Toyota chasse sur les terres de Smart avec une nouvelle micro-auto, l’iQ.
Début des années 90, Nicolas Hayek a le projet un peu fou de reproduire le succès de la montre Swatch dans l’industrie automobile. Malheureusement pour lui cela ne se passe pas vraiment comme il l’espérait et c’est au final Daimler Chrysler qui produira la fameuse Smart. Plus de 10 ans après son lancement, l’allemande est toujours un peu seule dans le marché des micro voitures, mais voilà que Toyota s’y aventure. Au Salon de Francfort 2007, le constructeur japonais fraîchement élevé au rang de 1er constructeur mondial présente un concept car qui deviendra un peu moins de deux ans plus tard la petite Toyota iQ que nous découvrons aujourd’hui. L’idée est simple : réaliser une très petite voiture, moins de 3 mètres, et y loger 4 personnes. Nous allons voir si le pari est réussi.
Avant de prendre possession de notre voiture d’essai, j’avais déjà croisé furtivement quelques Toyota iQ sur nos routes et je lui trouvais une bouille super sympathique. Mes impressions sont confirmées après l’avoir détaillée plus longuement. Son look cubique et sa calandre relativement imposante par rapport au pare brise lui donnent un style unique. Les toutes petites fenêtres me font penser à un véhicule blindé miniature. En se décalant légèrement on peut constater que latéralement la voiture n’est quasiment constituée que d’une porte. D’ailleurs en s’installant à bord, on notera que ces dernières sont assez lourdes du fait qu’elles sont une partie importante de la structure de la voiture. L’arrière est à angle droit et finit un peu abruptement les lignes de la petite citadine. Avec ces roues placées aux extrémités on a l’impression de se retrouver en face d’un personnage de “manga” qui n’aurait qu’une tête posée sur ses pattes. C’est différent de ce que nous croisons habituellement dans nos villes et elle donne un petit air de fraîcheur dans le paysage automobile actuel.
Me voilà à bord et en regardant autour de moi il n’y a pas de doute possible ; la voiture est compacte, tout me semble très proche, néanmoins l’habitacle est aéré. L’assise est plus haute que dans d’autres citadines, Smart exceptée, et se rapproche plus d’un petit monospace ou d’un petit SUV. Ce qui permet d’avoir une excellente vision de la circulation. Petit conseil pour améliorer la visibilité, je vous suggère d’enlever les appuie-têtes de la banquette arrière. Notre iQ est équipée de l’intérieur cuir, optionnel, de bonne qualité, tout comme les différents plastiques. Par contre il aurait été judicieux d’uniformiser les textures des matériaux pour éviter trop de différences de style. Le volant à jante épaisse permet une bonne prise en main. L’ensemble compteur est assez simple et affiche uniquement le strict nécessaire. Le design quand à lui est plutôt original et branché, c’est jeune et moderne. Le plus impressionnant est la présence d’une énorme colonne au centre de l’habitacle. Après plusieurs jours passés dans cette Toyota iQ, j’en déduis que cela doit être un mal nécessaire à la structure de la voiture. Au dessus, on retrouve un unique gros bouton qui régule la ventilation, ainsi que l’ensemble Radio/GPS qui équipait notre voiture et que vous retrouverez dans la liste d’options.
Bref passage sur ce concentré de technologie qui vous permet tout simplement d’écouter votre musique préférée ou alors d’indiquer de manière ultra détaillée à quel moment vous avez changé vos pneus ou vos essuies-glace, la date du dernier service, etc. A cela vient s’ajouter bien entendu un système de navigation et une multitude de possibilités de connexions externes par câble auxiliaire standard, clé USB, carte SD… Ça me fait penser à une publicité pour de la lessive, “Touti rikiki, maousse costo”. A cela vient s’ajouter la présence de neuf airbags de série, dont une première mondiale avec un airbag rideau de lunette arrière. La Toyota iQ propose donc un niveau de sécurité hors pair pour une voiture de cette catégorie. Toyota nous annonce donc que l’iQ est une quatre places… il s’avère qu’une fois le mètre 80 de votre dévoué essayeur placé derrière le volant, il est fort peu probable que qui que ce soit puisse s’installer à l’arrière. A droite c’est un peu différent, du fait que la boîte à gant a été remplacée par un simple porte document ; le passager avant peut s’avancer suffisamment afin de laisser assez de place pour un troisième occupant.
En résumé c’est une quatre places, sans coffre, pour des personnes pas trop grandes. Sinon, il s’agit plutôt d’une trois places, avec un tout petit coffre, ou alors d’une simple deux places avec un espace de chargement standard.
Généralement Asphalte.ch s’attarde sur la puissance et le couple des véhicules essayés mais il est bien clair qu’avec une voiture comme la Toyota iQ, nous n’allons pas utiliser ce genre d’arguments comme fer de lance. La citadine japonaise est équipée d’un petit moteur 1.0l trois cylindres qui annonce des émissions de CO2 extrêmement faibles (99 g/km) pour une puissance de 68ch. Vous vous en doutez ce n’est pas le nouveau missile sol-sol pour aller faire vos courses au centre commercial le plus proche. Cependant le moteur est relativement nerveux à bas régime et vous permettra d’évoluer avec dynamisme dans la jungle automobile envahissant nos villes. Toyota annonce une consommation moyenne de seulement 4.3 l/100km. Tout au long de notre essai nous n’avons pas réussi à être aussi bas, mais il est fort probable que mon style de conduite soit un peu trop sportif pour la modeste motorisation qui équipe cette iQ. En effet en étant très doux avec la pédale des gaz et en adoptant une conduite cool, j’ai pu mesuré une consommation de 5.5 l/100km. Mais sur la totalité de mon essai, composé de plusieurs trajets autoroutiers à rythme soutenu, la moyenne finale est de 7.3 l/100km. Cette voiture est faite pour la ville et cela se ressent tout de suite quand vous vous aventurez sur autoroute comme vous le feriez avec une berline moyenne. Le moteur est exploité à son maximum et la consommation augmente logiquement de manière gargantuesque.
En démarrant d’un feu vous avez l’impression de bondir, un peu comme le faisait la voiture télécommandée qui vous apportait tellement de plaisir dans votre jeunesse. Mais les sensations extraordinaires s’arrêtent là. Pour le reste, elle manque de reprise et de punch. Peut-être que les autres motorisations disponibles sur cette Toyota iQ, par exemple le 1.4 diesel, permettent d’améliorer tout ça. Niveau tenue de route, le bilan s’avère par contre plutôt positif. Avec les roues disposées aux extrémités de la voiture, la petite iQ se comporte très bien pour un véhicule de cette catégorie. Même en attaquant une petite montée sinueuse, aucun roulis excessif n’est constaté. Bien sûr, du fait de sa hauteur de caisse, elle est sensible aux vents latéraux. Le freinage est bon pour une utilisation urbaine mais dès qu’il faut écraser la pédale de freins à des vitesses élevées, on constatera encore une fois que nous sortons de son cadre idéal de fonctionnement. La boîte à vitesses n’est pas très précise et c’est à se demander si pour une petite citadine il ne serait pas recommandé d’opter pour la version automatique. La présence d’un indicateur de changement de vitesse vous permettra d’optimiser votre consommation en ville, mais il s’avérera par contre que ces conseils seront moins pertinents une fois sur l’autoroute. Le plus impressionnant c’est la maniabilité. Vous pouvez passer partout sans vous inquiétez, ça se faufile de manière exemplaire. Le rayon de braquage de tout juste 3.9 mètres vous permettra de faire demi-tour dans un mouchoir de poche. C’est bluffant comme l’iQ est extrêmement maniable !
Mon âme de “Mac addict” me fait dire que pour venir compléter mon iPod, mon iMac, et mon iPhone, voilà que j’ai la voiture qu’il me faut… mon iQ !!!! Malheureusement le titre de plus petite 4 places du monde a un coût et pas des moindre. Avec un prix de base de 21’700 Frs nous sommes déjà dans des tarifs très élevés pour cette catégorie et notre modèle d’essai parfaitement équipé atteint la somme de 27’050 Frs. Toutefois il faut reconnaître que l’équipement proposé est digne d’une grande avec par exemple une climatisation automatique, un système “Smart Entry/Start” qui vous permettra de garder la clé dans votre poche que ce soit pour ouvrir ou démarrer la voiture, les essuie-glaces et les phares automatiques et j’en passe. Dommage donc que le tarif final vienne entacher un peu le côté novateur et ludique qu’apporte cette nouvelle Toyota iQ. Vous constaterez que je n’ai pas comparé notre micro nippone avec la Smart, j’ai préféré laisser la plume à un possesseur de Smart qui saura mieux en parler…
Essai comparatif Toyota iQ – Smart ForTwo: Aïquiou ? Yes I like it, but !
Autant le signaler de suite, je partais pour cet essai avec un à priori négatif. Trop de pub sur un concept pas très crédible : transporter 4 personnes dans une voiture de moins de 3 mètres. Roulant dans une Smart for two mk2 de 2,70m de long, j’étais à la fois curieux et anxieux pour les passagers arrière ! Comment «Maître es miniaturisation», Hiroki Nakajima, avait-il pensé la chose ?
En fait, pour lui, les futurs conducteurs d’IQ seront de jeunes citadins aisés, célibataires (jusque-là je suis) ou en couple (pourquoi pas) mais principalement sans enfants (bon et bien finalement on est d’accord !) et il rajoute aimant un design original. Est-elle pour autant comparable à la Smart avec deux places de plus ? En stationnant les deux côté à côte, la première chose frappante est la différence de largeur. Qu’il y ait 29 cm de plus en longueur, je le conçois mais 12 cm de plus en largeur ! Sommes-nous vraiment dans la même catégorie ? Par exemple, la C1(cousine de l’Aygo) fait 1m63, la C2 1m66, la C3 1m67 lorsque l’iQ en fait 1m68 ! la largeur d’une Mini One. Comme quoi le « J-factor », expression Toyota signifiant entre autres la miniaturisation de produits, laisse penser que le modèle de référence avant l’application de la formule magique serait un Urban Cruser Sumo ! Je viens enfin de comprendre pourquoi le Q de iQ est en majuscule.
La Smart avec ces 1m54 parait, de ce fait, très haute 6 cm les séparent en hauteur (1m50 pour l’iQ). Continuons avec le côté esthétique. L’iQ est en fait un carré aux formes arrondies –si c’est possible !- avec aux quatre coins des roues de 15 pouces chaussées en 175/65. Dans cette livrée blanche comme l’iPhone de notre photographe et ses feux stop à LED, s’il n’y avait pas ces jantes « façon » chromée mais plutôt en finition noire « saké » elle me plairait presque. En fait, elle est plus Smart que la Smart qui, il faut bien l’avouer, n’est pas très jolie.
Dans la Smart le tableau de bord a un revêtement en tissu (on n’aime ou non). Il y a aussi des plastiques durs mais qui se rayent moins facilement. Le tout est très bien assemblé et bien qu’ultra rigide je n’ai aucun oisillon qui s’éveille. Qu’en sera-t-il pour la Toyota ? Le temps le dira. Mais les assemblages sont bons. Il y a quelques emplacements pour ranger les petites choses du quotidien dans les deux voitures, la Toyota offre un peu plus avec un bac de rangement dans la console central et deux porte-gobelets. Elle bénéficie aussi de deux miroirs de courtoisie occultant là ou la Smart ne propose qu’un miroir simple côté passager. Pour un gain d’espace et préserver une certaine aisance aux jambes du passager, il n’y a pas de boite a gant mais une pochette plate. Le volant de la Toyota est plus moderne et la planche de bord offre plus d’informations sans passer par les options compte-tours, pendule rajoutés pas si fun et qui semblent en plus fragiles chez la Smart.
L’iQ dont nous disposions était en fait une iQ2iQ au carré. Pas deux fois plus large mais deux fois mieux équipée. Le GPS intégré restant tout de même une option dans cette finition. Le frein à main, à droite du levier de vitesse, est très mal placé sur l’iQ. Par contre, les commandes radio, chauffage, GPS sont assez intuitives et faciles à manipuler (dans la Smart aussi d’ailleurs). Etant en plus relativement en hauteur, cela permet au regard de ne pas trop quitter la route. Les sièges iQ (ici en finition supérieure iQ2cuir/tissu) bien qu’extrêmement minces sont très confortables et bien plus moelleux que ceux de la Smart que je qualifierais de sportifs, des vrais planches façon matelas Futon, mais je n’ai jamais souffert même après plusieurs heures de routes comme quoi !
Nous sommes installés plus haut dans la Smart, ce que j’aime beaucoup, cela offre un réel avantage en ville pour voir au loin et de ce fait pouvoir anticiper. On ne peut pas régler la hauteur des sièges dans l’iQ et même si la voiture est haute, on est assis plus bas que dans la Smart. La « clé » qui sert à ouvrir et démarrer la petite Toy via un bouton « start and stop » est bien plus élégante, peinte dans la couleur carrosserie, que le « roudoudou » de la Smart (attention c’est encore sur le niveau supérieur iQ2).
Venons-en maintenant à ce qui marque LA différence : les places arrière de la Toyota. Elles sont plus petites que celles d’une 911 cabriolet et je peux admettre qu’un enfant de 6 ans puisse se glisser derrière le siège passager, occupé par un autre enfant (siège très avancé) mais pas plus. Toyota indique qu’il est possible d’y mettre une personne d’1m90 devant et derrière côté passager pourquoi pas ! Certains se sont bien amusés pour tenir à 22 dans une Mini Cooper ! Pour moi, ce serait sièges rabattus en permanence pour avoir un coffre d’une capacité raisonnable (passant de 32 à 242l). Il y a la possibilité de ne rabattre qu’un siège et d’avoir une capacité de 168l.
Motorisation. Très proche, nous avons deux trois cylindres d’un litre de cylindrée. D’un côté le VV-i affichant 68 ch avec 91 Nm de couple et de l’autre une Smart proposant 71 ch et 92 Nm à 4500trs. Juste de quoi mouvoir correctement ces voitures dans les rues de Genève me diriez vous. Oui, mais le poids étant inférieur ou légèrement supérieur à 900 kilos (911 pour la Toyota), elles s’en sortent aussi très bien hors agglomération.
Côté transmission, pas de chance. L’iQ était équipée de la boite 5 vitesses manuelles et non de la Multidrive (existe en boite 6 sur le 1.4D-4D diesel). Pour moi, cette voiture ne devrait être livrée qu’en boite auto. Un indicateur de changement de vitesse, fort agaçant, installé pour préserver l’environnement, s’allumait à peine avais-je enclenché le rapport supérieur (vers 3800trs) et ce sans vraiment accélérer à fond. A se demander si pour être bien « écolovert » faire 1-3-5 ne suffirait pas ! Le moteur assez alerte en première s’effondre lorsque l’on passe la 2ème. Il y a un trou énorme. Le concepteur a du oublier une dent quelque part. Je ne l’ai pas retrouvé en passant les autres rapports (le trou pas la dent). Il me tarde d’essayer la boite automatique. A noter que sur le papier et selon le constructeur, les rapports de démultiplication sont identiques sur les trois premiers rapports que ce soit en boite cinq ou six.
Un empattement de 2 mètres avec des portes à faux courts voilà une excellente solution pour obtenir un comportement sain et équilibré. En dynamique donc, l’iQ tient ou semble mieux tenir la route que la Smart. Elle passe plus vite et surtout plus sereinement dans la majorité des virages. Le confort de roulage est bien présent, la position de conduite est bonne, même si je préfère la position haute et la rudesse de la Smart, je dois avouer que pour moins de 3 mètres mais grâce à son Q la voiture est confortable et permet de tenir la vitesse légale sur autoroute plus facilement qu’avec la Smart très très sensible au vent latéral. Le volant et la direction sont précis et communicatifs. En revanche, l’iQ essayée avec ce moteur semble lourde, il fallait cravacher le moteur pour la faire avancer à la moindre déclivité. Au contraire, la Smart parait légère (parfois au point de se dire que si on continue d’accélérer on va s’envoler). Mais une fois l’appréhension passée, la Smart est bien plus fun à conduire, voire à piloter sur la neige/glace. La Toyota se veut de suite plus rassurante surtout en dehors de la ville. Quelques éléments expliquent cela : des pneus moins larges à l’avant sur la Smart, 155, alors que l’iQ est en 175 « au carré », et surtout l’implantation des moteurs.
La Smart, de par sa conception moteur arrière/propulsion, est agile là ou la Toyota moteur avant en traction est pataude. En termes de braquage, les deux font aussi bien et le font très bien. Il faut saluer l’implantation du réservoir situé très bas sur l’iQ, abaissant le centre de gravité.
Côté freinage, aux vitesses légales, la Smart freine bien plus court. De plus, la pédale de l’iQ est moins ferme que sur la Smart, moins franche pourrait-on dire, mais surtout et étonnement, l’iQ manque totalement de stabilité lors de freinages appuyés. A un moment, j’ai même cru que l’arrière –qui n’est pas bien loin- allait passer devant malgré les aides électroniques. Je n’ose imaginer un fort freinage en courbe sur une chaussée mouillée ! Un gros défaut à corriger très vite en recalibrant ce VSC (control de trajectoire). Il était prévu des disques à l’arrière, nous avions des tambours, peut être que la D-4D avec son poids supérieur en sera équipée.
En conclusion, sans parler du tarif trop élitiste de l’iQ, qui en temps de « crise » risque de lui faire perdre des parts de marché, je n’achèterais pas l’iQ. J’aime trop la position de conduite de la Smart, son côté agile où la conduite prend tout son sens quand on ne choisit pas l’option direction assistée. Sa boite auto « softouch » n’est pas exempte de tout reproche mais j’ai appris à l’exploiter. C’est une voiture trop attachante et qui plus est bien plus facile à caser, surtout en largeur, que l’iQ. Econome, consommant 5,2 litres aux 100 de SP95 (mesurés sur 10000 kilomètres avec des parcours difficiles : autoroute, montagne, route et ville). De plus, elle existe en cabriolet et même en version électrique alors que rien de tel n’est prévu pour le moment pour l’iQ, Toyota étant pourtant à la pointe en matière d’hybride.
L’iQ est nouvelle, classe à l’extérieur, rassurante (sécurité active et passive moderne) sauf en freinage d’urgence à vitesse élevée (>100km/h), confortable mais à quoi bon 4 places quand on voit que le matin ou le soir, en semaine, les voitures n’ont qu’un seul passager? Son succès, s’il y a, sera dû au changement de mentalité. Il est de plus en plus politiquement correct de rouler dans du petit gabarit. Quand on voit le succès de la Smart aux USA, Toyota devrait vite s’y engouffrer si elle veut prendre des parts de marché. En Inde, je n’en parle même pas car la Tata Nano fait aussi bien et même mieux en termes d’habitabilité avec certes, beaucoup beaucoup moins de confort, mais pour dix fois moins cher. En Europe, je pense que la Smart ForTwo restera devant en termes de nombre de ventes pendant encore un bon moment. Et pour cause, dans SA catégorie, elle reste la seule !
Face à la concurrence
Toyota iQ 1.0 VVT-i | Smart Fortwo coupé | Peugeot 107 1.0 | Daihatsu Trevis | |
Moteur | 3 cylindres, 998cm3 | 3 cylindres, 999cm3 | 3 cylindres, 998cm3 | 3 cylindres, 989cm3 |
Transmission | Avant | Propulsion | Avant | Avant |
Boite de vitesse | 5, mécanique | 5, mécanique robotisée | 5, mécanique | |
RPP (kg/ch) | 13.40 | 14.37 | 13.16 | 15.34 |
Poids à vide (constr.) | 911 kg (885 kg) | (750 kg) | (895 kg) | (890 kg) |
Puissance (ch/régime) | 68 / 6000 | 71 / 5800 | 68 / 6000 | 58 / 6000 |
Couple (Nm/régime) | 91 / 4800 | 92 / 4500 | 93 / 3600 | 91 / 4000 |
0-100 km/h | 14.7 sec | 13.3 sec | 13.7 sec | 12.2 sec |
Vitesse max. | 150 km/h | 145 km/h | 157 km/h | 160 km/h |
Conso. mixte (constr.) | 7.3 (4.3) | (4.3) | (4.5) | (4.8) |
Émissions CO2 | 99 g/km | 103 g/km | 106 g/km | 114 g/km |
Pneumatique | 175/65 R15 | 155/60 R15 175/55 R15 |
155/55 R14 | 155/65 R14 |
Prix de base (CHF) | 21’400 | 16’540 | 14’200 | 16’500 |
Remerciements à Toyota Suisse pour le prêt de cette Toyota iQ et au garage Emil Frey Genève pour la logistique.
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