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Essai Porsche Cayenne S

Essai Porsche Cayenne S mk3

Nous découvrons le nouveau Cayenne en conditions hivernales. 

Si le modèle symbolique de la gamme Porsche reste indéniablement la 911, le Cayenne est la fondation de ce que Porsche est devenu aujourd’hui: un fabricant de crossovers extraordinairement profitable qui peut investir dans un portefeuille de GTs performantes et dans les technologies qui assureront sa pérennité. La première génération s’écoule à 270’000 unités, la deuxième à 500’000 unités.

Essai Porsche Cayenne S Bleu Basque

Pour la troisième génération, les dimensions évoluent, avec 63 mm de plus en longueur (4918 mm au total) pour un empattement inchangé (2895 millimètres contre 2996 mm pour le Q7 et le Bentayga) et 9 mm de hauteur en moins par rapport à son prédécesseur. La largeur est de 1983 mm. Le volume du coffre s’élève à 770 litres, soit 100 litres de plus.

Essai Porsche Cayenne S 2.9 biturbo

Sans surprise, le design intérieur reprend les composants introduits sur la Panamera et qu’on retrouvera probablement adaptés sur la future 992, dans le même déploiement chorégraphique que le cycle précédent. Les modules d’infotainment (12″ en diagonale) et de console centrale semblent repris tels quels, avec une abondance de surfaces tactiles noires et brillantes. Et comme dans la Panamera 2, l’instrumentation se compose du traditionnel compte-tours central, mais il est flanqué par deux écrans LCD de 7 pouces chacun qui affichent toutes les autres informations.

Essai Porsche Cayenne S mk3 compteurs tableau de bord

S’il est peu probable que la nouvelle instrumentation soulève des critiques, le regroupement des fonctions de commande sous la forme de surfaces tactiles “solid state” sur la console centrale est plus discutable. Difficile à naviguer à l’aveugle donc distrayant, rapidement souillé par des traces de doigt, cette approche suscitera des réfractaires et j’en fais partie.

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