997 Turbo S
Publié : 30 sept. 2017 11:01
Dans ma quête de 911 l'envie de retrouver les sensations de la route sans toit ont fait pencher la balance pour un cabriolet beaucoup plus en phase avec la répression routière.
J'aime bien la 991 mais ma préférence va sans aucune hésitation à la ligne de la 997 qui se rapproche le plus de la 993 biturbo que j'ai possédé.
La 991 est plus longue, plus plate, moins discrète, et ne m'attire pas plus que ça.
Quitte à prendre une turbo autant que ce soit une version plus exclusive, j'ai donc opté pour la S
Marre du noir ou du gris qui constituent 90% des couleurs du parc des 911 , j'ai trouvé un combo bleu métallisé en harmonie avec la capote que je trouve très chic.
J'en prends livraison mi septembre et elle est la imposante à attendre son nouveau propriétaire, euh dompteur car elle impressionne quand même un peu
Je check tous les boutons, commandes , fais les réglages d'assise et volant puis je démarre, c'est silencieux .. mais ou est le flat 6
Bon pas grave le discrétion fait du bien pas besoin de bruit en plus, puis je quitte le garage laissant la boite PDK faire son travail.
C'est doux et facile à conduire loin de mes anciennes 993 bien plus rustiques, que de progrès en 15 ans, un peu ferme mais pas inconfortable.
Position de conduite parfaite bien calé dans le baquet, je fais corps avec la voiture, Porsche sait faire des sportives.
Je quitte la ville prends l'autoroute puis me cale à 120 , c'est reposant et la conso semble de stabiliser autour de 10l.
On doit pouvoir faire 800km dans la journée sans problème, la capote filtre bien les bruits.
Fin de 80 km d'autoroute puis la route de montagne pour rentrer chez moi, je commence à attaquer les choses sérieuses sur 15 km de montée progressive en mettant un peu de pression dans les turbo, et on sent qu'il y a déjà du monde qui pousse sous le capot à la moindre pichnette sur la pédale, et je me dis tiens sympa cette turbo.
Puis les derniers 8 km sont une vraie route de montagne avec un dénivelé de 900m, je suis derrière des autos puis un petit bout droit se présente pour doubler et je décide de presser le bouton passage en mode spacio temporel (mode sport) , déboite et soude au plancher ..... un " BROOOOOOAAAAAAA" accompagné d' un uppercut magistrale m'a plaqué au dossier genre qui doit passer de 80 à 120 en 2s , monstreux , pire qu'une GTR pourtant pas moue de veau, mais quel choc, jamais vu ça ans une montée à 12% en plus.
Pas une roue n'a bronché ou patinée, l'auto est restée droite la ou ma 993 bi turbo cherchait toute la route dans les mêmes conditions, merci le torque vectoring system de série sur la turbo S.
Et dire qu'il reste le mode spacio temporelle accéléré avec la touche sport
Je pense alors que je suis aux limites de mes possibilités de conduire des GT surpuissantes, car il faut de sacrés réflexes pour maitriser ce genre d'engin.
Quelques jours plus tard Journée magnifique, je propose à ma femme d'aller découvrir le bout de la vallée de Bagnes jusqu'au barrage de Mauvoisin.
L’idéal pour se mettre une auto en main et rouler décapoté pour des sensations décuplées.
Cette 911 est facile à prendre en main, elle virevolte d'un virage à l'autre et la motricité des roues avants permet d’accélérer fort avant la sortie de virage, la gestion du couple indépendante pour chaque roue évite probablement le sous virage,
La boite PDK en mode normal égrène les rapports en souplesse sans à coups, elle est intelligente et rétrograde seul avant un virage ou dans une descente pour utiliser le frein moteur, c'est la meilleur boite que j'ai jamais essayé
Le moteur reprend fort tout le temps et même en montée en seconde à 1200t, les turbos à géométrie variable sont passés par la.
Les freins céramique que je craignais inefficaces à froid sont top en permanence et d'une efficacité redoutable, le touché de pédale est juste parfait.
Après 30km on passe devant une auberge et vu l'heure on décide d'y déjeuner, jambon et fromages de montagne locaux accompagnés de châtaignes font notre régal.
En repartant ma femme se propose de prendre le volant, une occasion rêvée sans lui forcer la main .
On va jusqu’au bout de la route au milieu de beaux paysages de montagne et on rentre, ma femme se sentant de plus en plus à l'aise commence à hausser le rythme, je vois bien qu'elle se fait plaisir, reculant les freinages plus tardivement et sortant des virages avec plus de vigueur, ses trajectoires sont parfaites, la direction est légère et précise comme un scalpel.
On arrive à la route qui monte à la maison et pendant 7 km le ton monte encore en enchainant les virages rivés au bitume, (les Pilot Sport sont parfait pour cette auto), la boite effectuant un double débrayage à l'entrée de chaque virage, les reprises sont canonesques alors que le mode sport n'est pas activé et que la suspension est au plus souple.
Arrivé à la maison ma femme me dit qu'elle la trouve très facile à conduire , le but est donc atteint et c'est la preuve que cette 911 est une parfaite réussite.
Très content de ma nouvelle acquisition et sans aucun doute la plus polyvalente des GT sportives que j'ai possédé
Et cerise sur la gâteau, une consommation moyenne de 12,5l au 100 sur 350km
J'aime bien la 991 mais ma préférence va sans aucune hésitation à la ligne de la 997 qui se rapproche le plus de la 993 biturbo que j'ai possédé.
La 991 est plus longue, plus plate, moins discrète, et ne m'attire pas plus que ça.
Quitte à prendre une turbo autant que ce soit une version plus exclusive, j'ai donc opté pour la S
Marre du noir ou du gris qui constituent 90% des couleurs du parc des 911 , j'ai trouvé un combo bleu métallisé en harmonie avec la capote que je trouve très chic.
J'en prends livraison mi septembre et elle est la imposante à attendre son nouveau propriétaire, euh dompteur car elle impressionne quand même un peu
Je check tous les boutons, commandes , fais les réglages d'assise et volant puis je démarre, c'est silencieux .. mais ou est le flat 6
Bon pas grave le discrétion fait du bien pas besoin de bruit en plus, puis je quitte le garage laissant la boite PDK faire son travail.
C'est doux et facile à conduire loin de mes anciennes 993 bien plus rustiques, que de progrès en 15 ans, un peu ferme mais pas inconfortable.
Position de conduite parfaite bien calé dans le baquet, je fais corps avec la voiture, Porsche sait faire des sportives.
Je quitte la ville prends l'autoroute puis me cale à 120 , c'est reposant et la conso semble de stabiliser autour de 10l.
On doit pouvoir faire 800km dans la journée sans problème, la capote filtre bien les bruits.
Fin de 80 km d'autoroute puis la route de montagne pour rentrer chez moi, je commence à attaquer les choses sérieuses sur 15 km de montée progressive en mettant un peu de pression dans les turbo, et on sent qu'il y a déjà du monde qui pousse sous le capot à la moindre pichnette sur la pédale, et je me dis tiens sympa cette turbo.
Puis les derniers 8 km sont une vraie route de montagne avec un dénivelé de 900m, je suis derrière des autos puis un petit bout droit se présente pour doubler et je décide de presser le bouton passage en mode spacio temporel (mode sport) , déboite et soude au plancher ..... un " BROOOOOOAAAAAAA" accompagné d' un uppercut magistrale m'a plaqué au dossier genre qui doit passer de 80 à 120 en 2s , monstreux , pire qu'une GTR pourtant pas moue de veau, mais quel choc, jamais vu ça ans une montée à 12% en plus.
Pas une roue n'a bronché ou patinée, l'auto est restée droite la ou ma 993 bi turbo cherchait toute la route dans les mêmes conditions, merci le torque vectoring system de série sur la turbo S.
Et dire qu'il reste le mode spacio temporelle accéléré avec la touche sport
Je pense alors que je suis aux limites de mes possibilités de conduire des GT surpuissantes, car il faut de sacrés réflexes pour maitriser ce genre d'engin.
Quelques jours plus tard Journée magnifique, je propose à ma femme d'aller découvrir le bout de la vallée de Bagnes jusqu'au barrage de Mauvoisin.
L’idéal pour se mettre une auto en main et rouler décapoté pour des sensations décuplées.
Cette 911 est facile à prendre en main, elle virevolte d'un virage à l'autre et la motricité des roues avants permet d’accélérer fort avant la sortie de virage, la gestion du couple indépendante pour chaque roue évite probablement le sous virage,
La boite PDK en mode normal égrène les rapports en souplesse sans à coups, elle est intelligente et rétrograde seul avant un virage ou dans une descente pour utiliser le frein moteur, c'est la meilleur boite que j'ai jamais essayé
Le moteur reprend fort tout le temps et même en montée en seconde à 1200t, les turbos à géométrie variable sont passés par la.
Les freins céramique que je craignais inefficaces à froid sont top en permanence et d'une efficacité redoutable, le touché de pédale est juste parfait.
Après 30km on passe devant une auberge et vu l'heure on décide d'y déjeuner, jambon et fromages de montagne locaux accompagnés de châtaignes font notre régal.
En repartant ma femme se propose de prendre le volant, une occasion rêvée sans lui forcer la main .
On va jusqu’au bout de la route au milieu de beaux paysages de montagne et on rentre, ma femme se sentant de plus en plus à l'aise commence à hausser le rythme, je vois bien qu'elle se fait plaisir, reculant les freinages plus tardivement et sortant des virages avec plus de vigueur, ses trajectoires sont parfaites, la direction est légère et précise comme un scalpel.
On arrive à la route qui monte à la maison et pendant 7 km le ton monte encore en enchainant les virages rivés au bitume, (les Pilot Sport sont parfait pour cette auto), la boite effectuant un double débrayage à l'entrée de chaque virage, les reprises sont canonesques alors que le mode sport n'est pas activé et que la suspension est au plus souple.
Arrivé à la maison ma femme me dit qu'elle la trouve très facile à conduire , le but est donc atteint et c'est la preuve que cette 911 est une parfaite réussite.
Très content de ma nouvelle acquisition et sans aucun doute la plus polyvalente des GT sportives que j'ai possédé
Et cerise sur la gâteau, une consommation moyenne de 12,5l au 100 sur 350km