Asphalte.ch

à part ça il y en a une qui tourne de temps en temps dans le coin. Je l'ai vu une fois à Renens, et une autre fois devant un fameux garage à Romanel. Probablement la même car même couleur (Un orange assez foncé qui tire vers le rouge, ou l'inverse)

Je suis quand même halluciné de voir la liberté qu'ils avaient. Mais surtout, le fait qu'un carrossier dicte les points techniques assez fondamentaux, comme le placement du moteur, la transformation du chassis, etc. Tu m'étonnes que ces italiennes sont inroulables!

Pour rappel, la forme de la Type-E a été entièrement dictée par la technique. C'est une fois que le modèle était prêt qu'on l'a transmise au département du design, en demandant de vérifier qu'elle ne soit pas trop moche

C'est un peu le lot de toutes ces anciennes italiennes (fragile comme du verre)

Ce n'est pas vrai. Les V12 Ferrari des années 60/70 étaient/sont réputés pour leur solidité dans les épreuves d'endurance. Les Alfa pareil, dés lors que tu étais respectueux des temps de chauffe et que l'entretien soit bien fait avec la bonne huile, les bonnes bougies etc.

Je suis quand même halluciné de voir la liberté qu'ils avaient.

Aujourd'hui tu as des contraintes de plateformes, de crash test, d'ensembles moteur transmission qui laissent beaucoup moins de liberté. Je suis admiratif des designers actuels qui arrivent quand même à camoufler les énormes pilliers. Quand tu compares les surfaces vitrées qui vues de l'extérieur apparaissent génréreuses, à l'intérieur c'est une meurtrière de bunker. C'est flagrant sur les vitres de custode ou le hayon des compactes.

Avgas a écrit : ↑

15 juin 2018 14:16

C'est un peu le lot de toutes ces anciennes italiennes (fragile comme du verre)

Ce n'est pas vrai. Les V12 Ferrari des années 60/70 étaient/sont réputés pour leur solidité dans les épreuves d'endurance. Les Alfa pareil, dés lors que tu étais respectueux des temps de chauffe et que l'entretien soit bien fait avec la bonne huile, les bonnes bougies etc.

Au temps pour moi. J'ai peut être fait un raccourci entre la fiabilité et l'entretien qui (Re-corrige moi si je me trompe) doit être conséquent et passablement couteux. Je ne sais plus qui disait que certaines Ferraris pouvaient sembler abordable, mais que les cout d'entretien donnaient une idée de l'infini.

Après il me semble que Ferruccio s'est lancé dans les voitures de sport car il était mécontent de la fiabilité de ses Ferraris (et car il s'est fait très joyeusement envoyé baladé par Enzo quand il lui a signifié)

Activez les sous-titres pour visionner ce magnifique essai

Passionnant !

Du très grand Mendez ! Déjà qu'un 4 cylindre Alfa il faut lui parler pour que ça fonctionne, j'imagine pas un V12 Lambo avec 4 carbus triple corps. Faut lui jouer la Traviata avant chaque démarrage.

Et là encore, c'est facile à trouver car c'est cassé, mais sur ces distributeurs, il y a aussi eu des gags comme des ressorts dont la force n'était pas la bonne ou dont la force évoluait avec l'age. Et ca, pour le remettre en doute si on n'a pas un banc de test de distributeur, comme tout semble OK en statique, c'est quasi mission impossible...

Magique !