter de plusieurs journalistes américains critiques mi-décembre...
Nommé « personnalité de l'année » du magazine « Time » en 2021, Elon Musk s'est même fait huer pour la première fois mi-décembre par les 18.000 fans de l'humoriste américain Dave Chappelle, qui l'avait invité à monter sur scène.
Elon Musk, champion incontesté des boursicoteurs
Les investisseurs sont aussi préoccupés par l'investissement personnel d'Elon Musk chez Twitter, au détriment du constructeur. « Rendez-nous notre CEO », a ainsi twitté mi-décembre Ross Gerber, PDG de la banque d'investissement Gerber Kawasaki, investisseur de longue date chez Tesla. L'homme d'affaires Leo KoGuan, qui se présente comme le troisième actionnaire individuel de Tesla, s'est lui aussi manifesté sur le réseau social : « En tant que fan, j'ai investi pour Elon. Je préfère bien sûr qu'il reste CEO mais il a abandonné Tesla », a-t-il twitté. Ils ne sont pas les seuls.
La cession par le milliardaire de gros blocs d'actions Tesla pour financer le rachat de l'oiseau bleu a également pesé sur le cours : au total, ces ventes ont représenté 40 milliards d'euros depuis le début de l'année selon Bloomberg, faisant tomber la participation d'Elon Musk dans la firme automobile à 13 %. Il n'est pas sûr que la promesse du milliardaire, jeudi soir, de ne plus céder de titres pendant les deux prochaines années, rassure les marchés : il avait fait la même en avril et en août dernier.
Déboires de l'Autopilot
Mais les investisseurs commencent aussi à s'interroger sur l'entreprise elle-même. « Ainsi mises en lumière, les pratiques de Musk ont poussé certains à se pencher sur tout ce qui ne va pas chez Tesla : la piètre qualité des voitures, l'absence de réseau de distribution et de service après-vente, la localisation des usines loin de la main-d'oeuvre disponible et des équipementiers... » avance Bertrand Rakoto.
Autre facteur évoqué,les déboires de l'Autopilot. Un procès en cours en Californie a conduit les avocats de Tesla à plaider l'incapacité de la firme à faire fonctionner correctement une voiture autonome, pour ne pas se voir accuser de fraude. « Or Musk lui-même avait expliqué qu'une bonne partie de la valorisation de Tesla était liée à l'Autopilot... » relève Bertrand Rakoto.Le fait que Ford et Volkswagen jettent l'éponge sur la voiture autonome a aussi pu refroidir les espoirs sur Tesla, valorisée comme une « tech company » .
Enfin, certains fondamentaux du modèle Tesla pourraient être remis en cause. Certes, la firme est désormais extrêmement rentable (elle a dégagé une marge opérationnelle de 17,2 % au troisième trimestre 2022, un niveau assez extraordinaire pour le secteur), et affiche une croissance spectaculaire (+45 % en volume sur les neuf premiers mois de 2022, à 909.000 unités). « Et elle génère énormément de cash, bien plus que de besoin », relève Philippe Houchois.
Quelques nuages semblent toutefois pointer à l'horizon du côté de la demande, notamment en Chine. Selon des informations de Bloomberg, Tesla vient de réduire les cadences dans son usine de Shanghai, où la capacité a pourtant été augmentée. Et des baisses de prix ou des rabais ont été relevés en Chine, aux Etats-Unis et même en Europe - signe que la firme cherche à doper ses ventes.
Simplicité de la gamme
« Il est trop tôt pour savoir si ce ralentissement est un phénomène de marché ou spécifiquement lié à Tesla », souligne Philippe Houchois. L'une des clés de la réussite de Tesla réside dans la simplicité de sa gamme, fondée sur deux modèles de grande série (les Model 3 et Model Y) qui lui permet d'obtenir d'importants effets d'échelle. « Mais cela pourra-t-il durer ? Les automobilistes auront-ils envie d'avoir la même voiture que leur voisin ? C'est pour moi la question essentielle qui se pose à Tesla, d'autant que la concurrence s'étoffe », s'interroge Philippe Houchois.
L'absence de nouveauté pèse aussi sur le cours. « La perception de Tesla comme leader en toutes choses est en train de s'estomper », commente Jeffrey Osborne, analyste chez Cowen, cité par « Bloomberg » . « On ne voit pas trop ce qu'ils feront d'excitant l'an prochain » . Rares sont toutefois les analystes à réviser leur opinion sur le titre : l'objectif de cours moyen, qui a reculé de 313 dollars en début d'année à 255 dollars ces jours-ci, reste largement supérieur au cours actuel.
LES SURPRISES DE L'ANNEE. Le fabricant de voitures électriques a perdu près de 65 % de sa valeur en Bourse cette année, soit 700 milliards de dollars. Une chute liée aux frasques de son patron Elon Musk, en particulier depuis son rachat de Twitter, mais aussi à quelques doutes sur le modèle de l'entreprise.
Les vendeurs à découvert sur Tesla ont enfin le sourire. Après avoir lourdement déchanté au cours des années passées, ils ont gagné au moins 15 milliards de dollars cette année, selon la société d'analyse S3 partners. C'est que la capitalisation boursière de l'enfant chéri des marchés a perdu près de 65 % de sa valeur depuis le début de 2022. Soit la bagatelle de 700 milliards de dollars : davantage que la valeur de Toyota, Mercedes Benz, Volkswagen, Stellantis, General Motors et Ford réunis...
Plus d'un an après sonpic de novembre 2021, où il avait dépassé 380 dollars, le cours de Bourse du pionnier de la voiture électrique a littéralement fondu à 125 dollars ces jours-ci. Il lui aurait, certes, sans doute été difficile de se maintenir très longtemps au niveau stratosphérique et irrationnel atteint à l'époque. « Mais l'ampleur de la chute est tout de même surprenante ! » avoue Philippe Houchois, analyste financier chez Jefferies.
Après avoir longtemps stagné autour de 60 milliards de dollars, la capitalisation boursière de Tesla s'est envolée depuis le début de 2020 et a passé la barre des 1.000 milliards en octobre 2021. Elle vient de franchir à la baisse la barre des 400 milliards.
Excentricités
Les frasques de son patron, qui pourtant n'en est pas à ses premières excentricités, n'y sont pas pour rien. « Le cours de Bourse de Tesla n'a jamais vraiment reflété la valeur de l'entreprise, mais plutôt la cote de popularité d'Elon Musk », estime Bertrand Rakoto, consultant chez Ducker, à Detroit. « Or celle-ci est en train de s'effondrer depuis le rachat de Twitter fin octobre » .
Les premiers pas du milliardaire à la tête du réseau social ont été il est vrai pour le moins mouvementés. Licenciements expéditifs de la moitié du personnel, prises de position politiques controversées, jusqu'à la suppression des comptes Twitter de plusieurs journalistes américains critiques mi-décembre...
Nommé « personnalité de l'année » du magazine « Time » en 2021, Elon Musk s'est même fait huer pour la première fois mi-décembre par les 18.000 fans de l'humoriste américain Dave Chappelle, qui l'avait invité à monter sur scène.
Elon Musk, champion incontesté des boursicoteurs
Les investisseurs sont aussi préoccupés par l'investissement personnel d'Elon Musk chez Twitter, au détriment du constructeur. « Rendez-nous notre CEO », a ainsi twitté mi-décembre Ross Gerber, PDG de la banque d'investissement Gerber Kawasaki, investisseur de longue date chez Tesla. L'homme d'affaires Leo KoGuan, qui se présente comme le troisième actionnaire individuel de Tesla, s'est lui aussi manifesté sur le réseau social : « En tant que fan, j'ai investi pour Elon. Je préfère bien sûr qu'il reste CEO mais il a abandonné Tesla », a-t-il twitté. Ils ne sont pas les seuls.
La cession par le milliardaire de gros blocs d'actions Tesla pour financer le rachat de l'oiseau bleu a également pesé sur le cours : au total, ces ventes ont représenté 40 milliards d'euros depuis le début de l'année selon Bloomberg, faisant tomber la participation d'Elon Musk dans la firme automobile à 13 %. Il n'est pas sûr que la promesse du milliardaire, jeudi soir, de ne plus céder de titres pendant les deux prochaines années, rassure les marchés : il avait fait la même en avril et en août dernier.
Déboires de l'Autopilot
Mais les investisseurs commencent aussi à s'interroger sur l'entreprise elle-même. « Ainsi mises en lumière, les pratiques de Musk ont poussé certains à se pencher sur tout ce qui ne va pas chez Tesla : la piètre qualité des voitures, l'absence de réseau de distribution et de service après-vente, la localisation des usines loin de la main-d'oeuvre disponible et des équipementiers... » avance Bertrand Rakoto.
Autre facteur évoqué,les déboires de l'Autopilot. Un procès en cours en Californie a conduit les avocats de Tesla à plaider l'incapacité de la firme à faire fonctionner correctement une voiture autonome, pour ne pas se voir accuser de fraude. « Or Musk lui-même avait expliqué qu'une bonne partie de la valorisation de Tesla était liée à l'Autopilot... » relève Bertrand Rakoto.Le fait que Ford et Volkswagen jettent l'éponge sur la voiture autonome a aussi pu refroidir les espoirs sur Tesla, valorisée comme une « tech company » .
Enfin, certains fondamentaux du modèle Tesla pourraient être remis en cause. Certes, la firme est désormais extrêmement rentable (elle a dégagé une marge opérationnelle de 17,2 % au troisième trimestre 2022, un niveau assez extraordinaire pour le secteur), et affiche une croissance spectaculaire (+45 % en volume sur les neuf premiers mois de 2022, à 909.000 unités). « Et elle génère énormément de cash, bien plus que de besoin », relève Philippe Houchois.
Quelques nuages semblent toutefois pointer à l'horizon du côté de la demande, notamment en Chine. Selon des informations de Bloomberg, Tesla vient de réduire les cadences dans son usine de Shanghai, où la capacité a pourtant été augmentée. Et des baisses de prix ou des rabais ont été relevés en Chine, aux Etats-Unis et même en Europe - signe que la firme cherche à doper ses ventes.
Simplicité de la gamme
« Il est trop tôt pour savoir si ce ralentissement est un phénomène de marché ou spécifiquement lié à Tesla », souligne Philippe Houchois. L'une des clés de la réussite de Tesla réside dans la simplicité de sa gamme, fondée sur deux modèles de grande série (les Model 3 et Model Y) qui lui permet d'obtenir d'importants effets d'échelle. « Mais cela pourra-t-il durer ? Les automobilistes auront-ils envie d'avoir la même voiture que leur voisin ? C'est pour moi la question essentielle qui se pose à Tesla, d'autant que la concurrence s'étoffe », s'interroge Philippe Houchois.
L'absence de nouveauté pèse aussi sur le cours. « La perception de Tesla comme leader en toutes choses est en train de s'estomper », commente Jeffrey Osborne, analyste chez Cowen, cité par « Bloomberg » . « On ne voit pas trop ce qu'ils feront d'excitant l'an prochain » . Rares sont toutefois les analystes à réviser leur opinion sur le titre : l'objectif de cours moyen, qui a reculé de 313 dollars en début d'année à 255 dollars ces jours-ci, reste largement supérieur au cours actuel.
"I have a problem with Porsches. They're wonderful cars, but I know I could never live with one. I don't go around saying that Porsches are a pile of dung, but I do know that psychologically I couldn't handle owning one" Rowan Atkinson.
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ze_shark
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Annus horribilis
TSLA continue à perdre "un BMW" en capitalisation tous les deux jours, mais les fanboys qui n'ont pas été décimés par un margin call continuent à rationnaliser ça comme un incident de parcours mineur.
La Chine est mal en point, les US faibles, mais le trimestre devrait avoir été bon, le dividende d'un backlog désormais épuisé.
Les prix vont devoir baisser, mais certaines matières premières sont toujours élevés, et rien ne coûte plus cher que des usines qui ne tournent pas (Grünheide et Austin).
Il est urgent de sortir un Cybertruck bâclé. Derrière dans le pipeline ? Rien.
- Screenshot_20221228-103110_Gallery.jpg (56.72 Kio) Consulté 2982 fois
Les prix vont devoir baisser, mais certaines matières premières sont toujours élevés, et rien ne coûte plus cher que des usines qui ne tournent pas (Grünheide et Austin).
Il est urgent de sortir un Cybertruck bâclé. Derrière dans le pipeline ? Rien.
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Huntox
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Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
Jolie correction aujourd'hui suite au tweet d'Elon en réponse au tweet de Medvedev. Il n'en loupe pas une...
C'en est à se demander si ce ne serait pas voulu...
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LaRascasse
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Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
https://cleantechnica.com/2022/12/22/te ... australia/Tesla Model Y Downs 53-Year-Old Record In Norway, Tops Safety Ratings In Australia
Mine de rien pour une marque d'a peine 10ans je trouve ca vraiment impressionnant.
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Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
Son tweet est debile...mais pour une fois fois je peux pas lui en vouloir, tu as lu ceux de Medvedev ???
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ze_shark
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SUA sous-terrain
ze_shark a écrit : ↑13 mai 2022 00:28https://www.roadandtrack.com/news/a3997 ... ing-crash/ze_shark a écrit : ↑05 avr. 2022 06:22SUA Bristol Edition
https://www.bristolpost.co.uk/news/bris ... n=sharebar
SUA Rosanna Arquette Edition
https://www.tmz.com/2022/04/03/rosanna- ... dd-morgan/
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LaRascasse
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Au royaume des aveugles
Crash log authentifié par Green. Et un sacré chanceux ...
A espérer que les proprios ne croient pas être protégés par un système AEB.
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Re: Au royaume des aveugles
Oui, et ? L'autopilot est un L2 et donc c'est au conducteur de surveiller ce qu'il fait. Qu'a fait le conducteur pour évier le crash? Visiblement même pas essayer de tourner le volant à gauche pour continuer sur l'autre voie. Et un AEB, ca n'a aucune revendication d'éviter tout crash...
Re: Philosophie & Stratégie & Avenir de Tesla Motors
Pour être objectif sur le sujet, il faudrait rapporter le nombre de rappel au nombre d'autos vendues et par ailleurs, la métrique du nombre de rappels peut aussi être le reflet d'une marque trop prudente qui dès qu'on lui signale qu'il y a un risque que le plafonnier ne fonctionne pas comme il faut, rappelle ses voitures. Inversement, une marque qui s'obstinerait à ne pas faire de rappels alors que ses autos ont un problème aurait un bon score avec cette métrique alors que ce serait désastreux pour le conducteur. Donc au final, on ne peut pas dire grand chose de cette seule statistique.
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