Elon Musk et ses business
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_nicolas
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Re: Elon Musk et ses business
In the meantime...
Nicolas
”Simplicity is the keynote of all true elegance” - Coco Chanel
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Corsugone
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Re: Elon Musk et ses business
Elon Musk promet l'apocalypse aux vendeurs à découvert
Le dirigeant de Tesla a promis l'anéantissement aux traders qui spéculeraient sur la chute de son groupe.Il dispose d'une arme de dissuasion : son réseau social Twitter.
Il les anéantira tous jusqu'au dernier. Surfant sur le succès du film « Oppenheimer », Elon Musk a menacé, sous forme de métaphore, de larguer la bombe atomique sur les vendeurs à découvert, ces traders qui ont l'audace de spéculer sur la chute de Tesla. Ils ont déjà perdu beaucoup d'argent cette année du fait de l'envolée de 145 % du cours du fabricant de voitures high-tech.
« Je suis le Destructeur des vendeurs [à découvert]. » Son message de février 2021, republié il y a une semaine sur Twitter (rebaptisé X), se voulait un écho à la déclaration de Robert Oppenheimer après l'essai réussi de la bombe atomique en juillet 1945 : « Je suis devenu la Mort, le Destructeur des mondes. »
Elon Musk s'étonne qu'après leurs pertes retentissantes, les vendeurs à découvert sur Tesla n'aient pas renoncé à leur croisade. Seuls quelques rares fonds spécialisés, comme Kynikos, de James Chanos, se risquent encore à parier sur l'effondrement du titre. Et seulement 3,5 % des actions Tesla sont vendues à découvert.
Stagnation du dogecoin
Hormis en 2022, les traders qui ont spéculé sur l'éclatement de la bulle formée autour de Tesla se sont heurtés à un mur. La communauté des hedge funds parie en majorité sur la poursuite de la hausse du groupe d'Elon Musk, malgré ses résultats trimestriels récents décevants. Tesla est devenu une icône à Wall Street et bénéficie du soutien inconditionnel des boursicoteurs.
S'il peut décourager les vendeurs à découvert sur son groupe, Elon Musk éprouve en revanche plus de difficultés à faire le buzz sur les cryptos, notamment sur ses « protégées ». Depuis la conclusion de son rachat de Twitter, le 27 octobre, la crypto favorite d'Elon Musk, le dogecoin, a stagné avec une hausse de 7 %, contre 40 % pour le bitcoin.
Son cours avait doublé en cinq séances après le rachat de Twitter, mais le soufflé était vite retombé. Il avait récidivé début avril en choisissant l'emblème de la crypto (un chien shiba inu) comme nouveau logo provisoire de Twitter. Le cours avait alors bondi de 30 %, avant de rechuter dans les 15 jours suivants.
Le dirigeant de Tesla a promis l'anéantissement aux traders qui spéculeraient sur la chute de son groupe.Il dispose d'une arme de dissuasion : son réseau social Twitter.
Il les anéantira tous jusqu'au dernier. Surfant sur le succès du film « Oppenheimer », Elon Musk a menacé, sous forme de métaphore, de larguer la bombe atomique sur les vendeurs à découvert, ces traders qui ont l'audace de spéculer sur la chute de Tesla. Ils ont déjà perdu beaucoup d'argent cette année du fait de l'envolée de 145 % du cours du fabricant de voitures high-tech.
« Je suis le Destructeur des vendeurs [à découvert]. » Son message de février 2021, republié il y a une semaine sur Twitter (rebaptisé X), se voulait un écho à la déclaration de Robert Oppenheimer après l'essai réussi de la bombe atomique en juillet 1945 : « Je suis devenu la Mort, le Destructeur des mondes. »
Elon Musk s'étonne qu'après leurs pertes retentissantes, les vendeurs à découvert sur Tesla n'aient pas renoncé à leur croisade. Seuls quelques rares fonds spécialisés, comme Kynikos, de James Chanos, se risquent encore à parier sur l'effondrement du titre. Et seulement 3,5 % des actions Tesla sont vendues à découvert.
Stagnation du dogecoin
Hormis en 2022, les traders qui ont spéculé sur l'éclatement de la bulle formée autour de Tesla se sont heurtés à un mur. La communauté des hedge funds parie en majorité sur la poursuite de la hausse du groupe d'Elon Musk, malgré ses résultats trimestriels récents décevants. Tesla est devenu une icône à Wall Street et bénéficie du soutien inconditionnel des boursicoteurs.
S'il peut décourager les vendeurs à découvert sur son groupe, Elon Musk éprouve en revanche plus de difficultés à faire le buzz sur les cryptos, notamment sur ses « protégées ». Depuis la conclusion de son rachat de Twitter, le 27 octobre, la crypto favorite d'Elon Musk, le dogecoin, a stagné avec une hausse de 7 %, contre 40 % pour le bitcoin.
Son cours avait doublé en cinq séances après le rachat de Twitter, mais le soufflé était vite retombé. Il avait récidivé début avril en choisissant l'emblème de la crypto (un chien shiba inu) comme nouveau logo provisoire de Twitter. Le cours avait alors bondi de 30 %, avant de rechuter dans les 15 jours suivants.
"I have a problem with Porsches. They're wonderful cars, but I know I could never live with one. I don't go around saying that Porsches are a pile of dung, but I do know that psychologically I couldn't handle owning one" Rowan Atkinson.
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Re: Elon Musk et ses business
Electricité: cette possible révolution de la supraconductivité qui agite les chercheurs
Un document de travail d'une équipe de chercheurs sud-coréens publié il y a quelques jours secoue le monde de la physique. Et pour cause, les scientifiques y affirment avoir enfin trouvé un matériau « supraconducteur à température et pression ambiantes ». S'il est impossible aujourd'hui de confirmer les résultats cette étude, dont la méthodologie interroge, l'emballement suscité par la nouvelle témoigne de l'importance cruciale du sujet. Car derrière ce terme technique pourrait bien se cacher l'accès à une véritable révolution du système énergétique, avec, à la clé, le stockage massif de l'électricité. Et, peut-être même, un nouveau pas vers la maîtrise de la fusion nucléaire.
Un matériau capable de stocker l'électricité sans aucune limite de temps, d'éliminer les pertes d'énergie sur le réseau, mais aussi de tracer la voie vers une production illimitée de courant par fusion nucléaire, quasiment sans émissions de gaz à effet de serre. La promesse semble trop belle pour être vraie, et pourtant, depuis plusieurs décennies, des chercheurs s'activent pour mettre la main sur ce saint Graal.
Son nom : la supraconductivité à température et pression ambiantes, qui révolutionnerait le système énergétique tout entier. Et pour cause, ce « game changer » permettrait d'atteindre nos objectifs climatiques sans devoir, a priori, bouleverser nos modes de vie et de production, grâce à une technologie difficilement imaginable à l'heure actuelle.
Or, depuis quelques jours, une partie de la sphère scientifique s'agite. Et pour cause, le 22 juillet dernier, une équipe de chercheurs sud-coréens a affirmé avoir développé le fameux matériau, à partir d'« apatite de plomb modifiée » chauffée à 124°C. De quoi ouvrir une « nouvelle ère pour l'humanité », assurent-ils dans leur étude, suscitant l'enthousiasme de nombreux observateurs. Mais aussi le scepticisme d'autres chercheurs, parmi lesquels le Français Julien Bobroff, physicien de l'université de Paris Saclay et spécialiste de la question de la supraconductivité depuis des années.
« 1/2 Plusieurs personnes me demandent mon avis sur deux articles annonçant la supraconductivité à température ambiante et pression ambiante "LK-99". Soyons très prudents : équipe inconnue, institut inconnu, plusieurs détails dans les manips étranges, https://t.co/HFfbo4BMKw - Tweet de (@jubobroff) »
Alors, de quoi s'agit-il concrètement, comment cela fonctionnerait-il, et pourquoi une telle découverte, si elle était validée, faciliterait largement la transition vers un monde neutre en carbone? Afin d'y voir plus clair, La Tribune fait le point.
Températures extrêmes
Voilà plus d'un siècle que le sujet suscite l'emballement chez les scientifiques. En 1911, un physicien néerlandais, Heike Kamerlingh Onnes, découvrit ce concept presque par hasard. En effet, celui-ci remarqua que certains métaux, lorsqu'ils sont refroidis à très basse température, cessent de résister au passage de l'électricité.
C'est là le principe même de la supraconductivité : il s'agit en fait d'un matériau qui n'oppose pas de résistance électrique, c'est-à-dire n'enregistre pas de pertes lors du déplacement des électrons. Problème : les matériaux supraconducteurs actuellement connus ne réagissent de cette manière qu'à des conditions extrêmes, et plus précisément à une température extrêmement basse, proche du zéro absolu, qui se situe à 273,15 degrés Celsius. En effet, c'est en refroidissant le thermomètre jusqu'à -269°C que la résistance électrique disparaît.
Par conséquent, aujourd'hui, ces matériaux supraconducteurs ne peuvent pas vraiment être utilisés dans le secteur de l'énergie, en raison de la nécessité d'un environnement extrêmement froid pour obtenir cet état particulier.
Stocker l'électricité dans une boucle
Mais reproduire ce dernier à température ambiante pourrait débloquer des applications infinies. Entre autres : éliminer les pertes des réseaux électriques dues à la résistance, via les câbles d'acheminement du courant. En effet, la plupart des matériaux conducteurs opposent une résistance électrique, qui provoque une dissipation de l'énergie en question sous forme de chaleur. Ainsi, « même si elles sont invisibles, les pertes d'électricité sont bien réelles et impossibles à éviter », rappelle régulièrement RTE, qui estime que celles-ci s'élèvent à 2 à 3% du courant acheminé en France.
Les supprimer engendrerait ainsi un gain économique non négligeable... mais le principal changement résiderait ailleurs. Et plus précisément dans la constitution de batteries, afin de stocker l'énergie sur le long terme.
En effet, sans résistance électrique, le courant pourrait théoriquement circuler indéfiniment sans la moindre perte. Dit autrement, un courant électrique injecté dans une boucle du matériau supraconducteur continuerait d'y circuler, sans aucune limite de temps. Et cette avancée serait loin d'être anecdotique : alors que les sources renouvelables intermittentes, - variables selon la météo (comme l'éolien et le solaire photovoltaïque) - devraient prendre de plus en plus de place dans le mix global, l'un des plus gros points d'interrogation reste l'adéquation temporelle entre la production et la consommation. Or, le fait de stocker le surplus d'électricité généré la nuit grâce aux panneaux solaires, par exemple, afin de le restituer lors des moments critiques, résoudrait ce problème crucial.
Un nouveau pas vers la production d'énergie par fusion nucléaire?
Ce n'est pas tout : la découverte (et la généralisation) d'un matériau supraconducteur à température ambiante ferait également sauter un verrou conséquent pour l'accès à une source d'énergie extrêmement convoitée, mais pour l'heure non domptée par l'être humain : la fusion nucléaire. C'est-à-dire l'énergie du Soleil et des autres étoiles.
Pour le comprendre, il faut se pencher sur la manière dont fonctionnerait un tel processus. Contrairement aux réacteurs nucléaires classiques, il ne s'agirait pas de casser des noyaux d'atomes lourds en les bombardant de neutrons. Mais plutôt de faire l'inverse, en fusionnant deux noyaux atomiques de manière à former un noyau plus lourd. Cette réaction en chaîne génèrerait des quantités massives d'énergie sous forme de chaleur, laquelle pourrait être convertie en électrons grâce à une turbine.
Mais pour ce faire, il faudrait d'abord parvenir à chauffer un gaz pour former un plasma, afin que le deutérium et le tritium (des isotopes de l'hydrogène) entament leur fusion. Seulement voilà : pour maintenir ce plasma, celui-ci doit être confiné, c'est-à-dire ne pas entrer en contact direct avec les parois. Ce qui implique de passer par d'intenses champs magnétiques... générés, justement, par de puissants électro-aimants supraconducteurs.
Or, si l'homme savait contrôler cette source d'énergie et la rendre économiquement viable, celle-ci cocherait toutes les cases : l'électricité qu'elle pourrait délivrer serait quasi illimitée, décarbonée, sûre, et ne produirait quasiment aucun déchet radioactif. A l'heure où l'humanité tente de trouver une solution au dérèglement climatique en cours, l'idée a de quoi séduire.
Un document de travail d'une équipe de chercheurs sud-coréens publié il y a quelques jours secoue le monde de la physique. Et pour cause, les scientifiques y affirment avoir enfin trouvé un matériau « supraconducteur à température et pression ambiantes ». S'il est impossible aujourd'hui de confirmer les résultats cette étude, dont la méthodologie interroge, l'emballement suscité par la nouvelle témoigne de l'importance cruciale du sujet. Car derrière ce terme technique pourrait bien se cacher l'accès à une véritable révolution du système énergétique, avec, à la clé, le stockage massif de l'électricité. Et, peut-être même, un nouveau pas vers la maîtrise de la fusion nucléaire.
Un matériau capable de stocker l'électricité sans aucune limite de temps, d'éliminer les pertes d'énergie sur le réseau, mais aussi de tracer la voie vers une production illimitée de courant par fusion nucléaire, quasiment sans émissions de gaz à effet de serre. La promesse semble trop belle pour être vraie, et pourtant, depuis plusieurs décennies, des chercheurs s'activent pour mettre la main sur ce saint Graal.
Son nom : la supraconductivité à température et pression ambiantes, qui révolutionnerait le système énergétique tout entier. Et pour cause, ce « game changer » permettrait d'atteindre nos objectifs climatiques sans devoir, a priori, bouleverser nos modes de vie et de production, grâce à une technologie difficilement imaginable à l'heure actuelle.
Or, depuis quelques jours, une partie de la sphère scientifique s'agite. Et pour cause, le 22 juillet dernier, une équipe de chercheurs sud-coréens a affirmé avoir développé le fameux matériau, à partir d'« apatite de plomb modifiée » chauffée à 124°C. De quoi ouvrir une « nouvelle ère pour l'humanité », assurent-ils dans leur étude, suscitant l'enthousiasme de nombreux observateurs. Mais aussi le scepticisme d'autres chercheurs, parmi lesquels le Français Julien Bobroff, physicien de l'université de Paris Saclay et spécialiste de la question de la supraconductivité depuis des années.
« 1/2 Plusieurs personnes me demandent mon avis sur deux articles annonçant la supraconductivité à température ambiante et pression ambiante "LK-99". Soyons très prudents : équipe inconnue, institut inconnu, plusieurs détails dans les manips étranges, https://t.co/HFfbo4BMKw - Tweet de (@jubobroff) »
Alors, de quoi s'agit-il concrètement, comment cela fonctionnerait-il, et pourquoi une telle découverte, si elle était validée, faciliterait largement la transition vers un monde neutre en carbone? Afin d'y voir plus clair, La Tribune fait le point.
Températures extrêmes
Voilà plus d'un siècle que le sujet suscite l'emballement chez les scientifiques. En 1911, un physicien néerlandais, Heike Kamerlingh Onnes, découvrit ce concept presque par hasard. En effet, celui-ci remarqua que certains métaux, lorsqu'ils sont refroidis à très basse température, cessent de résister au passage de l'électricité.
C'est là le principe même de la supraconductivité : il s'agit en fait d'un matériau qui n'oppose pas de résistance électrique, c'est-à-dire n'enregistre pas de pertes lors du déplacement des électrons. Problème : les matériaux supraconducteurs actuellement connus ne réagissent de cette manière qu'à des conditions extrêmes, et plus précisément à une température extrêmement basse, proche du zéro absolu, qui se situe à 273,15 degrés Celsius. En effet, c'est en refroidissant le thermomètre jusqu'à -269°C que la résistance électrique disparaît.
Par conséquent, aujourd'hui, ces matériaux supraconducteurs ne peuvent pas vraiment être utilisés dans le secteur de l'énergie, en raison de la nécessité d'un environnement extrêmement froid pour obtenir cet état particulier.
Stocker l'électricité dans une boucle
Mais reproduire ce dernier à température ambiante pourrait débloquer des applications infinies. Entre autres : éliminer les pertes des réseaux électriques dues à la résistance, via les câbles d'acheminement du courant. En effet, la plupart des matériaux conducteurs opposent une résistance électrique, qui provoque une dissipation de l'énergie en question sous forme de chaleur. Ainsi, « même si elles sont invisibles, les pertes d'électricité sont bien réelles et impossibles à éviter », rappelle régulièrement RTE, qui estime que celles-ci s'élèvent à 2 à 3% du courant acheminé en France.
Les supprimer engendrerait ainsi un gain économique non négligeable... mais le principal changement résiderait ailleurs. Et plus précisément dans la constitution de batteries, afin de stocker l'énergie sur le long terme.
En effet, sans résistance électrique, le courant pourrait théoriquement circuler indéfiniment sans la moindre perte. Dit autrement, un courant électrique injecté dans une boucle du matériau supraconducteur continuerait d'y circuler, sans aucune limite de temps. Et cette avancée serait loin d'être anecdotique : alors que les sources renouvelables intermittentes, - variables selon la météo (comme l'éolien et le solaire photovoltaïque) - devraient prendre de plus en plus de place dans le mix global, l'un des plus gros points d'interrogation reste l'adéquation temporelle entre la production et la consommation. Or, le fait de stocker le surplus d'électricité généré la nuit grâce aux panneaux solaires, par exemple, afin de le restituer lors des moments critiques, résoudrait ce problème crucial.
Un nouveau pas vers la production d'énergie par fusion nucléaire?
Ce n'est pas tout : la découverte (et la généralisation) d'un matériau supraconducteur à température ambiante ferait également sauter un verrou conséquent pour l'accès à une source d'énergie extrêmement convoitée, mais pour l'heure non domptée par l'être humain : la fusion nucléaire. C'est-à-dire l'énergie du Soleil et des autres étoiles.
Pour le comprendre, il faut se pencher sur la manière dont fonctionnerait un tel processus. Contrairement aux réacteurs nucléaires classiques, il ne s'agirait pas de casser des noyaux d'atomes lourds en les bombardant de neutrons. Mais plutôt de faire l'inverse, en fusionnant deux noyaux atomiques de manière à former un noyau plus lourd. Cette réaction en chaîne génèrerait des quantités massives d'énergie sous forme de chaleur, laquelle pourrait être convertie en électrons grâce à une turbine.
Mais pour ce faire, il faudrait d'abord parvenir à chauffer un gaz pour former un plasma, afin que le deutérium et le tritium (des isotopes de l'hydrogène) entament leur fusion. Seulement voilà : pour maintenir ce plasma, celui-ci doit être confiné, c'est-à-dire ne pas entrer en contact direct avec les parois. Ce qui implique de passer par d'intenses champs magnétiques... générés, justement, par de puissants électro-aimants supraconducteurs.
Or, si l'homme savait contrôler cette source d'énergie et la rendre économiquement viable, celle-ci cocherait toutes les cases : l'électricité qu'elle pourrait délivrer serait quasi illimitée, décarbonée, sûre, et ne produirait quasiment aucun déchet radioactif. A l'heure où l'humanité tente de trouver une solution au dérèglement climatique en cours, l'idée a de quoi séduire.
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Tom63
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Re: Elon Musk et ses business
Thomas
“When you see the tree you're about to hit, it's called understeer. When you can only hear and feel it, it's oversteer”
Walter Rohrl
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Tom63
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Re: Elon Musk et ses business
Si c'est pour une bonne cause, alors...
Thomas
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Leuen
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Re: Elon Musk et ses business
Cette époque ne cesse de m'étonner. Et pas en bien en général. 
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asylum
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Re: Elon Musk et ses business
J'en étais resté à Booba contre Kaaris 
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Nagata-San
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Re: Elon Musk et ses business
Nous sommes, sur bien des points, revenus aux temps des Romains. L'aspect octogone / arène de gladiateurs qui génère clicks/vues/vente de Ppv n'est qu'un angle d'analyse, qui est facilement complété de bien d'autres pour valider le parallèle. Vivement la chute.
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Melon
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Re: Elon Musk et ses business
J'ai survolé un article dans un 24 heures récent, qui disait que Musk se serait rappelé d'une blessure au dos qui remettrait en cause le combat... ça tombe bien, dans le même article, il est aussi fait mention de Zucky qui fait des médailles de Ju-Jitsu à l'échelon local... Je crois qu'un combat serait assez inégal 
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Nagata-San
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Re: Elon Musk et ses business
Rappelé d'une vieille blessure (qu'il aurait donc oublié..). LOL j'ai continué mes sparrings et entrainements avec une lombaire fissurée + double hernies & discopathie en serrant les dents. La belle excuse pour s'en sortir, et encore une fois faire un buzz de piètre qualité.
Qu'ils se focusent tous les deux à développer leurs réseaux sociaux d'une façon plus humaine et investir dans des techno future plutôt.
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boboracingteam
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Re: Elon Musk et ses business
Parce que c’était sérieux cette histoire de combat ?
Une BMW ? Demande Alexandre...
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_nicolas
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Re: Elon Musk et ses business
Nagata-San a écrit : ↑09 août 2023 11:31Rappelé d'une vieille blessure (qu'il aurait donc oublié..). LOL j'ai continué mes sparrings et entrainements avec une lombaire fissurée + double hernies & discopathie en serrant les dents. La belle excuse pour s'en sortir, et encore une fois faire un buzz de piètre qualité.
Nicolas
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ze_shark
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Re: Elon Musk et ses business
Sa Seigneurie Pugilatoire a reçu un ordre judiciaire pour remettre les données Twitter de Trump au procureur spécial enquêtant sur l'insurrection du 6 Janvier.
Musk a d'abord refusé, argumentant qu'il ne le ferait qu'à condition de pouvoir informer Trump de la chose.
La juge: 50k$ d'amende par jour de retard, et ça double tous les jours.
50+100+200=350k$ et le génie repopulateur a bâché et obtempéré.
https://www.reuters.com/world/us/specia ... 023-08-09/
Il est nettement moins rebelle quand il s'agit d'obéir à Xi, Modi ou Erdogan.
Musk a d'abord refusé, argumentant qu'il ne le ferait qu'à condition de pouvoir informer Trump de la chose.
La juge: 50k$ d'amende par jour de retard, et ça double tous les jours.
50+100+200=350k$ et le génie repopulateur a bâché et obtempéré.
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Le génie a encore frappé. Annonce fracassante, ignorante d'un menu détail ...
https://www.threads.net/@ianbremmer/pos ... IwNjQ2YQ==
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