Nagata-San a écrit : ↑31 juil. 2021 09:27
C'est effectivement le récurrent.
9x % de guérisions autonomes avec un doliprane.
Les traitements d'historique de dizaines d'années subitement interdits et bannis, mais pris par les gens du gouvernement français quand ça n'allait pas.
Et qui sont à présent saisis en douane Suisse lorsqu'une connaissance du milieu médical en commande, avec lettre de menace de dénonciation et amende. Idem pour Hydroxychloroquine et Ivermectine.
Une fois encore, d'un oeil plus large et avec un replay des derniers 24 mois, on est en droit de se demander à quoi joue le gouvernement quand il joue les pions dans cet ordre. On n'a jamais cherché à soigner, pas même en augmentant les lits ou les traitements, et pas plus à ce jour.
Je reste dubitatif du pourquoi on veut tout vacciner mais qu'on a jamais cherché à prévenir efficacement et à
soigner.
Vacciner une fois les phases 3 passées OK, et en complément de traitements aux premiers stades de maladies, sur des lits et soignants en augmentation, d'accord.
Vérouiller totalement les deux derniers pour tout miser sur le premier, ce n'est pas la fonction d'un gouvernement qui est de protéger un peuple.
Voyez y ce que vous voulez, c'est une base de questions fondées sur la girouette des gouvernements, mais surtout de bon sens.
Le fond est que les lois durçies sont passées sous ce couvert, et qu'on ne reviendra jamais à la même vie qu'avant. C'est acté et ne me dérange pas plus que ça, j'ai appris à cuisiner plein de bonnes choses à la maison !
Comme toujours, c'est plus compliqué que cela !
Reprenons les choses un peu dans l'ordre : il faut le dire et le répéter, oui, l'Hydroxychloroquine ou l'Ivermectine fonctionnent contre le SARS-Cov-2. Mais comme toujours, le diable se cache dans les détails : ces médicaments fonctionne EX-VIVO. Cela veut dire en laboratoire. IN-VIVO, soit dans la vie réelle, la quantité d'Hydroxycholoroquine qu'il faut ingérer pour obtenir le même résultat qu'en laboratoire est telle que cela tuerait le patient. Au doses usuelles, la Chloroquine et ses dérivées sont inefficaces contre le virus comme le montre a peu près toutes les études sérieuses (par ex. A. D. Hernandet et al. "Hydroxychloroquine votre traitement or prophylaxis of COVID-19",
ACP Journal, 18.08.2020 ou D.R Boulware, et al. "A Randomized Trial of Hydrochloroquine as Postexposure Prophylaxis for COVID-19",
The New England Journal of Medecine, 6.08.2020).
Le problème ici, c'est que le Pr. Raoult (qui est d'ailleurs au prise avec les instances judiciaires, médicales et les comités d'éthiques pour des faits (études falsifiées ou contraires à la pratique scientifique) qui se sont déroulés en 2009, donc bien avant que commence la pandémie) a utilisé la COVID pour apparaître aux yeux du public comme un sauveur, flattant au passage son égaux démesuré. En donnant espoir à beaucoup de gens n'ayant pas les compétences médicales et scientifiques pour comprendre que ses recherches étaient bidons (pas d'études en doubles aveugles, pas de pair-review, des patients qui disparaissent subitement des résultats d'études), il a créer un mouvement extrêmement dommageable à la lutte de la pandémie. D'ailleurs, il le dit bien dans son livre, il ne veut pas s'embarrasser des protocoles qui font que la science est la science parce que lui, il sait...
Osé affirmer qu'on ne cherche pas à soigner la Covid-19 est une insulte pour l'ensemble des professions soignantes et médicales qui luttent depuis plus d'une année et demi contre le SARS-Cov-2. D'une part, parce que voir quelqu'un mourir, c'est jamais réjouissant mais aussi parce que la communauté scientifique a testé un nombre incroyable de solutions pour lutter contre la COVID. Mais pour s'en rendre compte, il faut prendre le temps d'aller lire la littérature scientifique plutôt que de se renseigner sur FB. D'ailleurs, sans ces recherches, les cortico-stéroïdes ou l'utilisation de l'oxygène à très haut débit ne seraient pas utilisés dans tous les hôpitaux du monde.
L'autre raison de la faiblesse de ton argumentation est qu'un médicament serait largement plus rentable pour l'industrie pharmaceutique qu'un vaccin ! Un vaccin c'est un traitement (deux doses) alors qu'une médication est beaucoup plus longue et donc plus rémunératrice !
C'est comme l'argumentation que le vaccin est toujours en phase 3... Cela démontre une méconnaissance totale de la procédure de validation d'un vaccin (ou d'un médicament, même si les deux ne sont pas identiques). Ce qui a été accéléré, ce sont les phases administratives et non pas les phases cliniques. En temps normal, chaque phase clinique est précédée et suivie d'une phase administrative. Ici, les phases administratives et cliniques ont eu lieu en parallèle : le gain de temps s'est fait sur les phases administratives et non sur les phases cliniques. En quand bien même, si on suit la théorie boiteuse que le vaccin est toujours en phase 3, avec plus de 4.5 millards d'injections, ce serait la phase 3 la plus longue et la plus développée que le monde n'aurait jamais connue (même en cumulant toutes les phases 3 de tous les médicaments testés au monde, vu qu'en général une phase trois regroupe entre 10'000 et 30'000 patients). Le tout pour un nombre d'effets secondaires bien inférieur au paracétamol ou au vaccin contre la grippe...
Pour terminer sur l'augmentation des lits d'hôpitaux... Un lit d'hôpital, ce n'est pas juste un lit roulant, ni même un local où stocker le lit et le patient qui va avec. C'est surtout du personnel soignant et médical. Sans même parler des médecins, une infirmière cela ne pousse pas sur les arbres. C'est une formation de 3+2 ans, sans compter une spécialisation en soins intensifs. Ce personnel, dans le cas d'une pandémie, on va pas pouvoir le trouver ailleurs vu que c'est une
pan(=tout)
demos(=le peuple). C'est d'ailleurs une denrée si rare que le CHUV ne peut toujours pas ouvrir deux salles d'opérations par manque de personnel. Alors la solution du "yaka"...