Genève, le premier canton français?

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Derrick
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Genève, le premier canton français?

Message par Derrick » 19 nov. 2014 19:51

La RTS en a fait sa une. Les TPG se sont aujourd'hui donné en spectacle avec une grève préventive à Genève.
Le mouvement est dur et le service minimum n'a même pas été fourni.

Je reste étonné du culot de nos amis syndicaliste alors que les urnes ont donné deux fois leur verdit.
Comment peut-on croire que le bon peuple pris en otage un jour de beau temps comprendra?
Les dérives sur les frontaliers vont bon train, tout comme le titre de ce post, mais il faut dire qu'il y a de quoi se poser des questions.

Dans un autre post, nous parlions des conditions cadre qui se dégrade. Je crois que l'ambiance suisse aussi.

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BS
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Re: Genève, le premier canton français?

Message par BS » 19 nov. 2014 20:59

Derrick a écrit :La RTS en a fait sa une. Les TPG se sont aujourd'hui donné en spectacle avec une grève préventive à Genève.
Ce ne sont pas les TPG qui se sont donné en spectacle mais les syndicats.

Je reste étonné du culot de nos amis syndicaliste alors que les urnes ont donné deux fois leur verdict.
La cause de cette grève c'est justement le verdict des urnes, car une baisse des tarifs implique nécessairement une diminution des prestations ainsi que des licenciements.

Comment peut-on croire que le bon peuple pris en otage un jour de beau temps comprendra ?
Il faut croire que le bon peuple n'a rien compris en acceptant à deux reprises cette initiative absconse.

Les dérives sur les frontaliers vont bon train, tout comme le titre de ce post, mais il faut dire qu'il y a de quoi se poser des questions.
Les frontaliers n'ont rien à voir dans tout ce pataquès.

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Yvan
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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Yvan » 20 nov. 2014 08:57

BS a écrit :Les dérives sur les frontaliers vont bon train, tout comme le titre de ce post, mais il faut dire qu'il y a de quoi se poser des questions.
Les frontaliers n'ont rien à voir dans tout ce pataquès.
L'idée un peu simpliste qui se dégageait était de dire que l'esprit râleur et contestataire français avait été un des moteurs de cette grève "agressive" dont la Suisse n'est pas habituée, en tout cas sous cette forme.
Démenti hier par les TPG qui n'annoncent que 30% de frontaliers dans leur personnel.
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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Derrick » 20 nov. 2014 09:12

Une baisse des tarifs n'implique pas forcément une diminution des prestations ou des licenciements. C'est la voie qui a été choisie, certes, que je comprends par la même occasion.
Ces régies "semi-publiques/publiques" sont des modèles de non-efficience. Une remise en question des conditions cadres ou une réorganisation aurait pu être une première étape.

La réponse: "vous me donnez moins de pogon, je vire" est d'un simplisme hurlant.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par BS » 20 nov. 2014 10:09

Derrick a écrit :La réponse: "vous me donnez moins de pogon, je vire" est d'un simplisme hurlant.
Les TPG sont aussi soumis aux lois de l'économie d'entreprise, ils ont un budget pour faire tourner le système et si on coupe dedans ils n'auront pas d'autre choix que de réduire les prestations donc de supprimer des emplois.
A Genève, la grève du personnel des TPG mercredi 19 novembre a été massivement suivie. Restés aux dépôts, les trams et bus de la régie publique n'ont pas circulé de toute la journée. En soirée, les grévistes ont voté une résolution demandant l'abandon du contrat de prestation 2015-2018.

Adopté par la commission parlementaire des transports, ce contrat de prestation passera devant le Grand Conseil en décembre. Il prévoit une diminution des prestations en raison de la baisse des prix des billets et abonnements le 14 décembre. Conséquence: 131 postes supprimés, dont 63 licenciements, dénonce le Syndicat du personnel des transports (SEV), qui a appelé lundi à une grève de 24 heures.

«Ils ont fait pression»

Mercredi matin, la direction des Transports publics genevois (TPG) espérait encore organiser un service minimum avec les chauffeurs qui voulaient travailler. Mais les grévistes ont convaincu leurs collègues de se rallier à leur cause. «Ils ont fait pression», a expliqué le directeur général Christoph Stucki. Seules les lignes opérées par des sous-traitants ont fonctionné normalement.

Sur les 1900 employés des TPG, le SEV compte 740 membres, surtout des conducteurs et des employés du service technique. D'abord réticents, les syndicats Transfair et l'Association syndicale indépendante du personnel des TPG, qui recensent environ 600 adhérents, ont rejoint le mouvement dans la journée.

Voitures pleines

Mercredi, les usagers se sont organisés autrement. Le chaos attendu par beaucoup sur les routes ne s'est pas produit. «Nous n'avons pas constaté de grandes différences par rapport à un jour de semaine normal», a relevé un porte-parole de la police genevoise.

Selon lui, beaucoup de personnes ont pris leurs dispositions pour faire face à l'absence de transports en commun. Le beau temps aidant, les piétons et les cyclistes étaient plus nombreux que d'ordinaire. Les automobiles affichaient un taux d'occupation inhabituellement élevé. Quant aux taxis, ils ont connu une journée faste.

Sanction salariale

Dans un communiqué diffusé dans l'après-midi, le gouvernement a déploré l'absence d'un service minimum, pourtant prévu par le contrat de prestations des TPG en cas de grève. Il a demandé à la régie publique de faire toute la lumière sur les causes de cette situation et de prendre les mesures appropriées. Pour M. Stucki, la seule sanction possible est une retenue de salaire.

Dans la matinée, le conseiller d'Etat Luc Barthassat, en charge des Transports, avait indiqué sur les ondes de la RTS qu'il était en discussion avec son collègue Pierre Maudet pour faire éventuellement intervenir la police devant les dépôts des TPG. Cette intervention n'a jamais eu lieu.

Prétexte à des économies

Le Conseil d'Etat a relevé «la disproportion des entraves occasionnées par rapport à la situation objective des TPG.» Il a rappelé que l'entreprise doit mettre en oeuvre les conséquences de l'initiative de l'AVIVO, acceptée à deux reprises en votation et qui impose une baisse de tarifs des transports publics. Le manque à gagner serait de 16 à 17 millions par an.

Le SEV considère qu'il s'agit d'un prétexte pour faire des coupes. Selon lui, le gouvernement veut appliquer le même type de mesures d'austérité à toute la fonction publique. Mercredi dernier, 1500 manifestants avaient répondu à l'appel des syndicats des fonctionnaires et du personnel des secteurs subventionnés pour dénoncer le projet de budget 2015.

Référendum en vue

Fort de 120 nouveaux adhérents, le SEV a voté mercredi soir à l'unanimité une résolution demandant à M. Barthassat de retirer le contrat de prestation contesté. Il réclame l'ouverture, d'ici au 28 novembre, de discussions sur un nouveau contrat qui englobe le développement du réseau, des conditions de travail de qualité et le maintien des acquis des retraités.

L'AVIVO avait annoncé mardi qu'elle lancera un référendum contre le contrat de prestation 2015-2018 s'il est voté par le Parlement. Le mouvement de grève a reçu le soutien de toute la gauche, mais il a été vivement critiqué par la droite.

Le SEV exige aussi qu'aucune sanction ne soit prise à l'encontre des grévistes. L'assemblée lui a confié le choix des futures mesures de lutte. Comme prévu, les piquets de grève devant les dépôts seront levés dans la nuit de mercredi à jeudi, a assuré le SEV.
Quant à imaginer que Genève puisse devenir le premier canton français, il ne faut pas se leurrer car le Grand Genève n'existe que dans l'imagination des politiques de tout poil, et quand on voit se qui se passe dans l'Hexagone, même le plus bête des citoyens genevois ne donnerait pas un kopek pour faire partie d'un pays en voie de sous-développement :mrgreen:, preuve en soit le refus d'aménager des park and ride de l'autre côté de la frontière.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par BS » 20 nov. 2014 10:22

Dans la presse locale ce matin
La droite ne cède pas malgré la grève totale aux TPG

«La démonstration de force est réussie: pas un seul véhicule des TPG ne roule dans cette ville!» C’est en ces termes que Valérie Solano, secrétaire syndicale du SEV, tirait le bilan, déjà mercredi à la mi-journée, des vingt-quatre heures de grève qui ont paralysé le réseau de façon totale, lignes sous-traitées mises à part. Une grève qui ne se poursuit pas ce jeudi. Mais d’autres actions, «plus importantes», pourraient survenir au début de décembre, menace le SEV.

Les deux syndicats minoritaires (ASIP et Transfair) qui désapprouvaient l’arrêt de travail ont, de facto, rallié le front durant la matinée, fustigeant des pressions de la direction. Autre argument: les volontaires qui seraient partis sur le réseau auraient pris des risques face à la possible colère des usagers. «Trois syndicats se battent ensemble sur cette grève, ils ne sont plus désunis», se réjouit Valérie Solano.

Excuses et abonnements prolongés

Sur son site internet, la régie publique répète qu'elle a été «contraints de renoncer à mettre en place le service minimum planifié et présentent ses excuses à la population pour les perturbations occasionnées par ce mouvement social». En compensation, les TPG prolongeront d'un jour supplémentaire la validité de l'ensemble des abonnements annuels, mensuels et hebdomadaires des abonnés unireso.

Ultimatum au Conseil d'Etat

Sous l’égide du SEV, les employés ont voté mercredi soir l’envoi d’une résolution au Conseil d’Etat. Elle exige que des négociations démarrent d’ici au 28 novembre sur un nouveau contrat de prestations, incluant notamment un développement du réseau et des conditions de travail de qualité. L’actuelle version du contrat de prestations 2015-2018 implique une réduction de l’offre et forcerait, selon les TPG, à couper dans les effectifs, avec une soixantaine de licenciements à la clé. Le sort du document est entre les mains du Grand Conseil, qui en débattra le 4 décembre. Mais il a déjà été approuvé, au sein de la commission spécialisée, par la majorité de droite.

La gauche, qui réclame de rallonger la manne versée aux TPG, a apporté son soutien à la grève, de même que la communauté syndicale genevoise. «L’initiative sur la baisse des tarifs n’a jamais demandé de réduire l’offre, plaide le socialiste Romain de Sainte Marie. Il n’y a plus de gras aux TPG et aujourd’hui le Conseil d’Etat s’attaque à l’os!» Ladite initiative, votée en mai par le peuple, est un «prétexte» aux yeux de Thibault Schneeberger, de solidaritéS: «La baisse des revenus des TPG n’est pas encore avérée, mais les baisses de prestations se font partout au sein de l’Etat.»

Des sanctions demandées

A droite, la grève n’a pas infléchi les opinions. Au contraire. «Le bras de fer n’est pas la meilleure solution avec les députés, avertit le MCG Pascal Spuhler. Survenant avant même la décision finale, la grève ne facilitera pas une éventuelle hausse de la subvention. Le droit de grève existe, certes, mais le service minimum n’a même pas été assuré.»

Le PLR Daniel Zaugg est au diapason: «Il s’agit d’une grève préventive contre des licenciements qui restent hypothétiques. Certains employés ne voulaient pas faire grève. Ceux qui les ont empêchés de travailler doivent être sanctionnés. C’est du terrorisme!» Bien que des véhicules privés aient été stationnés devant les portes du dépôt de la Jonction, les TPG estiment que les portes n’ont jamais été closes et que la seule sanction possible est le non-paiement de la journée chômée par leurs collaborateurs. Hier matin, le conseiller d’Etat chargé des Transports, Luc Barthassat, avait menacé de sanctions «ceux qui faisaient obstruction». Des propos jugés «inadmissibles» et «vaseux» par les syndicats.

Pas de chaos en ville

En l’absence de transports publics, la ville n’a pas sombré dans le chaos total, en tout cas en matinée. Comment l’expliquer? «On aurait pu s’attendre à pire, commente le directeur général des transports à l’Etat, Blaise Hochstrasser. Les pénétrantes et l’autoroute étaient plus chargées que d’habitude. Mais on a aussi vu beaucoup de piétons et de vélos. Manifestement, les gens se sont organisés, en prenant congé, en décalant leurs horaires ou en changeant de mode de transport. Le beau temps a aidé, tout comme le fait que le mercredi est habituellement moins chargé que d’autres jours ouvrables.»

Présentant leurs excuses à la population après cette journée sans service, les TPG ont annoncé hier soir qu’ils prolongeraient d’un jour la validité de l’ensemble des abonnements Unireso. Hier soir également, Luc Barthassat a rendu hommage aux facultés d’adaptation. Le démocrate-chrétien a ajouté: «Je me suis battu et continuerai à me battre pour qu’il n’y ait aucun licenciement au sein des TPG.»

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par ze_shark » 20 nov. 2014 12:38

Derrick a écrit : La réponse: "vous me donnez moins de pognon, je vire" est d'un simplisme hurlant.
Ca peut être la réalité, à moins que des gains de productivité compensent.
Ca peut aussi être de l'obéissance maligne d'une direction qui s'oppose à la stratégie et cherche la rétorsion indirecte. Laisser le plein champ à des syndicats pour qu'ils déploient leur business model basé sur l'obstruction et la terre brûlée peut être un moyen d'arriver à ces fins. Je précise que je spécule, je ne connais rien de particulier sur le dossier.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Derrick » 20 nov. 2014 12:50

ze_shark a écrit :Ca peut aussi être de l'obéissance maligne d'une direction qui s'oppose à la stratégie et cherche la rétorsion indirecte.
C'est dans ce sens qu'allait ma remarque, aucune solution alternative n'a été proposée et peut-être même discutée.
Licencier ne me choque guère, mais faire abstraction de la réflexion me dérange et je n'ai jamais eu l'occasion de lire des propositions différentes de la direction des TPG.
Cette même direction qui a justement été malmenée ces derniers mois. J'irais pas jusqu'au sabotage mais cela y ressemble fortement.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par bence » 20 nov. 2014 22:57

Pendant ce temps, des jeunes pilotes commerciaux Suisses (qui se sont donc saignés pour payer au moins en partie leur formation) volent pour 2000chf/mois en Suisse sans se plaindre.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par BS » 22 nov. 2014 13:17

2'000 francs comme "pigistes" ou pour un travail à temps complet ?

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par bence » 23 nov. 2014 12:54

Travail à temps complet.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Jan25 » 24 nov. 2014 13:23

Derrick a écrit :
ze_shark a écrit :Ca peut aussi être de l'obéissance maligne d'une direction qui s'oppose à la stratégie et cherche la rétorsion indirecte.
C'est dans ce sens qu'allait ma remarque, aucune solution alternative n'a été proposée et peut-être même discutée.
Licencier ne me choque guère, mais faire abstraction de la réflexion me dérange et je n'ai jamais eu l'occasion de lire des propositions différentes de la direction des TPG.
Cette même direction qui a justement été malmenée ces derniers mois. J'irais pas jusqu'au sabotage mais cela y ressemble fortement.
En même temps, la direction n'a pas vraiment de marge de manoeuvre: d'un côté on pousse au développement des transports publics, de l'autre on plafonne les tarifs (qui vont revenir à ce qu'ils étaient en 2011, si je me rappelle bien), donc la direction a 2 solutions: adapter l'offre (et donc les équipements et le personnel) à la baisse pour coller à la nouvelle tarification, ou générer une perte rondelette / obtenir une subvention plus importante, ce qui revient au même, l'Etat / le contribuable paie. C'est sans doute ce que la gauche "dure" (auteurs de l'initiative et favorables à la grève) souhaite...
Comme je doute que le pouvoir politique accepte de mettre la main au porte-monnaie, il reste quelle solution "miracle" à proposer pour garder tout le personnel, et maintenir les prestations avec des revenus des ventes de billets en baisse? D'après ce que j'ai lu, les syndicats contestaient aussi les non-renouvellements de postes lors de départs à la retraite...
Jan

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Derrick » 24 nov. 2014 14:20

Noir ou blanc.
Je pense qu'il y a un "gris" possible, efficience, nouvelle source de revenu, diminution de certaines conditions cadres, etc. Il n'y a sûrement pas de solution miracle, mais il est peu probable qu'elle viendra toute seule.

Ensuite, si les licenciements sont nécessaires, sont-ils obligés d’emmerder le monde avec leurs problèmes? Tout cela pour 2% des salariés en comptant les non-renouvellements. Risible.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par ze_shark » 24 nov. 2014 19:29

Derrick a écrit : Ensuite, si les licenciements sont nécessaires, sont-ils obligés d’emmerder le monde avec leurs problèmes?
C'est malheureusement devenu la fondation du syndicalisme à la française. Des gens qui sont payés pour faire mousser le désespoir d'autres et souvent appliquer la politique du pire.

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Re: Genève, le premier canton français?

Message par Philippe47 » 24 nov. 2014 20:07

A Geneve le prix du billet finance combien du coût du transport ?

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