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Essai Mazda CX-5

Essai Mazda CX-5
Nous essayons le modèle phare de Mazda en Suisse: le crossover CX-5. 

Mazda dessine de jolies voitures. Sondez votre entourage et le verdict sera très probablement flatteur, avec un ensemble d’attributs de style regroupés sous le slogan aspirationnel “Kodo”, soit Soul of Motion ou âme du mouvement en bon français. Mazda est le plus grand des petits constructeurs japonais, loin derrière Toyota, Nissan et Honda, mais confortablement devant Mitsubishi et Subaru. Nous nous penchons aujourd’hui sur le cas du CX-5, meilleur vente de la marque en Suisse en 2015 et fer de lance de Mazda sur le segment porteur des crossovers. Construit sur la même plateforme que les Mazda 3 et 6, le CX-5 concourt parmi les SUVs de taille moyenne avec une longueur de 4m54 sur un empattement de 2700mm.

Essai Mazda CX-5

A l’intérieur, on retrouve avec plaisir les qualités de la production Mazda contemporaine: une impression qualitative au-dessus de la moyenne, des matériaux de choix et un design sobre et de bon goût. Les accents sont discrets, mais bien réalisés. On retrouve ces qualités intrinsèques dans les interfaces comme la molette de commande du système multimédia: les crans sont précis, bien tarés, témoins d’un soucis du détail. C’est vraiment un point fort de Mazda. La sellerie optionnelle est de bonne qualité et égaie l’intérieur.

Essai Mazda CX-5 intérieur Essai Mazda CX-5 intérieur Essai Mazda CX-5 Sièges Avant Essai Mazda CX-5 Console Centrale

Mazda résiste – pour le moment – à la tendance générale au downsizing, soit de faibles cylindrées au rendement dopé par la suralimentation. Le choix de motorisations ainsi proposé par Mazda sur le CX-5 inclut deux quatre cylindres essence atmosphériques et un turbodiesel de 2.2L disponible en deux niveaux de puissance: 150 ch/380 Nm et 175 ch/420 Nm. Du côté des moteurs à bougies, nous avons un 4 cylindres 2 litres développant 160 ou 165 chevaux selon la transmission choisie (4×4 ou 4×2), et au sommet de la gamme, un 4 cylindres de 2488 cm3 affichant un couple maxi de 256 Nm à 4000 t/min et une puissance de 192 chevaux à 5700 t/min, offert d’autorité en transmission intégrale et boîte automatique. Les 4 cylindres 2.5 litres sont un standard pour le segment sur le marché nord américain, et le proposer au catalogue pour les clients suisses a tout son sens, mais Mazda France – à la différence de Mazda Belgique – n’a pas suivi la même stratégie, se contentant des 2 litres essence et – naturellement – du 2.2L turbodiesel (en versions 150 & 175 chevaux).

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