Lamborghini Reventon.
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genesis
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Etape 3
Petite toilette et remplissage de l estomac de la bête
Voila l’étape qui consiste à donner un bain a se monstre routier, outrageusement agressé par dame nature et monsieur pluie,
Le plus dur fut d’aller jusqu'à la station de lavage, le Chef d’atelier fière de sont titre pour une fois eux le privilège (en cas de pépin ces lui qui trinque (même pas peur)) de déplacé se monument de l’Art automobile Italien.
La une voix pourtant douce habituellement, arrivent a mes oreilles comme une explosion atomique « tu monte avec moi » le temps que mon petit cerveaux réagissent a cette demande, mon tracé cardiaque du s interrompre un bref instant … avec un sourire de benêt je réponds a cette demande « pas de problème », me voila donc embraqué presque contre ma volonté (gros mensonge de ma part)
Arrivé a se centre de lavage, voila la question fatidique « comment la lavait (la peur au ventre de l’abimé) » d’un geste méthodique et doux a la fois dans des mouvements lointain de lance, jaillie une eau qui lui perle doucement, coulent sur ces ligne tendu, rebondissent sur ces forme généreuse (non ce n es pas un récit classé X)
Apres cette séance de remise en forme, voila la 2eme étape
Le remplissage de l’estomac de la bête,
Pour des raisons évidente de sécurité ce type d’autos voyages toujours avec le minimale syndical pour leurs livraison,
Aussi svelte quel sois, sont 1er repas fut de 73 litres d’essence gavé d’octanes fraichement raffiner, la voila donc avec sont réservoir de 100 litres bien plein,
Comme devant le garage a Porrentruy et le centre de lavage, l annonce de sont arriviez fut comme une trainé de poudre et les gens ne tarderai pas a s agglutiné devant elle,
Certain ébahie, d autre blaser critiquent la moindre chose ou encore ceux qui serait prés a tout pour la voire et ce prendre en photos devant.
Mais voila le moment temps redouté par la propulsasse local, le départ de cette star vers sont lieux de villégiature temporaire (en gros retour au garage)
Ces quelque kilomètres parcourue a sont bord fut pour moi une jouissance extrême, malgré ceux qui pense que je sois blasé a force de côtoyer se type d engin…
Que nénies,je suis et je reste toujours comme un gamin devant une Lamborghini vue pour la 1er fois
Petite toilette et remplissage de l estomac de la bête
Voila l’étape qui consiste à donner un bain a se monstre routier, outrageusement agressé par dame nature et monsieur pluie,
Le plus dur fut d’aller jusqu'à la station de lavage, le Chef d’atelier fière de sont titre pour une fois eux le privilège (en cas de pépin ces lui qui trinque (même pas peur)) de déplacé se monument de l’Art automobile Italien.
La une voix pourtant douce habituellement, arrivent a mes oreilles comme une explosion atomique « tu monte avec moi » le temps que mon petit cerveaux réagissent a cette demande, mon tracé cardiaque du s interrompre un bref instant … avec un sourire de benêt je réponds a cette demande « pas de problème », me voila donc embraqué presque contre ma volonté (gros mensonge de ma part)
Arrivé a se centre de lavage, voila la question fatidique « comment la lavait (la peur au ventre de l’abimé) » d’un geste méthodique et doux a la fois dans des mouvements lointain de lance, jaillie une eau qui lui perle doucement, coulent sur ces ligne tendu, rebondissent sur ces forme généreuse (non ce n es pas un récit classé X)
Apres cette séance de remise en forme, voila la 2eme étape
Le remplissage de l’estomac de la bête,
Pour des raisons évidente de sécurité ce type d’autos voyages toujours avec le minimale syndical pour leurs livraison,
Aussi svelte quel sois, sont 1er repas fut de 73 litres d’essence gavé d’octanes fraichement raffiner, la voila donc avec sont réservoir de 100 litres bien plein,
Comme devant le garage a Porrentruy et le centre de lavage, l annonce de sont arriviez fut comme une trainé de poudre et les gens ne tarderai pas a s agglutiné devant elle,
Certain ébahie, d autre blaser critiquent la moindre chose ou encore ceux qui serait prés a tout pour la voire et ce prendre en photos devant.
Mais voila le moment temps redouté par la propulsasse local, le départ de cette star vers sont lieux de villégiature temporaire (en gros retour au garage)
Ces quelque kilomètres parcourue a sont bord fut pour moi une jouissance extrême, malgré ceux qui pense que je sois blasé a force de côtoyer se type d engin…
Que nénies,je suis et je reste toujours comme un gamin devant une Lamborghini vue pour la 1er fois
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