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Essai Lexus LC500: sportive pour esthète

Essai Lexus LC500 intérieur

L’habitacle fait excellente impression. Comme pour l’extérieur, l’approche stylistique est aussi ambitieuse qu’atypique, mais la réalisation est rigoureuse et les matériaux de belle qualité. Du cuir, des touches d’Alcantara, aucune fausse note. Une position de conduite allongée, engoncée entre une console centrale et une ceinture de caisse toutes deux élevées donnent le ton.

Essai Lexus LC500

Une pression sur le bouton de démarrage donne, elle, le son. Le V8 s’ébroue de manière démonstrative, se stabilisant sur un ralenti empressé qui finit par s’apaiser en même temps que les soupapes musellent les marmites d’échappement. Lexus reconduit son V8 atmosphérique de 4969 cm3 de cylindrée déjà testé sur la RC F. Il fonctionne selon le cycle Atkinson cher au groupe, dispose d’une distribution variable VVT-i, de l’injection directe D-4S, de bielles forgées et soupapes en titane.

Essai Lexus LC500

Lexus en extrait un couple maxi abondant mais haut perché (540 Nm à 4800 t/min) et une puissance qui culmine à 477 ch à 7100 t/min, soit des valeurs quasi inchangées par rapport à la RC F. Lexus revendique le 0-100 km/h en 4.7s et une vitesse de pointe de 270 km/h. Il est accouplé à une nouvelle boîte Direct Shift à 10 rapports, différente de l’unité complexe qui équipe la LC500h. La boîte Direct Shift est une boîte automatique classique à convertisseur de couple, avec des intermédiaires resserrés, un dixième rapport long pour abaisser la consommation sur autoroute, et la revendication d’offrir des temps de passage parmi les plus courts au monde.

Essai Lexus LC500 console centrale

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