Elise A111, 10ans déjà !
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BS
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Re: Parce qu'ils sont ronds
Reprise de l'avant-dernier message de la page précédente:
C'était en référence à l'expression "En rester comme deux ronds de flan."S2000 a écrit :BS a écrit :C'est parce qu'ils sont ronds.bentralala a écrit :Bien que le yoko soit plus cher, il semble avoir une meilleure longévité et des flans beaucoup plus rigides.
Sérieusement, tu entends quoi par "rond" ? Les flancs arrondis ?
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BS
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Re: Yoko versus Toyo
Je fais mon mea culpa car je me suis mélangé les pinceaux. JP Mécanique m'a confirmé que les Toyo étaient bien meilleurs que les Yoko sur le mouillé. Par contre les A048 sont beaucoup plus performants sur le sec car ils ne font que s'améliorer en montant en température, alors que c'est exactement l'inverse pour les Toyo.SebM a écrit :Ben toujours entendu pareil... et c'est vrai que pour avoir testé le Toyo sous la pluie, il est impressionnant !!! Sur le sec, c'est juste parfait, j'ai trouvé LE pneu qui me convenait le mieux sur ma Lotus...Polon a écrit :Perso j'ai toujours entendu le contraire. Et pour avoir testé les Toyo bien usés sous la pluie ce week-end, ça tient vraiment bien le pavé !BS a écrit :Ce n'est pas tant une question de profil que de mélange de gommes. D'après mes informations le A048 est nettement supérieur au Toyo sur le mouillé.
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your momo
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Elise A111, 10ans déjà ! ...et même plus
Petit UP ...car je vais vous conter quatre jours de routes par monts et par vaux 
your momo
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your momo
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Préambule:
Après un mois d’avril très prometteur le retour de l’hiver s’est durement fait sentir en mai et nous a joué les prolongations en juin …heureusement l’été a fini par marquer et faire la différence en cette fin de mois ! Ceci nous évitera je l’espère une séance de tires au but en juillet…
Pauvre A111, elle n’avait pas beaucoup roulé cette année, même pas 1’200 km en 6 mois. Et ceci même en comptant les délicieux 900 km du Lotus Gourmet Tour 2010 qui s’est heureusement déroulé durant le seul w-e de beau du mois mai …trois jours de suite sans pluie, un miracle je vous dis.
Voici donc la Balade de 1'757km en quatre jours bien remplis:
Le w-e passé je suis donc parti pour une seconde virée direction la Grande Bleue en empruntant la mythique Route des Grandes Alpes. Quatre étapes, beaucoup de virages et des paysages éternellement merveilleux.
Premier jour, Romanel-St-Marie de Vars.
Départ 06h15, température encore fraîche mais soleil radieux, direction le Pas de Morgins, le val d’Abondance puis jonction sur le tracé des Grandes Alpes par le col du Corbier.
Retrouvaille (5 Lotus …et une Abarth) avec les autres participants au désormais célèbre café de la Cascade en bas du col des Saisies
Montée du Cormet de Roslende, puis direction Val d’Isère avec un petit pique-nique pour reprendre des forces avant d’attaquer les pentes de l’Iseran et la belle descente sur la vallée de la Maurienne.
Puis col du Télégraphe et Galibier en enfilade suivit de la descente sur le Lautaret puis Briançon. Petit arrêt à la pompe pour que je me rende compte que j’ai juste loupé le passage des 66'666 km sur le compteur de l’Elise ...en presque 12 ans c’est à la fois peu (par année) et beaucoup (de bonheur).
La montée de Izoar est déserte en cette fin de journée, ce col qui ne sert à rien (il ne permet pas de gagner du temps) distille un bonheur automobile unique. Une petite halte au Refuge Napoléon nous permet d’apprécier les excellentes tartes maisons ainsi que l’accueil des hôtes du lieu.
La descente sur Guillestre et la monté du col de Vars complètent la carte des desserts de cette journée bien remplie.
Hébergerment comme la dernière fois à l'hôtel Alpage qui offre à la fois accueil et gîte de qualité ...et aussi une très bonne bière locale. La carte des vin n'est pas en reste, il y a par exemple un excellent Vaqueras...
Deuxième jour, Vars Ste-Marie – Antibes – Grand Canyon du Verdon
Journée spéciale car je pars en solo récupérer madame qui a rejoint la Côte d’Azure par les airs. Je dois de plus composer avec un course cycliste de malade qui propose à ses participants de faire le maximum de cols (7) de la vallée de Ubaye en 24h. D’ailleurs la course s’appelle Le défi des Fondus de l'Ubaye …pour les courageux voici le lien :
http://www.cyclesud.fr/cyclosportives/fondu_ubaye
Heureusement les routes ne sont pas fermées, mais le col de la Bonette est à déconseiller car emprunté au moins une fois par tous les participants. Je me rabats donc sur le col de Cayolle (toujours aussi tape-cul) puis les gorges du Daluis (toujours aussi belles). Pour la suite je descend le long du Vars jusqu’aux portes de Nice.
A Carros j’oblique à droite pour une arrivée sur Antibes par l’arrière pays. Le trajet jusqu’à Vence n’offre pas de réelle plaisir de conduite, la vue depuis Gattières est par contre sympa. Depuis le Pont-du-Loup une petite route (D6) descend sur Cagnes elle permet de se faire plaisir dans un petit vallon ou la circulation est quasi inexistante.
Puis flèche à droite pour la longue ligne droite qui borde la Mer et arrivée sur Antibes. Madame est là, elle m’a même réservé une place à l’ombre sur le parking du port …sympa.
Petit repas pris sur une terrasse, le dépaysement est immense, ça fleure bon les vacances.
Une petite ballade digestive dans la vielle ville précède une baignade bien méritée dans la mer. Température idéale, foule raisonnable vu le lieu, un vrai paysage de carte postale.
Bon c’est pas tout ça il faut remonter sur le Verdon où nous attendent nos amis qui eux sont descendus par un itinéraire le long de la route Napoléon.
Le trajet entre Antibes et Fayence par le sud de Grasse est une m.rde finie, l’urbanisation à vau l’eau et la circulation pléthorique étendent la durée du moindre déplacement à une épopée. Quasi 2h pour pas 50 bornes on se croirait revenu au temps du char à bœufs...
Une fois arrivée à Fayence le parcours se dégage et l’impression de solitude nous envahit …bon j’exagère un peu mais le contraste est saisissant. Les petites routes qui nous mènent au bord du Grand Canyon du Verdon sont avalées avec plaisir.
L’arrivée à la Falaise des Cavaliers sonne le glas de ce dernier trajet. La vue est splendide et c’est le coucher du soleil sur les falaises rougies qui accompagne notre repas. Le claire de lune se chargera ensuite d’illuminer avec majesté ce site sublime...
Troisème jour, Grand Canyon du Verdon – Chauffayer
La journée début tôt par une descente, à pieds cette fois, pour aller tâter le bord du Verdon. Cette promenade est une excellente mise en jambes pour une journée qui s'annonce tout de même assez chargée en km.
Nous partons ensuite voire les candidats au suicide, un élastique comme seul lien à la vie, sauter dans le vide qui baigne le pont d'Artuby ...160m de chute, ça calme. Rien qu'à regarder je suis mal...
Nous faisons ensuite un petit bout de route avec le club Berlinette Alpine et sportives Renault en virée ...certains sont des connaissance du Lotus Jura Tour, le monde est décidément petit.
Puis arrêt au Lac de Castillon pour un repas et une baignade pour les moins frileux, le lieu est de toute beauté. On attaque ensuite les gorges du Daluis et le col de Cayolle ...celui-là je commence à bien le connaître.
De Barcelonnette deux groupes se forment, les sevrés qui n'ont pas pu faire le col de Vars hier s'en vont par là moteur vrombissant et le groupe cou-cool dont je fait partie décide de se faire le col de Lébraut par le sud du lac de Serre-Ponçon. Bien mauvaise idée que nous avons eu là, pas que le paysage ou les routes ne soient pas à la hauteur bien au contraire. Nous avons par contre eu la surprise de la route barrée avec panneautage déficient, le petit détour sur une route bondée de fin de dimanche nous a flingué une bonne heure.
Le paradoxe étant que nous avons retrouvé le premier groupe de retour de Guillestre à Chorges ...comme quoi les deux itinéraires se valent.
Le côté positif est que nous avons pu tous ensemble profiter de la dernière friandise du jour, le col de Manse, qui permet d'éviter élégamment le passage par Gap.
L'arrivée au Château des Herbeys demeure du 18ème restaurée avec goût, est annonciatrice d'une soirée bien sympathique. Le cadre est enchanteur, les chambres opulentes et le repas exquis. Un petit air de Gourmet Tour flotte jusqu'à tard dans la nuit...
Quatrième jour, Chauffayer – Romanel ...par l'itinéraire le plus improbable
Le parcours de ce dernier jour est très souple, certain partent direct au plus court par Grenoble.
Les autres se disent que l'Isoar n'est pas si loin et qu'une petite part de tarte aux framboises passerait bien. Donc départ pour Guillestre via le col de Manse, nous apprécions cette fois plus le trajet qui longe le lac de Serre-Ponçon, il faut dire que la foule du dimanche soir est au boulot...
La montée du col de l'Isoar sous un soleil radieux et sur des routes dégagées est un grand plaisir.
Arrivés au Refuge Napoléon, les tartes sont encore au four... ...heureusement il restait du rab, donc nous nous régalons une fois encore. Bon c'est pas tout ça mais la route est encore longue et il faut quitter se petit coin de paradis.
La descente sur Briançon puis la monté vers le Galibier se passent sans encombres. La descente sur Valloire est un moment d'intense plaisir, puis c'est la courte montée vers le col du Télégraphe.
Là une équipe nous quitte pour un retour direct sur Genève et le Jura. Pour les autre c'est petit pique-nique et dissertation sur la route à prendre
Nous restons donc trois Lotus pour un retour par l'Iseran, puis le Petit et le Grand St-Bernard. Cette fin de parcours est assez éprouvante et nous arrivons à 21h10 vannés, mais heureux et avec plein de souvenirs et de paysages en tête.
Au final c'est une sacré balade qui traverse des paysages surprenants et sublimes. Les cols de la Routes des Grandes Alpes sont vraiment à faire au moins une fois ...voir deux ou plus
Voilà c'est dit ...promis je vais encore ajouter quelques photos pour illustrer ce récit
...ben voilà maintenant les photos sont là
Après un mois d’avril très prometteur le retour de l’hiver s’est durement fait sentir en mai et nous a joué les prolongations en juin …heureusement l’été a fini par marquer et faire la différence en cette fin de mois ! Ceci nous évitera je l’espère une séance de tires au but en juillet…
Pauvre A111, elle n’avait pas beaucoup roulé cette année, même pas 1’200 km en 6 mois. Et ceci même en comptant les délicieux 900 km du Lotus Gourmet Tour 2010 qui s’est heureusement déroulé durant le seul w-e de beau du mois mai …trois jours de suite sans pluie, un miracle je vous dis.
Voici donc la Balade de 1'757km en quatre jours bien remplis:
Le w-e passé je suis donc parti pour une seconde virée direction la Grande Bleue en empruntant la mythique Route des Grandes Alpes. Quatre étapes, beaucoup de virages et des paysages éternellement merveilleux.
Premier jour, Romanel-St-Marie de Vars.
Départ 06h15, température encore fraîche mais soleil radieux, direction le Pas de Morgins, le val d’Abondance puis jonction sur le tracé des Grandes Alpes par le col du Corbier.
Retrouvaille (5 Lotus …et une Abarth) avec les autres participants au désormais célèbre café de la Cascade en bas du col des Saisies
Montée du Cormet de Roslende, puis direction Val d’Isère avec un petit pique-nique pour reprendre des forces avant d’attaquer les pentes de l’Iseran et la belle descente sur la vallée de la Maurienne.
Puis col du Télégraphe et Galibier en enfilade suivit de la descente sur le Lautaret puis Briançon. Petit arrêt à la pompe pour que je me rende compte que j’ai juste loupé le passage des 66'666 km sur le compteur de l’Elise ...en presque 12 ans c’est à la fois peu (par année) et beaucoup (de bonheur).
La montée de Izoar est déserte en cette fin de journée, ce col qui ne sert à rien (il ne permet pas de gagner du temps) distille un bonheur automobile unique. Une petite halte au Refuge Napoléon nous permet d’apprécier les excellentes tartes maisons ainsi que l’accueil des hôtes du lieu.
La descente sur Guillestre et la monté du col de Vars complètent la carte des desserts de cette journée bien remplie.
Hébergerment comme la dernière fois à l'hôtel Alpage qui offre à la fois accueil et gîte de qualité ...et aussi une très bonne bière locale. La carte des vin n'est pas en reste, il y a par exemple un excellent Vaqueras...
Deuxième jour, Vars Ste-Marie – Antibes – Grand Canyon du Verdon
Journée spéciale car je pars en solo récupérer madame qui a rejoint la Côte d’Azure par les airs. Je dois de plus composer avec un course cycliste de malade qui propose à ses participants de faire le maximum de cols (7) de la vallée de Ubaye en 24h. D’ailleurs la course s’appelle Le défi des Fondus de l'Ubaye …pour les courageux voici le lien :
http://www.cyclesud.fr/cyclosportives/fondu_ubaye
Heureusement les routes ne sont pas fermées, mais le col de la Bonette est à déconseiller car emprunté au moins une fois par tous les participants. Je me rabats donc sur le col de Cayolle (toujours aussi tape-cul) puis les gorges du Daluis (toujours aussi belles). Pour la suite je descend le long du Vars jusqu’aux portes de Nice.
A Carros j’oblique à droite pour une arrivée sur Antibes par l’arrière pays. Le trajet jusqu’à Vence n’offre pas de réelle plaisir de conduite, la vue depuis Gattières est par contre sympa. Depuis le Pont-du-Loup une petite route (D6) descend sur Cagnes elle permet de se faire plaisir dans un petit vallon ou la circulation est quasi inexistante.
Puis flèche à droite pour la longue ligne droite qui borde la Mer et arrivée sur Antibes. Madame est là, elle m’a même réservé une place à l’ombre sur le parking du port …sympa.
Petit repas pris sur une terrasse, le dépaysement est immense, ça fleure bon les vacances.
Une petite ballade digestive dans la vielle ville précède une baignade bien méritée dans la mer. Température idéale, foule raisonnable vu le lieu, un vrai paysage de carte postale.
Bon c’est pas tout ça il faut remonter sur le Verdon où nous attendent nos amis qui eux sont descendus par un itinéraire le long de la route Napoléon.
Le trajet entre Antibes et Fayence par le sud de Grasse est une m.rde finie, l’urbanisation à vau l’eau et la circulation pléthorique étendent la durée du moindre déplacement à une épopée. Quasi 2h pour pas 50 bornes on se croirait revenu au temps du char à bœufs...
Une fois arrivée à Fayence le parcours se dégage et l’impression de solitude nous envahit …bon j’exagère un peu mais le contraste est saisissant. Les petites routes qui nous mènent au bord du Grand Canyon du Verdon sont avalées avec plaisir.
L’arrivée à la Falaise des Cavaliers sonne le glas de ce dernier trajet. La vue est splendide et c’est le coucher du soleil sur les falaises rougies qui accompagne notre repas. Le claire de lune se chargera ensuite d’illuminer avec majesté ce site sublime...
Troisème jour, Grand Canyon du Verdon – Chauffayer
La journée début tôt par une descente, à pieds cette fois, pour aller tâter le bord du Verdon. Cette promenade est une excellente mise en jambes pour une journée qui s'annonce tout de même assez chargée en km.
Nous partons ensuite voire les candidats au suicide, un élastique comme seul lien à la vie, sauter dans le vide qui baigne le pont d'Artuby ...160m de chute, ça calme. Rien qu'à regarder je suis mal...
Nous faisons ensuite un petit bout de route avec le club Berlinette Alpine et sportives Renault en virée ...certains sont des connaissance du Lotus Jura Tour, le monde est décidément petit.
Puis arrêt au Lac de Castillon pour un repas et une baignade pour les moins frileux, le lieu est de toute beauté. On attaque ensuite les gorges du Daluis et le col de Cayolle ...celui-là je commence à bien le connaître.
De Barcelonnette deux groupes se forment, les sevrés qui n'ont pas pu faire le col de Vars hier s'en vont par là moteur vrombissant et le groupe cou-cool dont je fait partie décide de se faire le col de Lébraut par le sud du lac de Serre-Ponçon. Bien mauvaise idée que nous avons eu là, pas que le paysage ou les routes ne soient pas à la hauteur bien au contraire. Nous avons par contre eu la surprise de la route barrée avec panneautage déficient, le petit détour sur une route bondée de fin de dimanche nous a flingué une bonne heure.
Le paradoxe étant que nous avons retrouvé le premier groupe de retour de Guillestre à Chorges ...comme quoi les deux itinéraires se valent.
Le côté positif est que nous avons pu tous ensemble profiter de la dernière friandise du jour, le col de Manse, qui permet d'éviter élégamment le passage par Gap.
L'arrivée au Château des Herbeys demeure du 18ème restaurée avec goût, est annonciatrice d'une soirée bien sympathique. Le cadre est enchanteur, les chambres opulentes et le repas exquis. Un petit air de Gourmet Tour flotte jusqu'à tard dans la nuit...
Quatrième jour, Chauffayer – Romanel ...par l'itinéraire le plus improbable
Le parcours de ce dernier jour est très souple, certain partent direct au plus court par Grenoble.
Les autres se disent que l'Isoar n'est pas si loin et qu'une petite part de tarte aux framboises passerait bien. Donc départ pour Guillestre via le col de Manse, nous apprécions cette fois plus le trajet qui longe le lac de Serre-Ponçon, il faut dire que la foule du dimanche soir est au boulot...
La montée du col de l'Isoar sous un soleil radieux et sur des routes dégagées est un grand plaisir.
Arrivés au Refuge Napoléon, les tartes sont encore au four... ...heureusement il restait du rab, donc nous nous régalons une fois encore. Bon c'est pas tout ça mais la route est encore longue et il faut quitter se petit coin de paradis.
La descente sur Briançon puis la monté vers le Galibier se passent sans encombres. La descente sur Valloire est un moment d'intense plaisir, puis c'est la courte montée vers le col du Télégraphe.
Là une équipe nous quitte pour un retour direct sur Genève et le Jura. Pour les autre c'est petit pique-nique et dissertation sur la route à prendre
Nous restons donc trois Lotus pour un retour par l'Iseran, puis le Petit et le Grand St-Bernard. Cette fin de parcours est assez éprouvante et nous arrivons à 21h10 vannés, mais heureux et avec plein de souvenirs et de paysages en tête.
Au final c'est une sacré balade qui traverse des paysages surprenants et sublimes. Les cols de la Routes des Grandes Alpes sont vraiment à faire au moins une fois ...voir deux ou plus
Voilà c'est dit ...promis je vais encore ajouter quelques photos pour illustrer ce récit
...ben voilà maintenant les photos sont là
Dernière édition par your momo le 04 juil. 2010 12:21, édité 5 fois.
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Magnifique récit !!!! Ca donne envie d'y retourner... mais ca sera pas pour cette année... enfin... Vivement les photos !!! C'était organisé par qui ?
Et la tarte aux framboises... mmmmmm... en général, on arrive la bas, petite tarte et on redescends sur Briançon afin de refaire une petite montée avant le souper... encore moins de monde que la première montée en général !
LA référence le col de l'Izoard et le Refuge Napoleon... nous on dort toujours la bas... la patronne est très sympa et elle connait bien les petits suisses avec leurs Lotus...your momo a écrit : La montée de Izoar est déserte en cette fin de journée, ce col qui ne sert à rien (il ne permet pas de gagner du temps) distille un bonheur automobile unique. Une petite halte au Refuge Napoléon nous permet d’apprécier les excellentes tartes maisons ainsi que l’accueil des hôtes du lieu.
Et la tarte aux framboises... mmmmmm... en général, on arrive la bas, petite tarte et on redescends sur Briançon afin de refaire une petite montée avant le souper... encore moins de monde que la première montée en général ! L'ingratitude est la seule porte de sortie pour ceux que la reconnaissance embarrasse
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your momo
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Le GO c'est ADB ...toujours aux petits soins pour nous
Pour le dodo du premier soir le Refuge Napoléon est soit trop petit soit complet, c'est pour ça qu'on pousse jusqu'à Vars. La montée du col de Vars en fin de journée est un régal, belle route large, excellente visibilité ...et plus personne en piste.
Pour le dodo du premier soir le Refuge Napoléon est soit trop petit soit complet, c'est pour ça qu'on pousse jusqu'à Vars. La montée du col de Vars en fin de journée est un régal, belle route large, excellente visibilité ...et plus personne en piste.
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