Trois sportives a 10 ans d'intervalle: 3000GT, Modena et S5
Publié : 20 juil. 2013 21:33
J’ai eu l’occasion de revoir ma bien aimée Mitsubishi 3000gt quand le nouveau propriétaire m’a visité récemment et on en a profité pour faire des photos avec mes 2 autres concubines du moment, Audi S5 et Modéna. Toutes rouges, c’est du plus bel effet (si on aime le rouge).
Elles sont chacune d’une décennie différentes années 90 pour la 3000gt, 2000 pour la F360 et 2010 pour la S5. Donc forcément, la modernité n’est pas la même. Et trois pays aux approches pour le moins pour le moins cloisonnées : entre la Japonaise délire d’ingénieur, l’Italienne exubérante et l’Audi sérieuse, respectivement un V6 turbocompressé et 2 V8 atmosphériques.
D’abord au niveau purement visuel, la 3000gt exhibe les gimmicks de l’époque (pop-up et aileron). La hiérarchie dans la hauteur est respectée, la plus basse la 360, la plus haute l’Audi. En fait la S5 ressemble presque à un monospace à coté des autres… La mitsu fait de l’effet c’est sur, autant avec la S5 (même rouge) on passe inaperçu (sauf des aficionados de la marque), autant la 3000gt en jette (je connais bien des gens qui pensait que c’était une Ferrari). La F360 pour moi est parfaite, large, agressive, c’est la plus belle, mais l’arrière de la 3000gt parait presque plus équilibré (grâce à l’aileron). Les entrées d’air au niveau de la roue arrière sont factices sur la 3000GT, c’est dommage, compare a la F360 ou les entrées d’air sont toutes fonctionnelles. La teutonne se passe de toutes ces entrées et autres appendices, elle pas la pour déconner, elle.
Question conduite, et bien en fait la 3000gt c’est 2 voitures en 1 : une sportive et une autoroutière. Pour la remplacer il en faut 2, l’Audi pour l’autoroute et la Ferrari pour le sport. En effet, rouler en Ferrari sur autoroute ressemble un peu à une punition : ajoutez un compteur très pratiquement gradé de 30 en 30 km/h, des graduations toutes serrées pour monter jusqu’á 320 km/h, une réponse enthousiaste de tout mouvement des orteils droits, pas de régulateur, et un bruit qui donne constamment à penser que l’on est resté bloqué en 1ere et vous obtenez un engin peu taillé pour le plaisir autoroutier… Inversement, l’Audi sur petites routes est un peu une expérience de frustration répétée : on ne ressent ni la vitesse, ni l’accélération, alors bien sur on a tendance a arriver très vite á la limite, qui se caractérise par le sous-virage castrateur des voitures pour gens sérieux. Le quatro doit pas aider bien sur…. On ne peut pas tout avoir bien sur, la sonorité du 4.2L V8 atmo est formidable… pour les passants. Le conducteur pourra en vain ouvrir sa fenêtre, il entendra… le vent seulement. Pour gens sérieux je vous dis. La S5 ça se conduit en costard cravate en écoutant du Diana Krall et puis c’est tout (sur la meilleure sono que j’ai jamais eu dans une voiture). Mais bon au jour le jour, ca permet de laisser sur place à peu prés tout ce qui roule, en toute décontraction, et de stimuler ainsi les plus vils instincts de supériorité (c’est très mal je sais…). La 3000gt (je l’appelle « Patricia »), elle, c’est plutôt du Dr Dre, voir de l’ACDC que j’ai fait sonner comme un dingue. Bonne sono électronique et mécanique. Lá c’est du 3200 cm3…. Bi-turbo ! Alors le son de ce moteur c’est très spécial et c’est très bien, ca siffle, ca rugit ! L’opposé par rapport au rendu linéaire de l’atmo de l’Audi : quand les 2 turbo qui lui soufflent dans les naseaux se déclenchent en même temps vers 3000-4000 tr/min, on ressent bien le coup de pied aux fesses. Le volant est un peu grand (elle a plus de 20 ans aussi…), mais ca envoie, et en virage elle se campe bien sur ses pneus arrières. Elle est 4x4 pourtant mais l’arrière domine largement, nul ne saura jamais si les roues directrices arrières y sont pour quelque chose… Un coup d’accélérateur en virage sur la neige, et elle part direct…. On rigole plus la, à l’époque y avait pas l’ESP et tutti quanti pour vous tenir la main.
Quand à l’ABS, il valait mieux enlever le fusible en hiver… Alors, bien sur, sur le papier l’Audi écrase la 3000gt, mais les sensations font mentir les chiffres. Bon, questions vêtements, je recommande perso le bleu de travail pour la 3000gt en fait j’avais toujours quelques outils avec moi, on sait jamais hein… je finissais par lasser le TCS. Par exemple, pour remettre en place l’arrivé d’air vers l’injection qui avait une certaine tendance à se désolidariser, ou essayer de remettre de l’ordre dans ce balais de gadgets motorisés, fruits du travail passionné (mais délirant) d’une équipe d’ingénieurs japs fous. Jugez vous-même, à partir d’une certaine vitesse, le sous-bassement avant descend de plusieurs centimètres, alors que l’aileron arrière s’incline, les roues arrières sont directrices, la transmission intégrale, la suspension active (elle change la dureté en fonction de votre…comportement), le moteur bi-turbo… Tout ca en montage transversal, fallait oser. Maintenant faut pas vouloir changer les 3 bougies du fond, bien planquées au chaud derrière l’admission, hein…
En fait, la 3000gt soit on est bricoleur, soit on ferme les yeux sur les depenses. Par exemple, j’ai bien aimé le concept, quand l’ampoule du phare et naze… ben on achète un nouveau phare (fabriqué spécialement au Japon), non faut aimer, rentrer dans son jeu. Question entretien, posséder une 3000gt c’est un peu comme rentrer en religion, on sait qu’on souffre mais c’est pour une cause supérieure, alors ca va, on finit même par aimer ca... Bon maintenant au chapitre maniabilité, faut pas rêver non plus, 1.7T c’est pas une ballerine, et un freinage appuyé sur autoroute peut sérieusement faire pleurer les disques avants (changes 3 fois pour ma part…), mais elle à la manière, cette voiture.
Reste le cas de la Modéna (« Mylene » pour les intimes). Honnêtement, je m’étais toujours fait l’idée que c’était une voiture de luxe. Pas du tout. En fait, c’est à l’exacte intersection entre un cart et une voiture. Une Speedster ou une Elise avec un beau bruit. Parlons-en du bruit. Tout d’abord, j’ai l’échappement standard. Je ne sais pas pourquoi certains s’obstinent à transformer en bruit de Fiat Punto mal tunee ce qui a été méticuleusement accordé par Maranello. Mettre un échappement qui beugle sur une Modena, c’est un peu comme mettre du Coca dans un Pommard. Voila, c’est dit, et puis c’est tout… maintenant ce bruit est vraiment bien, et ce qui est génial c’est qu’a la différence de l’audi, on peut ouvrir la fenêtre… et miracle, on n’entend pas le bruit du vent, mais quasiment que celui du moteur, extraordinaire ! J’ai découvert l’importance du relief et des matériaux qui bordent la route sur le son rendu par le moteur, expérience étonnante, on finit par guetter l’arrête en rocher, préparer soigneusement un rétrogradage pour pouvoir accélérer pil-poil au passage du rocher… En fait, la F360 à prétendument 2 places, c’est faux. En vérité elle en a 3, mais le 3eme passage est le moteur, séparé de vous pas une petite vitre, il est en fait plus isolé de l’extérieur que des passagers…. Et c’est très bien.
Cette voiture est d’une philosophie diamétralement opposée a la S5 : l’Audi semble murmurer constamment « plus doucement, calme-toi » à chaque virage, la Modena est plus dans le style « vas-y, plus vite, plus fort ! ». L’équilibre en virage est beaucoup plus survireur que la 3000GT, mais ca dépend pas mal et je n’ais pas encore bien saisi le mode d’emploi : des fois on est surpris par une dérive un peu rapide. Mais ca ne va jamais bien loin, car en mode rookie (c'est-à-dire un genre d’ESP maison et l’antipatinage activé), elle coupe carrément les gaz à l’approche de tout dérapage à l’accélération. En fait, c’est uniquement sur le sec et en ligne droite qu’on peut être sur d’accélérer à fond sans problème en 1ere. Donc, fantastique, mais attention, n’allez pas vous imaginer que c’est sans contrepartie… tout d’abord j’ai l’option baquet avec les ceintures type rallyes. Super pour faire des baptêmes (ca renforce le coté expérience exotique…) et très efficace au freinage (qui est excellent au demeurant), ce type de ceinture n’a pas d’enrouleur… donc il faut carrément l’enlever si vous voulez vous pencher en avant à une intersection sans visibilité… Ensuite, ben, je passe sur l’entrée et la sortie, bien plus facile qu’un Speedster, mais la première fois (en fait à chaque fois que je passe de l’Audi à la Modena) ca fait un choc tellement… c’est bas. Bien sur, en 2000 il n’y avait pas l’option bip-bip pour le parking, et nom de bleu, vu la visibilite arrière ce n’aurait pas été un luxe ! Finalement, la boite F1, faut s’y faire, c’est pas du DSG de VW ou du convertisseur de couple a la S5, c’est sec et franc… et en manœuvre il faut avoir le cœur bien accroché car parfois ça embraye d’un coup.
Alors voila mes copines Patricia, Géraldine et Mylène, chacune une expérience très mal pensante : pensez aux émissions de CO2, la pollution, etc… J’adore. Seule la 3000GT est une athlète multi-talents, mais la S5 et la Modéna lui sont supérieures dans leurs domaines respectifs. Et oui, on vous l’a dit et répété : de nos jours, il faut se spécialiser !
En fait c’est intéressant de les voir comme ça d’un coup, car elles ont d’autres points communs que leur couleur. Et aussi d’immenses différences. Comme je les connais un peu toutes, je me suis dit que j’allais en profiter pour partager mon expérience.Elles sont chacune d’une décennie différentes années 90 pour la 3000gt, 2000 pour la F360 et 2010 pour la S5. Donc forcément, la modernité n’est pas la même. Et trois pays aux approches pour le moins pour le moins cloisonnées : entre la Japonaise délire d’ingénieur, l’Italienne exubérante et l’Audi sérieuse, respectivement un V6 turbocompressé et 2 V8 atmosphériques.
D’abord au niveau purement visuel, la 3000gt exhibe les gimmicks de l’époque (pop-up et aileron). La hiérarchie dans la hauteur est respectée, la plus basse la 360, la plus haute l’Audi. En fait la S5 ressemble presque à un monospace à coté des autres… La mitsu fait de l’effet c’est sur, autant avec la S5 (même rouge) on passe inaperçu (sauf des aficionados de la marque), autant la 3000gt en jette (je connais bien des gens qui pensait que c’était une Ferrari). La F360 pour moi est parfaite, large, agressive, c’est la plus belle, mais l’arrière de la 3000gt parait presque plus équilibré (grâce à l’aileron). Les entrées d’air au niveau de la roue arrière sont factices sur la 3000GT, c’est dommage, compare a la F360 ou les entrées d’air sont toutes fonctionnelles. La teutonne se passe de toutes ces entrées et autres appendices, elle pas la pour déconner, elle.
Question conduite, et bien en fait la 3000gt c’est 2 voitures en 1 : une sportive et une autoroutière. Pour la remplacer il en faut 2, l’Audi pour l’autoroute et la Ferrari pour le sport. En effet, rouler en Ferrari sur autoroute ressemble un peu à une punition : ajoutez un compteur très pratiquement gradé de 30 en 30 km/h, des graduations toutes serrées pour monter jusqu’á 320 km/h, une réponse enthousiaste de tout mouvement des orteils droits, pas de régulateur, et un bruit qui donne constamment à penser que l’on est resté bloqué en 1ere et vous obtenez un engin peu taillé pour le plaisir autoroutier… Inversement, l’Audi sur petites routes est un peu une expérience de frustration répétée : on ne ressent ni la vitesse, ni l’accélération, alors bien sur on a tendance a arriver très vite á la limite, qui se caractérise par le sous-virage castrateur des voitures pour gens sérieux. Le quatro doit pas aider bien sur…. On ne peut pas tout avoir bien sur, la sonorité du 4.2L V8 atmo est formidable… pour les passants. Le conducteur pourra en vain ouvrir sa fenêtre, il entendra… le vent seulement. Pour gens sérieux je vous dis. La S5 ça se conduit en costard cravate en écoutant du Diana Krall et puis c’est tout (sur la meilleure sono que j’ai jamais eu dans une voiture). Mais bon au jour le jour, ca permet de laisser sur place à peu prés tout ce qui roule, en toute décontraction, et de stimuler ainsi les plus vils instincts de supériorité (c’est très mal je sais…). La 3000gt (je l’appelle « Patricia »), elle, c’est plutôt du Dr Dre, voir de l’ACDC que j’ai fait sonner comme un dingue. Bonne sono électronique et mécanique. Lá c’est du 3200 cm3…. Bi-turbo ! Alors le son de ce moteur c’est très spécial et c’est très bien, ca siffle, ca rugit ! L’opposé par rapport au rendu linéaire de l’atmo de l’Audi : quand les 2 turbo qui lui soufflent dans les naseaux se déclenchent en même temps vers 3000-4000 tr/min, on ressent bien le coup de pied aux fesses. Le volant est un peu grand (elle a plus de 20 ans aussi…), mais ca envoie, et en virage elle se campe bien sur ses pneus arrières. Elle est 4x4 pourtant mais l’arrière domine largement, nul ne saura jamais si les roues directrices arrières y sont pour quelque chose… Un coup d’accélérateur en virage sur la neige, et elle part direct…. On rigole plus la, à l’époque y avait pas l’ESP et tutti quanti pour vous tenir la main.
Quand à l’ABS, il valait mieux enlever le fusible en hiver… Alors, bien sur, sur le papier l’Audi écrase la 3000gt, mais les sensations font mentir les chiffres. Bon, questions vêtements, je recommande perso le bleu de travail pour la 3000gt en fait j’avais toujours quelques outils avec moi, on sait jamais hein… je finissais par lasser le TCS. Par exemple, pour remettre en place l’arrivé d’air vers l’injection qui avait une certaine tendance à se désolidariser, ou essayer de remettre de l’ordre dans ce balais de gadgets motorisés, fruits du travail passionné (mais délirant) d’une équipe d’ingénieurs japs fous. Jugez vous-même, à partir d’une certaine vitesse, le sous-bassement avant descend de plusieurs centimètres, alors que l’aileron arrière s’incline, les roues arrières sont directrices, la transmission intégrale, la suspension active (elle change la dureté en fonction de votre…comportement), le moteur bi-turbo… Tout ca en montage transversal, fallait oser. Maintenant faut pas vouloir changer les 3 bougies du fond, bien planquées au chaud derrière l’admission, hein…
En fait, la 3000gt soit on est bricoleur, soit on ferme les yeux sur les depenses. Par exemple, j’ai bien aimé le concept, quand l’ampoule du phare et naze… ben on achète un nouveau phare (fabriqué spécialement au Japon), non faut aimer, rentrer dans son jeu. Question entretien, posséder une 3000gt c’est un peu comme rentrer en religion, on sait qu’on souffre mais c’est pour une cause supérieure, alors ca va, on finit même par aimer ca... Bon maintenant au chapitre maniabilité, faut pas rêver non plus, 1.7T c’est pas une ballerine, et un freinage appuyé sur autoroute peut sérieusement faire pleurer les disques avants (changes 3 fois pour ma part…), mais elle à la manière, cette voiture.
Reste le cas de la Modéna (« Mylene » pour les intimes). Honnêtement, je m’étais toujours fait l’idée que c’était une voiture de luxe. Pas du tout. En fait, c’est à l’exacte intersection entre un cart et une voiture. Une Speedster ou une Elise avec un beau bruit. Parlons-en du bruit. Tout d’abord, j’ai l’échappement standard. Je ne sais pas pourquoi certains s’obstinent à transformer en bruit de Fiat Punto mal tunee ce qui a été méticuleusement accordé par Maranello. Mettre un échappement qui beugle sur une Modena, c’est un peu comme mettre du Coca dans un Pommard. Voila, c’est dit, et puis c’est tout… maintenant ce bruit est vraiment bien, et ce qui est génial c’est qu’a la différence de l’audi, on peut ouvrir la fenêtre… et miracle, on n’entend pas le bruit du vent, mais quasiment que celui du moteur, extraordinaire ! J’ai découvert l’importance du relief et des matériaux qui bordent la route sur le son rendu par le moteur, expérience étonnante, on finit par guetter l’arrête en rocher, préparer soigneusement un rétrogradage pour pouvoir accélérer pil-poil au passage du rocher… En fait, la F360 à prétendument 2 places, c’est faux. En vérité elle en a 3, mais le 3eme passage est le moteur, séparé de vous pas une petite vitre, il est en fait plus isolé de l’extérieur que des passagers…. Et c’est très bien.
Cette voiture est d’une philosophie diamétralement opposée a la S5 : l’Audi semble murmurer constamment « plus doucement, calme-toi » à chaque virage, la Modena est plus dans le style « vas-y, plus vite, plus fort ! ». L’équilibre en virage est beaucoup plus survireur que la 3000GT, mais ca dépend pas mal et je n’ais pas encore bien saisi le mode d’emploi : des fois on est surpris par une dérive un peu rapide. Mais ca ne va jamais bien loin, car en mode rookie (c'est-à-dire un genre d’ESP maison et l’antipatinage activé), elle coupe carrément les gaz à l’approche de tout dérapage à l’accélération. En fait, c’est uniquement sur le sec et en ligne droite qu’on peut être sur d’accélérer à fond sans problème en 1ere. Donc, fantastique, mais attention, n’allez pas vous imaginer que c’est sans contrepartie… tout d’abord j’ai l’option baquet avec les ceintures type rallyes. Super pour faire des baptêmes (ca renforce le coté expérience exotique…) et très efficace au freinage (qui est excellent au demeurant), ce type de ceinture n’a pas d’enrouleur… donc il faut carrément l’enlever si vous voulez vous pencher en avant à une intersection sans visibilité… Ensuite, ben, je passe sur l’entrée et la sortie, bien plus facile qu’un Speedster, mais la première fois (en fait à chaque fois que je passe de l’Audi à la Modena) ca fait un choc tellement… c’est bas. Bien sur, en 2000 il n’y avait pas l’option bip-bip pour le parking, et nom de bleu, vu la visibilite arrière ce n’aurait pas été un luxe ! Finalement, la boite F1, faut s’y faire, c’est pas du DSG de VW ou du convertisseur de couple a la S5, c’est sec et franc… et en manœuvre il faut avoir le cœur bien accroché car parfois ça embraye d’un coup.
Alors voila mes copines Patricia, Géraldine et Mylène, chacune une expérience très mal pensante : pensez aux émissions de CO2, la pollution, etc… J’adore. Seule la 3000GT est une athlète multi-talents, mais la S5 et la Modéna lui sont supérieures dans leurs domaines respectifs. Et oui, on vous l’a dit et répété : de nos jours, il faut se spécialiser !