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BMW 335i Cabriolet : Essai

Essai BMW 335i Cabriolet (E93)
Référence des cabriolets à 4 places, la BMW 335i Cabriolet (type E93) à l’essai.

Au début de l’année 2010, BMW a appliqué à son fameux coupé cabriolet les petits changements esthétiques qui étaient apparus sur le coupé en 2009. Au programme, un avant redessiné avec de nouveaux projecteurs, une calandre un peu plus large, de nouveaux rétroviseurs et enfin, des pare-chocs revus et corrigés. Globalement, à moins d’être un inconditionnel de la marque, ces modifications sont à peine visibles mais au-delà de cette mise à jour cosmétique, le véhicule est doté d’une nouveauté importante et très attendue : le N55 !

Essai BMW 335i Cabriolet

Sous ce ravissant pseudonyme concocté par les ingénieurs bavarois se trouve le nouveau 6 cylindres de 2979 cm3. Bien que la cylindrée, le couple et la puissance soit la même, le moteur a passablement été revu. Les plus gros changements sont liés à l’introduction d’une injection directe ainsi qu’à l’adoption d’un seul turbo « twin scroll » et des soupapes Valvetronic. Sur le papier, la marque annonce les mêmes spécifications, soit une puissance de 306cv à 5’800tr/min et un couple de 400Nm entre 1’200 et 5’000tr/min. Toutefois, au-delà de garder les mêmes prestations, l’exercice avait pour objectif de réduire la consommation et les émissions du N54 bi-turbo.

Si en théorie ces objectifs ont été atteints, il reste à déterminer si les 306cv ont gagné en vigueur ou si au contraire, ils ont été anesthésiés.

Mais avant de monter à bord, je jette encore un coup d’œil à cette BMW car de tous les modèles disponibles, la série 3 est certainement celle qui a évolué de la façon la plus consensuelle possible. Il faut dire qu’avec presque 40% du volume total des voitures écoulées par BMW, la prise de risque n’a jamais été au programme.

Essai BMW 335i Cabriolet (E93)

Extérieurement, la couleur Saphir Noir donne beaucoup d’élégance à ce coupé cabriolet, y compris avec le toit rigide déployé. Une fois à l’intérieur, aucune surprise ne viendra troubler l’amateur de BMW. L’intérieur de cette E93 n’apporte aucune nouveauté à l’exception d’un détail important : les commandes au volant de la boîte à double embrayage sont enfin « normales ». Plus précisément, la palette de gauche permet de descendre les rapports quand on la tire et celle de droite de les monter. Il était temps d’écouter les clients et autres critiques à ce sujet.

Il est temps d’allumer ce N55 et filer sur les routes pour voir comment l’ensemble se comporte avec ce nouveau moteur. Grâce à l’habituel bouton Start/Stop, le 6 cylindres en ligne démarre en une fraction de seconde par une simple pression du doigt. Bien entendu, à l’arrêt, le son ne permet pas de distinguer un hennissement différent des 306cv qui attendent leur heure. Je tente encore une fois de trouver des différences à l’intérieur de la voiture avec le modèle précédent mais à l’exception de quelques détails, tout ou presque se trouve au même endroit avec les mêmes automatismes.

Essai BMW 335i Cabriolet E93

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